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ladytelephagy
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13 novembre 2009

[DL] Ooku

Ce qui fait le charme du générique d'Ooku (du moins, dans la saison que j'ai pu voir, surnommée Hana no Ran), c'est avant tout son thème musical, choisi sciemment comme assez éloigné de l'image traditionnelle de la série. Il faut dire que prendre une chanson de Tokyo Jihen pour générique, c'est un peu comme jouer à la roulette russe, on ne sait jamais ce qui va sortir.

Ooku
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

A part ça, disons ce qui est, visuellement, ce n'est pas Byzance (et pour cause). Les tableaux sont relativement... allez, je vais dire "jolis", parce que je suis d'une bonne nature. Mais bon, c'est quand même un peu convenu, et surtout très lent. Sans compter que ç'aurait pu être un concept de prendre uniquement des tableaux quasiment immobiles pour accompagner la chanson, sauf qu'on a aussi des extraits d'épisodes. C'est brouillon à en pleurer tout ça.
J'vais me refaire un coup de Tokyo Jihen, tiens.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Ooku de SeriesLive.

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13 novembre 2009

[DL] Monster Parent

C'est court, mais ça fonctionne à fond. Monster Parent a résolument pris le parti de jouer avec son pitch (et son titre), et ce générique, qui tient plus du panonceau, parvient tout de même à donner une ambiance formidable. Preuve qu'un générique n'a pas besoin d'être long pour être efficace, pourvu qu'il soit imaginatif.

J'aimerais bien glisser une oreille vers la version longue de ce générique, si elle existe, le violoncelle, une fois de plus, me ravissant au plus haut point. D'une façon générale, la B.O. ultra-référencée de la série doit être un vrai bonheur, d'ailleurs.

MonsterParent
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Délice suprême (que vous ne trouverez pas dans la video pour des raisons qui vont vous apparaitre comme évidentes), la façon dont le générique est introduit.

Dans le pilote, le générique intervient en effet après plus de 16 minutes d'épisode. L'ambiance a été posée, les problématiques aussi, on a largement fait connaissance avec les personnages principaux ; le générique n'a donc plus aucune de ces missions à accomplir. Alors que l'héroïne vient d'être mise en présence d'un exemple flagrant de "monster parent" (toutes les explications se trouveront en suivant les tags), elle en apprend le terme, que jusque là elle n'a encore jamais entendu. Un bruit de pas lourd se fait alors entendre et la caméra tremble ; elle jette un regard affolé vers un côté de l'écran, et là, commence le générique ci-dessus. Le générique de Monster Parent a tout simplement servi de ressort humoristique, totalement intégré dans la narration de l'épisode. Sympa, non ?

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Monster Parent de SeriesLive.

7 novembre 2009

[DL] Gyne

On est vraiment dans le haut du panier, là. Et les spectateurs habitués aux génériques occidentaux, notamment pour les séries médicales, ne seront pas déphasés, tout en ayant l'occasion d'admirer une nouvelle démonstration du goût des Japonais pour le mélange inattendu. Mesdames et Messieurs, veuillez applaudir le générique de Gyne !

Ce que j'aime dans ce générique, ce sont ses couleurs, d'abord. Parce que le bleu et le rouge sont magnifiquement utilisés (même si certains plans sont plus quelconques, ils sont largement minoritaires) et donnent une impression mêlée de douceur et d'action, ce qui est parfait. Le code couleur identifie bien la série médicale, en plus, ce qui rend ce générique très efficace.

Gyne
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Et puis, il y a la musique d'autre part. Et c'est pour moi un plaisir d'entendre du reggae pour un générique de série médicale. Je ne sais pas si une série américaine aurait osé sortir du poncif des thèmes musicaux habituels (vous en trouverez quelques uns ici, le plus osé étant celui de Presidio Med, c'est dire). Qui plus est, c'est pour moi l'occasion de vous présenter la chanteuse lecca, chère à mon cœur depuis quelques années, capable de sortir du reggae mâtiné de pop comme ici (ou ) comme du dancehall plus ciblé club (comme ceci). Il ne sera pas dit que je n'ai pas nourri votre curiosité de nouveaux horizons à découvrir ! (alors le prochain qui, comme mon patron cette semaine, me parle de "la musique de manga, là", je le décapite séance tenante)

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Gyne de SeriesLive.
Et pour ceux qui manquent cruellement de curiosité : la fiche lecca de Teruki Paradise.

7 novembre 2009

[DL] Enka no Joou

Ce n'est pas que le générique soit extraordinaire. Ce n'est pas qu'il soit suprêmement original. Ce n'est pas qu'il soit esthétiquement incroyable. C'est juste que je pense qu'il va faire très plaisir à au moins l'un d'entre vous. Et ça, ça n'a pas de prix.

EnkanoJoou
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

On constatera que la chanson choisie n'est pas de l'enka. J'avoue que ça m'aurait bien fait marrer qu'on utilise le même concept avec une chanson d'enka, la chanson-phare de l'héroïne Himawari par exemple, mais franchement l'effet aurait été moins léger. Le résultat est bon enfant, convivial, chaleureux... c'est genre "merci de regarder notre série, ya plein de visages que vous connaissez dedans !", c'est plus une façon d'établir un lien avec le spectateur que de raconter une histoire, impressionner par la mise en scène... Pourquoi pas, quelque part !

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Enka no Joou de SeriesLive.

7 novembre 2009

[DL] Around 40

Contrairement au post précédent, je n'ai que des choses positives à dire sur Around 40. Et le générique ne fait pas exception. Autant il y a beaucoup de génériques pour des séries ayant la même thématique qui sont épouvantablement quelconques, autant ici on sent que le générique a été pensé. Déjà parce que graphiquement, c'est une réussite...

Around40
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

...et surtout parce qu'avoir l'idée de mélanger les thèmes de la série avec des éléments de l'histoire d'Alice aux Pays des Merveilles, c'était une idée merveilleuse. Le Lapin Blanc qui court après le temps, les étranges explorations de l'héroïne, ses changements de taille... Je trouve ça à la fois rafraîchissant parce qu'on aborde la série d'une façon détourné, et furieusement futé pour nous mettre dans le bain. Sans pour autant être un générique super compliqué, celui d'Around 40 remplit pleinement ses attributions.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Around 40 de SeriesLive.

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6 novembre 2009

[DL] Tokyo DOGS

Tokyo DOGS a des tas de défauts. Comme on veut tous aller se coucher à un moment ou à un autre ce soir, on va pas se mettre à les énumérer. Mais du coup, les qualités n'en ressortent que mieux. LA qualité. Bref.
Et en l'occurrence, Tokyo DOGS s'avère avoir un excellent générique. Tout porte à croire qu'il a nécessité plus de réflexion, de travail et de méticulosité que la série elle-même.

TokyoDOGS
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Alors, bon, même si je ne suis pas fan de la musique (bien que je soupçonne, en voyant la toute fin pendant les panneaux publicitaires, que la version longue puisse valoir le coup), je trouve quand même que graphiquement, on a un truc qui a de la gueule. Non pas que ce soit original maisc'est efficace et parfaitement graphique.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Tokyo DOGS de SeriesLive.

6 novembre 2009

Une par doigt de la main !

Tiens, voilà qui va peut-être vous donner des pistes pour le jeu des génériques nippons ! Si, le jeu, là, dessous !
Un nouvel article a vu le jour sur SeriesLive, avec 10 (car il fallait bien en choisir) séries qui semblent incontournables au vu de ce qu'en disent les différentes communautés compétentes.

MakiSushiTV
10 séries japonaises que vous devez avoir vues

Je ne vous raconte pas le travail de recherche, et surtout les maux de tête, pour parvenir à rétrécir la liste à 10 séries. Mais bon, vous savez ce que c'est, la téléphagie : on commence avec 10 et puis, après...
Reste que je trouve que ça fait une bonne base pour qui voudrait entrer dans la danse avec quelques uns des titres les plus connus.

Tiens, j'sais plus si je l'ai mentionné, mais sur SeriesLive on a dépassé la centaine de fiches japonaises, alors n'hésitez pas à aller faire un tour dans le groupe "Dorama" et/ou sur le forum asiatique du site, pour découvrir plus de séries encore !

6 novembre 2009

[GAME] Défi nippon !

Je suis bien obligée de l'admettre, jusque là, aux jeux des génériques, vous avez toujours déchiré. D'un côté je suis fière de vous, ça veut dire que vous êtes de bons petits, sérieux, bosseurs, vous regardez bien toutes vos séries, vous êtes attentifs, en un mot je vous ai à la bonne. M'enfin, pour moi tout le challenge, c'est quand même bien d'essayer de vous piéger. Alors attention, de plus en plus fort. Cette fois, le thème du jour est : les dorama !
Comment ça, "vous l'aviez vu venir" ?

Eh bien si vous êtes si malins, je présume que vous saurez deviner de quelles séries il s'agit ? Voici donc, comme il est de coutume de le faire, une liste de 10 séries dont vous devez retrouver le titre pour en découvrir le générique.

Attendez ! Avant, je précise avant toute chose que TOUTES les séries à deviner ont été citées sur ce blog, certaines plusieurs fois. La majorité sont retrouvables facilement (je ne vous fais pas l'affront de vous dire comment) car elles ont eu tout un post à leur honneur, le reste est laissé à votre déduction et aux éventuels renseignements que vous pourriez trouver, je ne sais pas, mettons... sur un site, mettons. J'en sais rien, j'imagine. Bref, même si vous n'avez pas vu ces séries, le simple fait d'avoir fait preuve d'un tantinet de curiosité vous qualifie pour en trouver le titre et donc en découvrir le générique. Je trouve qu'il y a beaucoup à gagner dans cette affaire...
Conformément aux règles du jeu en vigueur en ces lieux, tous ces génériques sont inédits sur ce blog, donc introuvables dans le flacon ; alors inutile de me dire "je sais, c'est Innocent Love !" parce que j'ai déjà posté le générique.

Prêts ?
1 - Une série qui n'est pas sur un roi qui s'appelle Henri > Ooku
2 - Une série pour bien chialer > 1 Rittoru no Namida
3 - Une série qui se déroule dans les locaux de la police scientifique > MR. BRAIN
4 - Une série avec des roses partout > Mei-chan no Shitsuji
5 - Une série avec de la musique ringarde > Enka no Joou
6 - Une série d'épouvante moderne > Monster Parent
7 - Une série avec des hélicoptères > Code Blue
8 - Une série où il devrait être interdit de pleurer > Around 40
9 - Une série avec deux flics que tout oppose > Tokyo DOGS
10 - Une série qui aurait pu s'appeler La vie avant tout > Gyne

Concentrez-vous, amusez-vous, trouvez-moi tout ça... Allez, c'est à vous ! On va voir ceux qui suivent et qui ont l'âme du téléphage curieux... Vous avez tout le weekend.
Et si vous trouvez les 10 génériques, je vous en offre un 11e gratuit !

6 novembre 2009

Who let the DOGS out ?

Ne pas regarder Tokyo DOGS cet automne, c'était choisir d'ignorer ce qui serait le carton de la saison. Un carton annoncé de longue date, car depuis l'été, déjà, au fil des news, se profilait l'ombre du vainqueur de la saison. Moyens en béton armé, case horaire royale, cast semi-prestigieux (en tous cas, un épique cas de "win" auprès du public féminin)... finalement la vraie surprise, ç'aurait été que Tokyo DOGS vautre ses audiences.

WholettheTokyoDOGSout

Pourtant, malgré cet apéritif alléchant, la série ne m'attirait pas du tout. Si vous allez lire le pitch sur SeriesLive (et sinon, pourquoi Ducros y se décarcasse ?!), vous comprendrez vite pourquoi : deux flics que tout oppose (oï, ça commence mal) doivent protéger une jeune femme amnésique, qui se trouve être le meilleur témoin de leur enquête (c'est dire).
On sent les mecs qui ont bien réfléchi avant de pondre leur scénario.

Pourtant, Tokyo DOGS, par un étrange coup du sort, s'avère surprendre à partir de cette base pourtant très clichée. J'aimerais pouvoir vous dire que c'était une bonne surprise. Hélas, pas du tout.
Au lieu d'une série policière, éventuellement boostée à l'adrénaline et, bon, puisqu'on est au Japon, agrémentée d'un triangle amoureux, on se retrouve face à... tenez-vous bien... une comédie. Et pas une des meilleures par-dessus le marché.

Mettons l'action au ralentit, et décomposons le mouvement, voulez-vous ?
Le pilote s'ouvre sur un parking sordide à New York, avec comme ingrédients un parrain de la mafia nippone, une unité d'intervention internationale, composée entre autres de nos deux jeunes flics, le loup taciturne et le chien fou, ainsi que des gros calibres. Nos deux inspecteurs n'ont résolument rien en commun, et le chien fou fait évidemment tout capoter, le mafieux s'enfuit (grâce à une pyrotechnie presqu'impressionnante) et parmi les décombres erre une jolie jeune femme dont on imagine qu'elle a un lien avec l'affaire.

C'est après que tout a basculé. Une fois tout ce petit monde revenu au Japon. Soudain nous voilà dans un tout autre registre. Le témoin (la jeune femme, donc) est hébergé dans un petit appart, et les deux flics le prennent en charge. Mais comme c'est une belle nana, l'un la drague effrontément, l'autre lui fait la cuisine. LA CUISINE ! J'invente rien.

A partir de là, il faut bien le dire, le pilote n'a plus rien à offrir. On a compris qu'il oscillerait entre marivaudage de la pire espèce et pseudo-enquête policière paresseuse, tentant désespérément d'être drôle sans jamais y parvenir.
Franchement, ça fait de la peine.

Voyez, amis téléphages, ceci est une leçon. Toujours se méfier de ce qui se dit en amont d'une diffusion. Et surtout, toujours, toujours se méfier d'un pitch. On croit qu'une série va être quelconque, et en fait elle s'avère pénible.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Tokyo DOGS de SeriesLive.

5 novembre 2009

Petit enka

Je vous promettais ces derniers jours qu'on reparlerait d'Enka no Joou, voici l'heure venue. On aurait d'ailleurs pu penser que, faisant partie des 10 ou 15 personnes de moins de 30 ans qui, en France, écoutent de l'enka de leur plein gré (bien qu'à doses homéopathiques... mais quand on commence à acheter des DVD, c'est quand même un signe), je me serais ruée dessus plus tôt. Mais figurez-vous que, c'est tout bête, vous allez voir... j'en ignorais l'existence jusqu'à présent. Pourtant Enka no Joou raconte les tribulations d'une jeune femme, Himawari, qui ambitionne de devenir une grande chanteuse d'enka, et de se produire sur la scène du Kouhaku (la grand messe annuelle de la musique au Japon).

Ah, tiens, mais au fait, est-ce que vous savez ce qu'est l'enka ? Décidément, tout est à faire, dites donc. Eh bien figurez-vous que vous avez devant vous l'une des rares personnes à même de vous l'expliquer en langue française. Il ne sera pas dit que vous vous coucherez idiot ce soir ! Enfin, on va voir ce qu'on peut faire, en tous cas. Nan, je peux pas faire de miracle, non plus...

L'enka, si vous demandez au premier clampin venu, c'est ça :

YokoNagayama_YokonoTooryanse_3

Sinon, il y a la version éduquée de l'histoire. Et je la crois nécessaire pour comprendre un peu mieux ce qui se trame dans Enka no Joou, qui est, de par son thème, une série très référencée culturellement.

L'enka est un genre musical qui, bien que sonnant comme traditionnel, a en fait autour d'un siècle. Si effectivement il puise son inspiration dans les traditions musicales japonaises, il a été inventé par l'industrie phonographique. L'idée, c'était de faire appel à une imagerie volontairement stéréotypée de la culture japonaise, pour faire appel à la nostalgie de l'auditeur. Quelque part, les Japonais ont tout un genre musical dédié à faire appel à leur passé commun.
L'enka, outre ses mélodies plus ou moins ancestrales, donc, est doté de paroles qui tournent systématiquement autour de thème du même acabit : le village natal à la campagne, qu'on regrette, la ville tourbillonnante, où on a le mal du pays, les premier amour, forcément fini, etc...

Si vous croisez quelqu'un qui veut vous faire croire que l'enka, c'est LA musique que les Japonais écoutent, attention cependant, vous aurez affaire à un bonimenteur. Le genre est, certes, ancré dans l'identité nationale japonaise (c'est ptet ça qu'il faut à Éric Besson ? Un ptit coup d'enka et on sait qui on est), mais il ne touche qu'une partie bien ciblée de la population. Que je résumerai en un mot : mémés. Ce sont elles qui achètent cette musique. Je place dans cette catégorie, en fait, toutes les ménagères de plus de 50 ans. Ce qui dans un pays qui vieillit, évidemment, fait du monde, mais quand même. Car merci de ne pas oublier que la musique au Japon, c'est aussi la pop, le rock, le R'n'B, le hip hop, le rap, la dance, l'electro, le reggae, le dancehall, la bossa nova, le jazz, et j'en passe.
Et en cas de doute, vous êtes autorisés à aller le vérifier par vous-même.

Je pense que ces données sont importantes pour comprendre Enka no Joou, la princesse (déchue) de l'enka.

L'héroïne y est l'archétype du loser récidiviste, un peu poissard par-dessus le marché, et le côté éminemment ringard (pour sa tranche d'âge) du genre musical qu'elle a choisi participe à ce portrait. Il est évident que si Himawari avait choisi le R'n'B (bon, déjà son nom de scène ne serait pas Himawari, tournesol), l'histoire serait radicalement différente, et le personnage aussi.
C'est aussi, peut-être, la raison pour laquelle la seule personne qui semble comprendre vraiment l'héroïne, c'est celle qui aurait pu être sa belle-mère.

Enka no Joou
, c'est quelque part une série sur l'échec d'une certaine vision du Japon. "Si tu te donnes du mal, tu peux arriver à tout", pour une fois non. Et fi des mariages et convenances, aussi. Les malheurs de Himawari sont drôles, certes, hilarants même, mais ils donnent aussi un certain regard.

Vous avez les clés pour tout comprendre de cette série, à vous d'aller y jeter un œil, car une fois que vous savez tout ça, vous n'avez plus qu'à apprécier la série pour son côté comédie, et son côté avisé. Et si jle sujet vous a plu, je recommande l'ouvrage Tears of Longing, une vraie bible sur le sujet (bien que parfois très technique)

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Enka no Joou de SeriesLive.

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