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ladytelephagy
3 août 2010

[Day 3] Entre plusieurs maux...

MemeDay_3

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche V de SeriesLive.

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3 août 2010

Engagé

Picture it : Sicile, 1927.
Euh, non, pardon. Je vous ai dit que je finissais Les Craquantes ces derniers jours ?

Picture it : déjeuner dominical avec mes parents.
Dimanche, donc. Histoire de ne pas être obligée d'aller les voir chez eux, je les invite au restaurant japonais (c'est toujours marrant de regarder mon père demander une fourchette pour ses sushis pendant que je mange mon riz avec des baguettes). Et en plus, ça évite de faire la vaisselle.

Bref. En ce moment, lady est juste un peu occupée par : son nouveau boulot, ses nouveaux collègues, ses nouvelles attributions sur SeriesLive. Donc bien que lady essaye de parler de plein de choses, à un moment, c'était inévitable, lady commence à parler de séries du monde... difficile de déterminer si c'était le wasabi ou le sujet qui ont fait s'étouffer mon père.

Comme souvent lorsque je leur parle des séries que je regarde, je leur sers grosso-modo un résumé de ce que j'ai pu dire dans des posts récents : le fait de l'avoir posé noir sur blanc aide bien à définir les informations-clé qui seront intéressantes à ressortir dans une conversation avec quelqu'un qui n'a pas du tout suivi ce que j'en ai dit récemment. Donc j'évoque chaque pays déjà traversé (et celui de cette semaine, mais, ah ah, surprise ! je n'en dirai mot ici), et lorsque j'en viens à Israël, naturellement, je ressors mon couplet extatique sur la façon dont on ne peut dissocier la fiction israélienne de l'histoire d'Israël. On ne peut pas juste la regarder comme une fiction, c'est forcément une fiction d'Israël.

Et là, ma mère me dit : "oui, c'est une fiction engagée". Hmmmmnon. C'est pas engagé, ya pas de message politique. C'est juste ancré dans la réalité du pays. "Oui, mais si : c'est engagé quoi". Mmmmmais non. Non, là ça donne un côté revendication qui n'est pas exact. Engagée ? Ayrilik est engagée. Pas Mesudarim ou Srugim. Pourtant ces fictions ne sauraient être vues sans une vague conscience de leur origine ; il me semblerait difficile de faire passer ces séries pour américaines si elles venaient à être doublées par exemple (et, oh, oui, s'il-vous-plaît ! Doublez Mesudarim !).

MesudarimMessage

Mais j'ai depuis repensé à la réaction de ma mère. Je crois qu'instinctivement, elle voulait qu'on puisse tirer un message de ces séries (et des autres dont j'ai parlé, oui nan mais j'ai vu ton sourire narquois quand j'ai parlé de Naznaczony, ça va hein). Qu'on en retienne quelque chose qui dépasse la série elle-même. Et ça me semble une approche erronée de la fiction, du moins si elle est appliquée de façon systématique.
C'est pour ainsi dire une lubie dans ma famille. Quand on regardait un documentaire, ou parfois un film, surtout si c'étaient mes parents qui l'avaient choisi (et c'était le cas à 99% jusqu'à ce qu'un jour, ma sœur et moi apprenions à faire du lobbying, plus ou moins avec succès), à la fin, mon père ne manquait pas de demander : "alors, qu'est-ce que tu en as retenu ?", et je retenais surtout ce que j'avais ressenti, et pas vraiment de grande leçon sur la vie, la morale ou la dangerosité du monde extérieur (parce que, quand on regarde des reportages sur la délinquance, la violence, la drogue ou le métier de flic quasiment chaque semaine, quand c'est pas le travail des enfants, on peut pas vraiment dire que le message soit super positif). Alors il s'énervait et à partir de là, la suite m'appartient.

Mais enfin globalement, ça me semblait étrange de toujours vouloir tirer une leçon de tout. Surtout en matière de fiction. C'est bien d'essayer de réfléchir un peu sur ce qu'on a vu, et je m'efforce de le faire (quoique je ne sois pas aussi capable qu'Adam de Blabla-Series d'en tirer un enseignement philosophique), mais le ressenti a toujours sa place, et parfois il faut admettre que certaines séries se prennent pour cela, pour le ressenti, sans chercher à vouloir élargir au-delà des personnages. C'est notamment vrai dans le cas des séries asiatiques, qui s'intéressent plus à l'exploration de leurs personnages qu'à une situation généralisable dont il faut tirer un enseignement moral quelconque (si on le prend comme ça, 1 Rittoru no Namida devient incroyablement gnangnan, forcément !).

C'est à rapprocher, pour moi, de ces gens qui voudraient absolument qu'une série soit "réaliste". C'est ridicule. On ne demande pas United States of Tara d'être réaliste sur les personnalités multiples, ou à Nurse Jackie d'être réaliste sur le métier d'infirmière (des attentes d'ailleurs vite déçues). Pas plus qu'on ne demandait à Prison Break d'être réaliste sur la vie en prison, et ainsi de suite. Le principe de la fiction est de justement aller au-delà, d'explorer, par des extrapolations, des exagérations et des retournements de situation improbables, des thèmes intéressants, juste pour curiosité intellectuelle.
Les propos d'une bonne sœur que Jackie rapporte dans le pilote ("the people with the greatest capacity for good are the ones with the greatest capacity for evil"), montrent bien que la profession d'infirmière n'est qu'une excuse pour délivrer un personnage tout en nuances, effectivement capable de soigner, mais aussi capable de causer beaucoup de tort. C'est un combat intérieur entre le bien, le mal, et la zone de confort individuelle, que traite Nurse Jackie. Ce n'est pas une chronique hospitalière, pour ça, voir Urgences, et encore, il y aurait long à dire sur les quelques libertés prises avec le réel. Mais c'est le principe, et c'est tant mieux.

HugeMessage

Et quand Eclair dit qu'il regrette que Huge n'aille pas plus loin dans son exploration des problématiques de l'obésité, je dis que ce que traite Huge, c'est indubitablement le ressenti d'un obèse, et pas la politique nutritionnelle des fast-foods. Si Huge passe autant par les regards et par le non-dit, c'est parce que son sujet, c'est l'obèse, pas l'obésité. Le regard des autres, et non un regard sur le sujet. En cela, Huge est une série extraordinairement puissante, mais voilà, si on voulait une série qui condamne les politiques publiques sur la gestion de l'obésité et de la nutrition aux États-Unis, il fallait regarder une autre série, pas Huge dont ce n'est pas le propos central. Peut-être Gigantic, dont je n'ai pas encore réussi à dégoter un épisode ?
De la même façon qu'on ne regardait pas Ally McBeal pour sa critique du système judiciaire. Évidemment, ce sujet peut être effleuré plus ou moins volontairement par la série en question, mais il est quand même préférable de regarder The Practice pour une approche plus précise de ces problématiques.

Une fiction engagée à tout prix. C'est un peu comme une série historique fidèle à la chronologie à tout prix. Ça n'a qu'une valeur vraiment moindre à mes yeux. Je n'attends pas d'une série qu'elle remplace la lecture de journaux, de livres, ou les expériences réelles. Juste qu'elle serve de complément, pour le ressenti et l'approche de sujets que je n'aurais pas abordés de moi-même (par exemple parce que je n'ai pas d'infirmière dans mon entourage).
Une série n'a pas besoin d'être engagée pour être bonne. Même si ce peut être un plus, ce n'est pas essentiel.

2 août 2010

[Day 2] Allez quoi, en plus c'est pas long !

MemeDay_2

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Aishiteru ~Kaiyou~ de SeriesLive.

2 août 2010

Yen aura pour tout le monde

Eh bah voilà. Je vais encore passer pour une snob. Boh, allez : un peu plus, un peu moins...
Mais voilà : j'ai beau trouver qu'internet soit une chose merveilleuse quand on est téléphage, j'ai en revanche tendance à considérer qu'internet est mauvais pour ceux qui ne le sont pas.

Et en fait, c'est ça la conclusion que je tire du post d'Eclair, que je n'avais pas forcément bien interprété la première fois que je l'ai lu. Il faudrait en fait dissocier ce qu'internet apporte de façon individuelle, et ce qu'internet apporte aux "masses" (terme à ne pas prendre de façon aussi péjorative que la moyenne).

Avec internet, tout le monde se sent autorisé à avoir un avis.
Et à la base j'aurais envie de dire que c'est merveilleux. Quand je croise des téléphages passionnés mais discrets, j'ai tendance à les encourager à prendre la parole, à discuter, débattre, et si possible ouvrir leur propre blog, car l'accès à la multiplicité des points de vue est un des gros avantages d'internet. C'est encore plus vrai pour les filles qui semblent toujours plus sur leur réserve, dans ce milieu, mais c'est déjà un autre débat.
Néanmoins, le problème, c'est qu'internet a ouvert la téléphagie aux quatre vents, et que dans le courant d'air s'est engouffrée une masse de gens qui à la base, n'ont rien de téléphages, ils se contentent de voir ce qui passe à la télé quand ça passe, et ne cherchent pas à aller plus loin. Sur internet, ils parlent de ce qu'ils ont vu, souvent avec l'enthousiasme de celui qui est passionné essentiellement par manque de points de comparaison, leur avis manque cruellement de nuance et la seule information qu'ils cherchent, c'est celle qui porte sur ce qu'ils connaissent : les dates de diffusion, la vie des acteurs qu'ils voient sur leur écran...

Ceux-là, c'est ceux que j'appelle sur ce blog des télambdas.
Ils sont légion. Le phénomène des séries télé leur a donné accès à une offre immense mais dans laquelle il ne font pas de tri, ils laissent d'autres le faire pour eux. Pour eux, ce n'est jamais qu'une question d'offre et pas vraiment de demande, ils prennent ce qui vient, quitte à regarder une rediff des Experts Brisbane pour la 50e fois ou un épisode de The Mentalist dans le désordre. Du moment qu'on peut voir. Du moment qu'on peut participer. Du moment qu'on peut avoir l'impression d'en être.
Leur nombre augmente à une vitesse vertigineuse, à mesure que l'offre se multiplie. Ils consomment, uniquement. Les plus courageux, mais on est déjà dans les strates les plus prometteuses, ouvrent un skyblog. Parfois, d'un ou deux, on parvient à faire un téléphage un peu plus réfléchi et posé, quelqu'un avec un sens critique et l'envie d'aller plus loin. A ceux-là on peut montrer une série qui n'est pas encore arrivée en France, un truc de Showtime ou AMC qui fait peu parler de lui ici, une série britannique éventuellement, si le germe Doctor Who a préparé le terrain, merci à France 4.

Mais dans leur immense majorité, les télambdas sont un peu comme une mule refusant d'avancer, mais pas décidée non plus à reculer : ils veulent regarder la télé mais surtout, qu'on ne les dérange pas dans le confort de leur vague appréciation distante du sujet.

MuleduPape

Ce sont hélas des télambdas qui s'expriment sur les forums et les commentaires d'un certain nombre de sites et blogs. On ne peut pas les en empêcher : c'est internet, et tout le monde a droit à la parole sur internet. C'est le principe, et la démocratie d'internet n'apprécie pas qu'on pose des limites.

Mais parfois, juste parfois, j'aimerais que sur lesdits sites et blogs, ces télambdas se posent une question vitale avant d'intervenir : "quelle est ma légitimité à intervenir ?".

Le télambda se croit souvent être autorisé à nous gratifier de ses commentaires et ses réflexions. Il n'a pourtant qu'une connaissance très limitée de ce milieu, mais eh, les séries sont un phénomène populaire et tout le monde a le droit de parler sur internet, alors pourquoi pas lui ?
Il y a ceux qui s'intéressent, se renseignent, se posent des questions et ont la bonne idée d'en poser à voix haute. Ceux qui tâtonnent, qui n'ont pas encore tout compris de certains points du système de diffusion ou de la réalité d'un tournage, mais qui participent avec ce qu'ils savent et s'améliorent progressivement.
Et puis, parmi les télambdas, il y a un énorme creuset de trolls potentiels, des mecs qui ne comprennent rien à rien mais c'est pas ça qui va les arrêter.

Je ne crois pas un seul instant qu'il faille museler ces intervenants là. Mais je pense que s'ils ne font pas l'effort de se renseigner un peu avant d'ouvrir une fenêtre de commentaire, et qu'ils finissent par prouver leur complète ignorance avec fierté, voire même une arrogance revendicative, on devrait aussi, en tant que personnes censées fréquentant une communauté informée, avoir le droit (le devoir ?) de leur faire fermer leur clapet et les réduire au silence jusqu'à ce qu'ils acquièrent, à défaut d'une maîtrise suffisante de leur sujet, au moins le talent de savoir quand ils sont à leur place, et quand ils n'y sont pas.

Oui, internet, c'est vrai, est particulièrement nuisible lorsqu'on fréquente ce genre de malotrus qui ne connaissent rien à rien mais qui en sont ravis. Internet a créé le télambda. Et le pire, c'est que certains sont complètement fermés à la moindre ouverture d'esprit. La liberté d'expression, j'en viens à penser qu'il ne faut s'en servir que si on jouit d'un certain nombre de capacités intellectuelles...

Mais pour tous les autres : bienvenue. Si vous y mettez du vôtre, vous allez vraiment vous éclater. Et si vous avez envie d'en savoir plus sur quelque chose, que vous voulez découvrir l'inconnu ou poser des questions, sérieusement, du fond du cœur, je suis à votre disposition.

1 août 2010

[Day 1] Attention, un post à suspense !

MemeDay_1

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Pushing Daisies de SeriesLive.

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1 août 2010

Dimanche ensoleillé

Ah bah dis donc, c'était presque des vacances, cette semaine ! Une véritable promenade de santé... bon pas tout-à-fait mais presque. Par rapport aux tonnes de traduction et recherches de sources anglophones (ou vice-versa) de la semaine passée, le travail sur la fiction sud-africaine a pour ainsi dire relevé d'une facilité déconcertante.

AfriqueduSud_Sagaafrikaans
Saga afrikaans : la télévision sud-africaine pour les nuls

Gloire à l'Afrique du Sud qui pratique, entre autres, l'anglais couramment dans un grand nombre de ses programmes. Je n'ai pas manqué de lecture, et j'ai pu me focaliser sur ce qui compte vraiment, le contenu, au lieu de buter obstinément sur le contenant pour de bêtes raisons d'inculture linguistique de ma part. Ah, comme ça va me manquer, les pays au moins partiellement anglophones, dans la suite de mon exploration...

Mais bien-sûr, il y a une mauvaise nouvelle. Il y a toujours une mauvaise nouvelle, hélas, quand on se frotte à l'inconnu (ou quasiment), du fait des sentiers non-battus qu'il faut défricher. Et en l'occurrence, niveau cagoules, c'était vraiment le néant. J'y repasserai peut-être un peu plus de temps, car j'ai vu sur certains blogs des captures qui tendent à laisser penser qu'il y a quelque part des fichiers qui flottent dans l'inconnu, il faut juste trouver la source, dégoter le lieu où se retrouvent tous les téléphages sud-africains et aller y pêcher le fichier. Après tout, c'est le cas pour l'Inde dont les fictions sont très rares sur les grandes sources de cagoulage international.
Mais le rythme (que je me suis moi-même imposé, il est vrai) des articles de l'été sur "la télévision étrangère pour les nuls" ne me permet pas de lambiner en route. A peine cet article posté, me voilà déjà à faire des repérages de documentation pour la semaine prochaine. Personne ne m'oblige, mais ce serait dommage d'arrêter maintenant, quand il y a tant à découvrir encore. Il sera toujours le moment d'y revenir quand cette série d'articles sera derrière moi !

Les seuls extraits (même pas d'épisode entier...) que j'ai pu voir sont ceux d'Egoli, un soap, ou plutôt soapie puisque c'est comme ça qu'on dit en Afrique du Sud, dont la propriété principale est d'être une copie conforme d'équivalents américains.
Ce qui frappe, quand on débarque sur une video d'Egoli (et c'est un des rares cas dans lesquels je vais vous recommander d'aller sur le Mal pour ce faire), ce sont deux choses. La première et la plus évidente, qui laisse forcément perplexe quand on connaît l'histoire du pays dans ses grandes lignes, c'est que tous les acteurs sont blancs. La mixité est totalement exclue d'Egoli, au point que si je ne savais pas que la série est sud-africaine en amont, je ne le croirais pas. Et puis, dans un second temps, on remarque que deux langues se mélangent dans les dialogues d'une même scène, l'anglais et l'afrikaans. Et moi je dis chapeau aux spectateurs sud-africains qui sont capables de suivre une série dans deux langues à la fois, alors qu'on a parfois du mal dans une seule. C'est différent de la technique indienne de mélange. S'il y a une perméabilité entre l'anglais et l'afrikaans de temps à autres (avec un mot anglais qui se balade dans une phrase en afrikaans, par exemple), le cas le plus fréquent semble être qu'un personnage parle en afrikaans et que l'autre lui répond en anglais.
Ça fait rêver sur la culture linguistique d'un pays, ce genre de choses.

Bien qu'elles s'en défendent, les chaînes pratiquent encore une forme de ségrégation. Dans les séries que j'ai fichées (ou que j'ai prévu de ficher, car il m'en reste sur ma liste), je n'ai pas pu m'empêcher de relever qu'un cast est en général tout blanc ou tout noir, et que le panachage n'est pas la norme. Si la télévision a du mal à le faire, c'est bien qu'il doit y avoir encore quelques restes d'apartheid qui trainent dans les mentalités en général.

La série que j'aimerais bien voir, c'est Andries Plak, l'histoire d'un vieux ronchon qui se trouve exproprié de sa ferme (à cause de la redistribution des terres) et devient un squatteur, emménageant dans un logement abandonné avec l'un de ses anciens employés. Le premier est blanc, le second noir. Le sujet est brûlant, et pourtant il s'agirait d'une comédie...
Je suis toujours admirative des pays qui parviennent, sous le couvert de la légèreté, à explorer des thèmes difficiles. Là aussi, c'est à rapprocher de l'Inde (on a déjà parlé des soaps indiens et leurs sujets souvent courageux), sauf qu'entre le soap et la comédie, il me semble y avoir un effort supplémentaire de prise de distance. Avec la comédie, on est quelque part obligé à un moment ou un autre de passer par la satire, et d'après ce que j'ai lu il semblerait que l'Afrique du Sud, en dépit de ses séries blanches d'un côté et noires de l'autre (en tous cas c'est l'impression que ça donne ; et quand c'est mélangé en bonne intelligence comme dans 7de Laas, les spectateurs grognent que c'est une vision idyllique voire utopique des choses), fasse partie des pays les plus corrosifs en matière de comédies. Ce n'est pas une comédie ouvertement contestataire, mais c'est une forme de comédie qui n'hésite pas à prendre les sujets de société les plus difficiles pour en rire. Comme d'habitude chaque fois qu'une série me propose de rire de ce qui n'est pas drôle, ma curiosité est piquée.

Vous le voyez, cette semaine encore, de nouveaux enjeux...
Si vous suivez sur une carte (j'en avais fourni une il y a quelques jours), vous aurez d'ailleurs remarqué qu'on a traversé l'Afrique un peu prestement... c'est normal, il y a encore beaucoup à voir.

Alors, qui devinera où je vous emmène la semaine prochaine ?

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