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ladytelephagy
20 août 2010

[Day 20] Pas trop déçus ?

MemeDay_20

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Corky de SeriesLive.

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20 août 2010

Vautours !

Cas d'école.
Je surveille, comme à peu près tous les jours quand le Dieu de la Téléphagie me le permet (mais le Démon du Travail intervient parfois...), mes sources habituelles de news. Aujourd'hui ne m'a pas demandé d'effort particulier, car pour ainsi dire tout le monde en parle. Même JMM, c'est dire.
Me voilà donc à préparer une news sur une série égyptienne qui fait débat, et dont il me semble intéressant de souligner qu'elle présente un certain intérêt dans le contexte politique du pays, outre le fait qu'il est assez rare qu'une série s'intéresse à l'histoire contemporaine. Quel que soit le pays, ça semble plus facile de s'intéresser à quelque chose qui commencerait à dater d'il y a plusieurs décennies, voire si possible plusieurs siècles, plutôt que de heurter quelques susceptibilités. Je trouvais ça intéressant et après avoir pesé le pour et le contre (parce qu'avec les réactions de certains, cette démarche de 10 minutes est devenue obligatoire et conduit dans 70% des cas à une auto-censure un peu agaçante...), je me suis dit que je ne serais pas la seule. L'un des intérêts de la téléphagie, ça reste quand même bien quand elle nous permet de réfléchir à quelque chose de plus large...

AlGamaa

Al Gama'a, c'est son nom, est donc une série qui fait polémique et si vous tentez une petite recherche sous Google avec son titre, vous ne pouvez pas la rater.
C'est là mon problème.

Car quand on recherche Al Gama'a, on ne tombe que sur divers échos (plus ou moins pompés les uns sur les autres) de cette polémique. Écoutez bien : j'ai même été infoutue de trouver exactement sur quelle chaîne la série est diffusée. C'est vrai que je fais mes recherches depuis le boulot, d'un endroit sensible, en plus, où je ne suis pas certaine que trouver "al gama'a al islamiya" dans mon historique soit bien vu, mais le fait est que je n'ai pas trouvé. J'ai mes soupçons, pour m'être intéressée à la télévision égyptienne voilà quelques semaines, mais pas de confirmation. A vrai dire, si ce n'était pour la seule photo légendée que j'ai trouvée, je ne saurais même pas vous dire qui joue dedans. Quant à savoir qui la produit, c'est simplement hors de question.
Et ça me chagrine, que voulez-vous, parce que par nature je suis du genre à aimer fignoler mes fiches, et qu'étrangement je n'ai pas ce problème pour des quantités de séries, diffusées dans des langues que je ne comprends pas plus que l'arabe.

Étrangement, quand une série égyptienne (ou libanaise, ou peu importe) fait débat, là, tout le monde se rue dessus. Mais si elle c'est une comédie, ou une romance, ou le biopic d'une star locale, ou une saga historique gentillette, là tout d'un coup ya plus personne.

Bande de vautours.
Dés qu'il y a quelque chose de négatif à faire ressortir (ici, les récriminations d'une organisation islamiste dont les procédés ne semblent pas vraiment faire l'unanimité, pour dire les choses avec diplomatie), on y va ! Ah ça, si on peut expliquer que le pauvre scénariste est seul contre tous, même si son regard est, bon, peut-être partial dans le fond, là c'est bon, là ça cause.

Et toutes les autres séries, messieurs les journalistes ? Toutes les autres, celles qui permettent de relativiser ? Imagine-t-on ne parler que de 24 pour aborder la fiction des États-Unis ? Ah mais pardon, ce sont les Américains, ils ont des laisser-passer à l'année sur nos chaînes nationales, pour eux on veut bien apporter de la nuance...

Je suis Française, je suis agnostique, et ça me choque. Je n'imagine même pas ce que je ressentirais, en tant que téléphage et en tant que rédactrice sur SeriesLive, si j'étais d'origine arabe ou de confession musulmane. J'aurais probablement tendance à le prendre encore plus mal que là. Je trouve ça d'une hypocrisie inouïe. Ça en dit long sur nos mentalités occidentales. Bon, je ne suis pas en train de dire que je vais apprendre l'arabe juste pour changer ça, parce que j'ai déjà le Japonais sur le feu, et que j'ai toujours ce rêve de consacrer du temps à l'apprentissage du Suédois, mais sachez que l'idée m'a traversée, c'est peut-être extrême mais j'ai eu une telle réaction de dépit, de dégoût et de lassitude que franchement, je me suis dit qu'il fallait y faire quelque chose.

Parce qu'en tant que téléphage à peu près curieuse, ça va, je pense que j'arrive à faire la part des choses. Quand je passe des heures pour trouver des infos sur UNE série égyptienne, syrienne, algérienne... quelque part, je me mets hors de danger. Hors du danger de penser de façon systématique que toutes les séries égyptiennes ont forcément ce goût de polémique, voire de provocation. Mais les autres ? Les téléphages peu curieux ? Les télambdas ? Pire, les gens qui n'en ont rien à faire et qui tombe sur cette info parce qu'elle est relayée par le Figaro ou le Nouvel Obs ? Quelle peut être leur vision de l'Égypte ? Quelle est l'information résiduelle qu'ils en ont ? Forcément déformée, plus encore que pour moi qui tente de m'intéresser à une partie minuscule de ce qui se dit en Égypte, via la télévision.
Ça me révolte, je ne vous le cache pas.

Bon, j'avais déjà effleuré ce sujet, mais je ressentais le besoin de revenir sur ce petit scandale, quand même. Comme je le disais, parler de notre rapport aux séries arabes ne me semble pas tout-à-fait anodin...

19 août 2010

Insérer ici une référence à Madame est Servie

Et là, quelque part, j'ai la sensation que tout est dit.
A la nuance près qu'Angela ne se sentait pas obligée de mouler son petit bidon dans des robes minimalistes, qu'elle ne ressentait pas non plus l'impérieux besoin de se percher sur des talons de prostipute, et qu'évidemment, il y avait Mona.

Voilà, là j'ai fait le tour.

MelissaJoey

J'déconne pas, c'est vraiment tout. Eh, si ABC Family n'éprouve pas de scrupules à diffuser une série comme Melissa & Joey, pas de raison que j'en aie plus à balancer ce rachitique post...

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Melissa & Joey de SeriesLive.

19 août 2010

[Day 19] Sans exception

MemeDay_19

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Battlestar Galactica de SeriesLive.

18 août 2010

Killing me softly

NaneunJunseolida

Pauvre petite fille riche.
On a beau savoir deux-trois trucs sur un personnage avant de faire sa connaissance dans un pilote, les faits sont là : chaque fois que l'un d'entre eux est pété de thunes, irrémédiablement, on a du mal à le plaindre. De la même façon qu'il ne peut être tout-à-fait gentil, il ne peut pas être tout-à-fait triste, vous voyez ?

Mais Naneun Junseolida parvient tout de même, après quelques premières minutes poussives et un peu molles, à progressivement nous faire apprécier Seol Hee, son héroïne, et cela sans en rajouter dans les violons. Car en dépit de ses promesses musicales (exposées d'entrée de jeu, et rappelées à intervalles réguliers), Naneun Junseolida n'est pas vraiment une série sur la passion de la musique, ou alors, vraiment il faudra voir ça après le pilote. Non, il s'agit avant tout d'une série sur une femme brisée au dernier degré qui va se reconstruire par la musique. Et c'est largement différent.

Le parcours de Seol Hee avait bien commencé : jeune femme populaire, la voilà à tomber enceinte et se voit plus ou moins embarquée dans un mariage de raison, la famille de Monsieur étant d'un certain milieu. Mais elle fait une fausse-couche et depuis tout le monde la regarde comme si elle avait roulé sa belle-famille pour leur arracher un beau mariage. Et son époux n'en pense pas moins. Elle n'est qu'un accessoire en société, pour lui. Et encore, tout juste. Sa belle-mère ne fait d'ailleurs pas tant de manières et plutôt que de l'ignorer, elle préfère la rabaisser dés que possible.

Infantilisation, chosification, négligence permanente, mépris, humiliations... ah elle est belle la vie de "femme de", ah ça donne envie. Totalement déshumanisée, Seol Hee cherche désespérément à exister, et finit par ne s'attirer que plus de dégoût de la part de sa belle-famille encore. Pire, elle ne parvient même pas à trouver de réconfort auprès de sa sœur, seule famille qui lui reste et qui ne tient pas non plus en haute estime les choix qu'elle a faits. Et à vrai dire, quel choix a-t-elle vraiment fait ? Tout est en place pour que Seol Hee semble être la victime innocente des circonstances. C'est un peu énervant. Et quand on croyait pouvoir difficilement plus pathétique, voilà que sa sœur est frappée par un cancer de la moelle épinière et qu'évidemment, Seol Hee est compatible, mais que sa famille lui interdit de donner sa moelle. Faites entrer les violons.

Alors ce qui fait la différence, ce qui fait que, vraiment, on s'attache, c'est le traitement. On sent qu'elle pète les plombs, la Seol Hee, qu'elle cherche à s'échapper d'elle-même et qu'elle finit plus emprisonnée encore. Elle est coincée. Elle n'a pas d'issue. Elle tourne en rond dans sa cage dorée et elle n'inspire que détresse. D'accord, elle va passer beaucoup de temps à s'essuyer les larmes qui lui dégoulinent du menton, mais surtout, Seol Hee va donner l'impression d'alterner les phases où elle se débat, et celles où elle accepte de se noyer. La scène récurrente qui consiste à la voir broyer du noir dans sa penderie luxueusement meublée est en cela l'un des meilleurs outils.

Dans ces conditions, quand arrive la chanson de fin d'épisode, et qu'on réalise à quel point elle est merveilleusement intégrée dans l'histoire, on percute. On comprend ce que Glee a raté dans l'intégration de ses chansons (et croyez-moi la comparaison s'arrêtera là), on comprend ce que c'est que d'utiliser la musique pour servir l'histoire.
Et pas l'inverse.

C'est brillant. C'est brillant parce que c'est fait avec tact et que franchement c'était pas gagné. Et juste comme ça, la musique prend une raison d'être dans l'existence de Seol Hee. Ce n'est pas un prétexte pour faire chanter les personnages principaux (ou d'autres), c'est une partie intégrante de l'histoire. Un personnage à part.

Le démarrage a donc été lent, un peu laborieux même, et on a frôlé de peu une énième série misérabiliste sur laquelle verser quelques larmes règlementaires. Entre de mauvaises mains, ce scénario aurait été tellement cheap. Mais non. C'est donc avec plein d'espoir (celui que les choses continuent d'aller s'améliorant) que je m'apprête à continuer Naneun Junseolida, d'autant que la fin du pilote a donné une impulsion supplémentaire, en donnant une occasion au personnage de dépasser la situation de départ et prendre de vitesse tout le monde. Je ne pensais pas que ça viendrait d'elle. C'est appréciable de voir un personnage aussi indépendant des poncifs qu'on attend de pareil scénario.
Voilà une série qui peut beaucoup offrir, pourvu de ne pas se relâcher.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Naneun Junseolida de SeriesLive.

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18 août 2010

[Day 18] Indétrônable

MemeDay_18

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Twin Peaks de SeriesLive.

17 août 2010

Des intégrations

A la faveur d'un coup d'ennui, dimanche après-midi (j'ai souvent un méchant coup de blues le dimanche une fois l'article de la semaine posté, je suppose que c'est, toutes proportions gardées, une forme de dépression post-partum), j'ai attrapé le premier DVD qui trainait, et lancé le pilote. Et les deux épisodes suivants. Et me voilà, on est mardi, j'ai déjà vu 5 épisodes, en plus de tout le reste, et mes plannings téléphagiques sont de nouveau tombés à l'eau.
Mais ce qui me frappe devant cette série, c'est la faculté qu'ont certaines personnages de fiction à se réinventer.

C'est une source d'admiration sans fin pour moi : voir un personnage changer de vie et s'intégrer parfaitement dans la nouvelle. Que l'ancienne vie soit un secret ou non ne change rien à mon admiration. Il y a à la télévision des personnages qui peuvent changer de vie sans problème, sur la seule base de leur volonté.

Ah, comme cela parait formidable ! On était quelqu'un, on devient quelqu'un d'autre. Et tout le monde voit cette nouvelle personne sans y trouver à redire. Sans trouver cela étrange. Sans qu'à aucun moment, oui, c'est ça le plus fou, sans qu'à aucun moment la présence de cette nouvelle personne comme incongrue ou étrangère.

L'exemple le plus fou de réinvention constante, suivie de façon systématique d'intégration dans la société, c'est Le Caméléon. C'est même tout le principe : non seulement Jarod a la capacité intellectuelle de prendre une nouvelle identité dans chaque épisode, mais surtout, le reste de la société l'admet immédiatement dans sa nouvelle identité. Personne ne se dit "ah, tiens, il n'est pas tout-à-fait à sa place, ce gars", ou "un médecin confirmé n'aurait jamais dit ça", non, Jarod parvient à chaque fois à donner l'impression d'être à sa place. D'être parfaitement intégré.
Si je peux me permettre, il n'y a bien qu'une série remplie de blancs qui puisse donner l'impression que s'intégrer à la société est si facile...

C'est un rêve que beaucoup formulent, et très peu réalisent : choisir de tout changer, d'abandonner tout ce que l'on est et de se construire une identité à partir de rien, et tout de même parvenir à trouver parfaitement sa place auprès des autres.
Personnellement ça fait 28 ans que j'essaye et je ne suis jamais parvenue à un résultat aussi parfait que celui qu'obtient Jarod toutes les 45 minutes.

Alors depuis trois jours que j'ai repris Mad Men, je suis circonspecte. Don Draper s'est parfaitement inséré. Intégré. Bref il fait parfaitement illusion. Il n'est pas comme eux mais c'est tellement bien imité. Je voudrais tellement que tout le monde le regarde en se disant que ce mec-là n'est pas chez lui ici. Je voudrais tellement que les autres personnages regardent Don Draper comme je le vois, comme un homme qui a réussi à s'inventer une vie. D'où l'homme tient-il ce don qui lui permet d'être un brillant créatif quand ça n'était pas sa première vie ? Où se cachait donc ce talent dans cette vie antérieure ? Comment est-il possible que la seconde vie soit si réussie ?
J'ai une histoire compliquée avec Mad Men qui fait qu'à ma grande honte, je n'étais jamais parvenue aussi loin. Je n'en suis pas fière, d'autant que j'ai aimé la série depuis le premier jour, et les tags vous le confirmeront. Mais aujourd'hui que je regarde la série... je m'aperçois que je suis éperdument jalouse de ce don pour l'intégration.

TwoWorlds

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Mad Men de SeriesLive.

17 août 2010

[Day 17] Mini format, grande série

MemeDay_17

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Band of Brothers de SeriesLive.

17 août 2010

Pot de fer VS pot de terre

C'est ça le problème. Une saison commence. Vous regardez des pilotes. Bien-sûr vous êtes plus attiré par certaines séries que par d'autres. Rapidement, parmi les premiers pilotes visionnés, des favoris se détachent, des coups de cœur ont lieu. Il y a quelques déception, bien-sûr, mais à mesure que les semaines passent, vos préférences sont suffisamment marquées pour qu'il n'y ait plus vraiment de place pour d'autres. Votre capacité maximale d'émerveillement semble atteinte. Oh bien entendu, ce n'est que temporaire. Dans un mois ou deux, trois peut-être, il y aura d'autres pilotes, d'autres coups de cœur. Mais pour le moment, on a tout ce qu'il nous faut, merci.
Et c'est pourtant là qu'arrive un pilote. Un pilote de la saison en cours, qui n'avait rien demandé à personne, qui a juste le tort d'arriver après tout le monde.

Gakepucchi no Eri est dans ce cas-là. Je suis à peu près certaine que dans d'autres circonstances, si je n'avais pas déjà été bluffée par Atami no Sousakan et absolument ravie par GOLD, j'aurais trouvé cette série... sympathique. Peut-être même mignonne. Voire éventuellement... non, ç'aurait certainement été tout. Mais c'est déjà bien.

Au lieu de ça, j'ai regardé le pilote de Gakepucchi no Eri en me disant "ouais, bon". J'ai un peu ri et même versé une mini-larmouchette à un moment, mais c'était de façon complaisante, genre "allez, ils ont fait l'effort de ne pas torcher cette scène", ou pire : "je sens bien qu'il faut pleurer, là".
Mais que voulez-vous ? C'est difficile de passer derrière mes coups de cœur de la saison, à plus forte raison si on ne peut pas rivaliser. Tout ce qui est moins bien devient forcément médiocre.

Gakepucchi

Je devrais peut-être redonner une chance à Gakepucchi no Eri plus tard, dans une période creuse par exemple. Parce qu'il y a de bons ingrédients, en dépit de quelques autres qui sont assez classiques ("je réaliserai mon rêve !"). Cette fois, la grande différence avec les séries sur le héros qui veut devenir quelque chose à tout crin, c'est que les obstacles ne semblent pas artificiels : si Eriko a tellement de mal à devenir dessinatrice, ce n'est pas parce que des filles se moquent d'elle, parce que son prof est un connard ou parce qu'elle n'est pas sûre d'avoir ce qu'il faut. C'est parce qu'elle n'a pas d'argent. Et les autres désagréments sont une conséquence de ce manque d'argent, ce qui le rend soudain bien plus réalistes que lorsqu'une série s'échine à dégoter des personnages fondamentalement méchants qui n'ont que ça à faire de s'en prendre au héros pendant une douzaine d'épisodes. Ici, il n'y a pas de gentil et pas de méchant, il y a seulement ceux qui ont un peu d'argent et ceux qui n'en ont pas du tout.

Et j'apprécie de voir (au vu du trailer du 2e épisode, ça va même devenir de plus en plus intéressant) une Eriko désespérée au point d'accepter à peu près n'importe quel boulot pourvu de pouvoir payer son matériel pour les cours. Malgré son ton de comédie et ses personnages un peu caricaturaux, la série s'aventure sur ce terrain comme elle l'avait promis, et ça fait plaisir.

Mais voilà, malgré ces petites choses qui me plaisent, Gakepucchi no Eri a débarqué au mauvais moment, et la seule chance qu'elle ait de se voir consacrer un peu d'attention de ma part, c'est quand mon esprit n'est pas épaté par la bizarrerie d'Atami no Sousakan, par exemple. Je répète ce titre parce que si vous n'avez pas encore vu la série, ça peut vous servir d'aide-mémoire.
Retente ta chance dans quelques semaines, petite. T'as pas les moyens de rivaliser.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Gakepucchi no Eri de SeriesLive.

16 août 2010

[Day 16] C'est malin, maintenant j'ai faim

MemeDay_16

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Pasta de SeriesLive.

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