Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité

ladytelephagy

14 août 2010

[GAME] Method acting

Avant d'en finir définitivement avec cette série, je voudrais vous proposer un petit jeu sur JOKER. Le principe ? Décortiquer le jeu de Masato Sakai, son acteur principal. Car avouons-le : déjà qu'au naturel il a un drôle de truc qui se passe au niveau des lèvres, mais il en rajoute, en plus, l'animal.
Sa technique ? A mon avis, il essaye d'imaginer qu'il y a une odeur déplaisante dans la pièce, et selon l'odeur, il change d'expression. Je ne vois que ça. Allez, illustration.

JOKER_Smellycat_1

JOKER_Smellycat_2

JOKER_Smellycat_3

JOKER_Smellycat_4

JOKER_Smellycat_5

JOKER_Smellycat_6

JOKER_Smellycat_7

JOKER_Smellycat_8

JOKER_Smellycat_9

C'est là que vous entrez en piste. Maintenant, à vous d'imaginer la nature des odeurs qu'il tente d'exprimer : poisson pas frais, œuf pourri, string de Paris Hilton, litière, égouts, cadavre en décomposition... Les jeux sont ouverts. Vous avez carte blanche !

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche JOKER de SeriesLive.

Publicité
14 août 2010

[Day 14] Eleven years and counting

MemeDay_14

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche New York Unité Spéciale de SeriesLive.

14 août 2010

Tout le monde a droit à un JOKER

Ça semble se confirmer : autant aux États-Unis, un bon générique est souvent un indice sur la qualité d'une série (avec seulement quelques exceptions pour confirmer la règle), autant au Japon, c'est plutôt l'inverse. Vous vous souvenez comme j'étais ravie par le générique de JOKER ? Bon bah voilà, tout est dit.

ToutlemondeadroitaunJOKER

Non ? Booooon. D'accord, je vais développer. Bande de sadiques.

Alors, d'abord, récapitulons : JOKER, c'est l'histoire d'un flic qui en apparence est toujours gentil avec tout le monde, limite bonne poire, et qui, quand une injustice est commise et que la police ne peut plus rien, sort lui-même dézinguer les méchants.
Toute ressemblance avec une autre série serait purement fortuite.

JOKER, c'est donc l'histoire d'un gars qui a une tête de rigolo, qui fait des moues pas possibles, et qui a l'air de toujours tout laisser glisser, mais qui en réalité, a commencé très jeune à tuer et ne s'est plus jamais arrêté.
Toute ressemblance avec une autre série serait purement fortuite.

JOKER, c'est une série sur un mec qui a un bateau et qui emmène les criminels dessus quand il n'en a pas tout-à-fait fini avec eux.
Toute ressemblance avec une autre série serait purement fortuite.

Cette fois n'insistez pas, je n'en dirai pas plus. Je vais regarder le 2e épisode d'Atami no Sousakan, et si jamais il me vient l'envie de voir à l'écran un tueur qui exécute des criminels qui n'ont pas été puni par le système judiciaire, Dexter me suffit, merci.

Parce que JOKER, c'est la série qui a le culot de commencer par un panneau expliquant que "ce dorama est purement fictif. Toute ressemblance avec de véritables personnes, lieux ou évènements est purement fortuite. Mais vous pouvez décider de prendre ceci comme une histoire entièrement inventée, ou vous en servir pour prendre la mesure des ténèbres de notre monde moderne". Finalement, et contrairement à mon impression devant la série, les mecs derrière JOKER ont vraiment de l'humour.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche JOKER de SeriesLive.

13 août 2010

[Day 13] Viens écouter la belle histoire...

MemeDay_13

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Tchaou et Grodo de... ah bah non, en fait.

13 août 2010

Tango

Ittakes3toTangle

L'accent australien m'étant à peine plus compréhensible que l'accent britannique, on imagine aisément pourquoi une série sans doublage ni sous-titre me prend plusieurs semaines à découvrir : il faut environ deux mois au préalable avant de faire preuve de volonté, pour enfin réussir à lancer le pilote. Et je confirme : j'ai vraiment du mal avec l'accent.

Mais est-ce qu'on va se laisser freiner pour si peu ? NON ! On est des téléphages oui ou non ? OUI ! On va parler du pilote de Tangle ? OUI !!!
Nan mais.

Mais le problème de Tangle, finalement, ne réside pas uniquement dans l'accent. La vie téléphagique serait si simple, si ça n'était jamais qu'une question d'accent...! Non, Tangle est aussi terriblement froide. Concrètement, 90% de ses personnages sont épouvantablement distants. Et ce faisant, ils s'aliènent le spectateur, qui n'a vraiment qu'un intérêt très modéré à les suivre leurs aventures plus ou moins captivantes.

Et je dis bien "plus ou moins", car le pilote lambine pas mal en chemin. Il pose, à n'en pas douter, de nombreux éléments qui seront, j'imagine, importants par la suite, mais pour un pilote, il reste quand même très poussif. Le retour de Nat aurait dû être un prétexte à remuer les habitudes de chacun, mais le clash met des plombes à se produire. Elle-même a l'air totalement désintéressée de ce qui se passe, ce qui franchement, me décomplexe ; elle passe le plus clair de son temps à ne rien foutre, on sait pas ce qu'elle fait là, on sait pas ce qu'elle compte faire de ses journées, et si vous voulez mon avis, c'est quand même faire beaucoup de kilométrage juste pour venir se vautrer sur un canapé.

Bien-sûr, Tangle pourrait s'abaisser à profiter de ce retour pour placer quelques enjeux (je n'aime pas ce mot d'ordinaire, mais là, il faut bien dire que l'épisode est un peu tout nu), mais la confrontation entre la revenante et les autres protagonistes est réduite à sa plus simple expression. Rien ne sort. Il y a juste une scène, à l'issue de la fête d'anniversaire de Max, qui se montre intéressante, quand soudain Ally sort de son rôle de gentille sœur pour s'énerver, mais ça n'aboutit à rien. Le lendemain, Ally souffre de nouveau en silence et Nat en fait toujours à sa tête (ou ce qui lui tient lieu de).

Ah, on me dit dans mon oreillette qu'il y a des adolescents aussi dans Tangle. Alors, l'adolescent Max, justement ? Dans le genre apathique, il se pose là lui aussi ! L'histoire de l'inconnu mort en forêt démontre bien à quel point ce gamin est, dans le fond, outre un ado morbide (pléonasme), mais surtout un gosse dépourvu d'émotions. Son visage n'affiche rien quand il découvre le cadavre. Il rentre comme si de rien n'était, et revient plus tard pour mieux observer. C'est à ça qu'on repère les psychopathes, vous savez ? A leur absence d'émotion dans des situations pareilles.

Mais ils sont comme ça, les personnages de Tangle. Pas communicatifs. Peut-être par CB, et encore. Chacun vit enfermé dans son monde intérieur et ne communique avec le dehors qu'en cas d'absolue nécessité. Et tant pis si ça les rend antipathiques pour le spectateur, il n'a qu'à faire l'effort.
Ça ne marche pas comme ça. Pas pour moi. J'ai du mal avec les frustrés. Si vous ne communiquez pas avec moi, comment suis-je sensée m'intéresser à vos problèmes ?

Euh, bon, à part ça, une bonne nouvelle... Voyons, qu'est-ce que j'ai bien aimé dans Tangle ?
Ah oui ! Son générique.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Tangle de SeriesLive.

Publicité
12 août 2010

Wrapped in water

AtaminoSousakan

Eh. Bah. Merde. Alors.
La saison estivale nippone révèle bien plus de surprises qu'attendu, et après mon coup de cœur pour GOLD (confirmé hier soir avec, enfin, quelques minutes consacrées au deuxième épisode), me voici complètement désarmée à l'issue du pilote d'Atami no Sousakan. C'est que, à première vue, je n'en donnais pas cher, de ce dorama, où il était question d'une enquête sur la disparition non élucidée d'un groupe d'adolescentes. J'avais comparé à Pretty Little Liars. Je ne pouvais pas être plus loin de la vérité.

Si comparaison il doit y avoir, ce sera avec Twin Peaks, no less.

Et en fait, oui, c'est même obligé de faire la comparaison. Et je suis ravie de voir qu'il y en a qui connaissent leurs classiques ! Vingt ans après (eh oui, déjà, ça me fait un choc à moi aussi), le pouvoir de fascination de cette série semble continuer à faire son effet, au point d'inspirer de façon évidente une série japonaise.

Comment ne pas penser à Twin Peaks quand Atami no Sousakan nous propose une enquête dans un bled paumé, avec une équipe de police locale complètement décalée, des habitants recelant plein de secrets, et une affaire mystérieuse ? Et surtout, comment ne pas penser à Twin Peaks quand Atami no Sousakan parie sur le même type de mise en scène, des silences embarrassants, des répliques tirées par les cheveux, et... sincèrement, je serais Angelo Badalamenti, j'envisagerais de demander une petite contrepartie financière pour tous les morceaux qui accompagnent ces mêmes scènes. L'hommage est juste énorme.

Mais loin de moi l'idée de dire que notre Atami no Sousakan n'est qu'un copycat. Au contraire, la bourgade présentée n'est pas du tout une contrée froide et enveloppée dans les arbres, c'est une ville côtière, au creux d'une baie, environnée de plaines, bref, un espace dégagé et, j'ajoute, coloré. En-dehors d'une petite ondée, la mer est aussi bleue que le ciel, à moins que ce ne soit l'inverse. Et que dire des joyeux palmiers décorés de néons qui jalonnent ses quais ? Le registre est également différent à cause d'un des lieux de l'action : un pensionnat pour jeunes gens aisés, où les jeunes filles faisaient leurs études. Solennel et altier, cet établissement (appelé L'école de forêt éternelle, en français dans le texte) est un endroit intimidant, et qui a ses propres bizarreries : les filles y sont en surnombre et les deux élèves masculins sont réduits au rang de minorité silencieuse. Avec son administration religieuse et sa prof principale ambiguë, l'endroit est certainement encore plus bizarre que dans les rêves les plus fous de David Lynch.

Et puis, il y a les enquêteurs. Les. Ils sont deux à débarquer, et n'ont pas qu'une très lointaine parenté avec Dale Cooper, que ne s'exprime que par des cheveux impeccablement gominés et par le ravissement de l'inspecteur Hoshizaki devant les petits pains du diner local (il ne boit pas de café...). Parfait tandem pour cette ville complètement allumée, nos deux enquêteurs sont donc tous les deux un peu barges, entre l'hystérique excédée en permanence par tout, et le petite bonhomme au constant sourire goguenard...

Dans tout ça, que nous réserve l'intrigue ? Une bien étrange disparition, en vérité, à laquelle nous allons intégralement assister. C'est un tour de passe-passe assez incroyable que d'assister à toute une scène et de n'en tirer aucune clé pour comprendre l'intrigue ! Il y a un côté un peu prestidigitateur dans ce passage, c'est clair. La suite n'est pas tellement plus claire, mais a l'avantage de rester les deux pieds bien ancrés dans le réel. Personne n'a possédé qui que ce soit, ou alors vraiment si on en vient là, on aura fait le grand écart. Fantaisie et réalisme tentent de cohabiter comme ils peuvent dans ce patelin perdu dans la campagne japonaise, et ce n'est pas facile quand on est un coin de terre habité par les personnages les plus barges de la planète.

Le pilote d'Atami no Sousakan, parce qu'il est japonais, ne tourne pas autour du pot. Un développement important aura déjà lieu avant la fin du pilote (dans une longue scène contemplative... au sens propre du terme !) et le trailer indique que ce n'est pas fini. Comme on sait qu'on est sur du court terme, on ne lambine pas en chemin à faire du mystère, on avance dans l'intrigue, lentement, mais d'un pas décidé. Cela se fait pourtant sans jamais oublier de dépeindre le milieu où l'on se trouve (une ville où même les oiseaux se comportent bizarrement !), et sans jamais oublier de distiller de multiples excentricités.

Petite claque dans la figure de tous ceux qui croyaient avoir fait le tour des séries portant sur une enquête policière (moi la première ; j'ai la joue qui chauffe), Atami no Sousakan, c'est juste la curiosité à regarder cette saison.
D'un autre côté il me reste quelques pilotes à voir, sans compter ceux qui vont s'avérer plus ardus à disséquer, à l'instar de Tofu Shimai. Mais quand même, là, c'est du lourd. Pour faire plus étonnant, il faudra se lever tôt.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Atami no Sousakan de SeriesLive.

12 août 2010

[Day 12] Encore revu récemment, tiens...

MemeDay_12

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche A la Maison Blanche de SeriesLive.

12 août 2010

AMC, it's easy as 123

Éperdue de désarroi devant l'absence de réaction à la news sur l'adaptation de Forbrydelsen sur AMC, j'ai essayé de noyer mon chagrin en réfléchissant un peu à ce qui se passe sur cette chaîne ces derniers temps. Certes, je ne connais pas plus Forbrydelsen que vous (si au moins arte communiquait plus sur ce genre de diffusions, mais non !), mais enfin, on parle d'AMC !!! AMC, la chaîne qui monte, la chaîne avec les projets d'ambition, la chaîne qui révolutionne tout !!! Pourquoi ça n'a intéressé personne ? Enfin, si plein de gens l'ont lu. Mais personne n'a réagi.
Je me suis assise pour réfléchir : pourquoi avais-je pensé qu'une news sur AMC motiverait plus de réactions qu'un article sur des soaps plus ou moins has been ?

TheKilling

C'est vrai, ça. Qu'a donc diffusé AMC de si incroyable ? Je veux dire : à part Mad Men. Et Breaking Bad. Et Rubicon. Et le remake du Prisonnier. Effectivement, je vois ce que vous voulez dire. Mais c'est un peu étonnant qu'on fasse tout un foin de ce qui se passe sur cette chaîne alors que, concrètement, c'est tout.

Le nouveau projet de HBO ou de Showtime ? Ça fait des années qu'un projet de HBO ou de Showtime sait se montrer (plus ou moins) délectable, c'est donc normal d'en attendre beaucoup. Mais AMC est une chaîne jeune qui n'a pas encore brillé bien longtemps. Elle brille fort, et elle brille vite, mais ce sont également les caractéristiques d'un feu d'artifices et on n'en voit que le 14 juillet...

En fait, si on fait toute une histoire, c'est parce qu'à un moment, AMC a vraiment carburé niveau projets. Non contente de nous avoir asséné ce qui sera quand même l'un de évènements de ces dernières années, avec Mad Men, elle s'est empressée de nous dire qu'elle s'intéressait à plein de sujets, qu'elle voulait faire dans la diversité, dans l'avant-gardiste, dans le courageux, et on a tous mordu à l'hameçon.

Que sont devenus ces projets aujourd'hui ?
- Black Gold (en projet depuis janvier 2010)
- Hell on Wheels (à l'origine développé pour la saison 2008)
- Red Mars (apparemment abandonné)
Je ne dis pas que, parce qu'on n'en parle pas, ces projets sont nécessairement au point mort. Mais enfin, Red Mars l'est, visiblement. Et tout ce bel enthousiasme autour de la chaîne et ses projets si novateurs, finalement, il est un peu surfait.

Alors, vous savez quoi ?
En fait, vous avez raison.A bien y réfléchir, je ne vois même pas pourquoi j'en ai parlé. Ne commentez pas cette news sur l'adaptation The Killing.
Même si elle est apparue avec plusieurs jours d'avance sur le reste du web.

11 août 2010

[Day 11] J'avais foi en toi, Joe !

MemeDay_11

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Flash Forward de SeriesLive.

11 août 2010

Un plus un plus un plus tout le monde

A l'origine, il n'était pas prévu pour moi aujourd'hui de poster autre chose que les deux génériques de Coronation Street et le désormais traditionnel post du mème, ce soir à 20h00 (mème qui semble, à mesure que les jours passent, susciter de moins en moins d'intérêt, ça tombe bien, j'avais pas décidé de me reposer dessus pour poster ce mois-ci).
Je voulais plutôt bosser sur mon article de la semaine sur SeriesLive (vous ne devinerez jamais où je suis !), préparer mon post sur le pilote de Tangle et ptet bien, si j'ai le temps, vous parler d'un truc qui penche du côté où il va tomber. Bon, ce n'est que partie remise. Enfin, pas l'article de la semaine, parce que ça, c'est dimanche dernier carat, contente ou pas.

Bref, non, je vais quand même dire un petit mot sur quelque chose qui s'est produit suite au classement des plus longs soaps du monde, paru hier soir sur SeriesLive :

SoapOperaIndigest
Les plus longs soap operas du monde

Quand je me suis levée ce matin, j'ai lancé l'ordi et suis allée prendre ma douche pendant que tout le bazar se lançait ; c'est là que mon chat m'a lancé depuis le bureau : "oh-oh, ya des critiques sur ton article d'hier soir, tu vas pas aimer ça".
Chat de peu de foi.
Il s'avère que, bien qu'ayant fait des recherches et tout le bazar, j'ai oublié des séries dans ce classement, que les lecteurs n'ont pas hésité à me signaler. Et vous savez quoi ? Je n'étais pas en colère. Bien au contraire, j'ai été ravie. Bon, pas ravie de l'imperfection de mon travail de recherche, évidemment, j'avais pourtant passé plusieurs heures à créer la plupart des fiches de ce classement et donc à farfouiller pour faire le tour d'un maximum de pays, mais j'en avais quand même oublié, dont l'évident (je blâme le bloquage psychologique que je fais sur la question) soap français de France3, non je le citerai pas, hors de question de mettre un tag pour cette série.

Vous savez pourquoi j'ai été ravie ? Parce que, oui, sous un certain angle, on peut dire que ce sont des critiques de mon article. Si on veut. Admettons.
Mais c'étaient des critiques sur le fond ! C'est Byzance pour moi qui suis habituée aux coups sous la ceinture du type "on n'en a rien à foutre" ou "mais qui s'intéresse aux séries pourries de tel pays". Et pourtant, le soap n'est pas forcément considéré comme un genre intéressant par la plupart des téléphages.

Ces réactions prouvaient que :
- les lecteurs avaient lu l'article, ce qui n'est pas toujours aussi évident que ce devrait l'être (surtout quand ils ne lisent que le titre...)
- les lecteurs avaient fait preuve d'un esprit critique (notamment ceux qui montrent les variations de sujet d'un pays à l'autre)
- les lecteurs avaient fait des recherches pour appuyer leur intervention (en me citant le nombre d'épisodes et/ou l'année de création)
C'est excitant pour moi parce que c'est exactement le genre de réactions que j'attends, le genre de réactions que je cherche à susciter, le genre de réactions qui me fait dire que, oui, préparer un deuxième article cette semaine, ça valait le coup.

Ce qui compte, ce n'est pas que j'aie raison et que je sois capable de pondre un article sans le moindre oubli ou la moindre erreur (bien qu'idéalement, c'est quand même ce que j'essaye de faire), c'est que j'entame un cercle vertueux dans lequel tout le monde contribue pour s'enrichir de ce qu'il ignore tout en apprenant quelque chose aux autres.

Et finalement, ya pas plus actuel que ce thème aujourd'hui, car avec le début du Ramadan, ça me ramène à ma problématique sur mon article "la télévision égyptienne pour les nuls", posté il y a trois semaines. Je vous le disais ce jour-là, je m'attendais à me faire corriger par des gens qui en sauraient plus que moi sur le sujet. Et non, rien. Une petite correction géographique, et encore.

Alors puisque justement, le Ramadan a commencé aujourd'hui, j'en appelle à tous ceux d'entre vous qui allez regarder des séries égyptiennes (ou syriennes, ou marocaines, ou tunisiennes...) pour ne pas hésiter à me donner des compléments d'information, parce que, si personne ne peut être omniscient, en collant tous bout à bout nos connaissances sur tel ou tel sujet, on peut apprendre plein de choses, dans les deux sens du terme.
C'est aussi ce qui m'a fait revenir dans l'équipe de SeriesLive au lieu de simplement me contenter de mon blog : un site avec une base de données et une communauté, ça peut être super enrichissant si on sait s'en servir.

Et, enfin, surtout, c'est la raison pour laquelle je ne dirai jamais assez combien il est important de réagir à un article ou un post, que ce soit en apportant des compléments d'information ou en posant des questions. Cela peut permettre à tous de gagner 1 point de QI, et ça pousse le rédacteur d'origine à essayer d'aller toujours plus loin.
On gagne tous à bosser ensemble.

Publicité
ladytelephagy
Publicité
Archives
Publicité