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ladytelephagy
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9 janvier 2009

[DL] Family Ties

Vous vous doutez bien qu'il m'est extrêmement difficile de rassembler ma collection de génériques (j'en avais plus de 1000... je parle de génériques video, of course) après la tragique perte de ma pelote de laine. Mais je m'y attèle, d'où la lente reprise de cette rubrique.
Mais voici par la même occasion, en avant-première, la vieillerie que j'ai décidé de m'employer à découvrir sitôt mon DVD de Dexter arrivé à sa fin. Suis-je censée avoir déjà vu cette série, au juste ? Parce que ça ne me disait vraiment rien, sinon ce que j'en avais lu çà et là dans quelque ouvrage téléphagique. Alors, pour le coup, comme série humoristique familiale, j'ai jamais vu UN SEUL épisode, et quelque chose me dit que j'aurais dû, mais apparemment, pas du tout. Erreur réparée dés lundi, donc.

FamilyTies
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Sinon j'aime bien le concept, quand même : les parents hippies, c'est toujours bon signe ! Et puis, bon, j'ai un petit peu regardé en diagonale et ça n'a pas l'air d'avoir exagérément vieilli (je m'attends simplement à des références d'actualité ou de politique qui ne me diront rien, mais Wikipedia est là pour que je ne reste pas dans mon ignorance). Ouais, je le sens bien... On en reparlera !

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Family Ties de SeriesLive.

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9 janvier 2009

Dr lady & Mrs Teruki

Le problème est ce soir le suivant : dois-je ou dois-je ne pas regarder Jekyll ce soir sur arte ?

Il y a les pour :
- tout le monde semble en avoir dit du bien
- euh, tout le monde semble en avoir dit du bien
- et, eh bien, tout le monde semble en avoir dit du bien
- pas besoin de me faire chier à cagouler, c'est servi frais sur un plateau en hertzien

Et puis, il faut le dire, si, quand même, reconnaissons-le, il y a les contre :
- nous sommes vendredi, je suis rentrée il y a 10mn d'une journée de boulot éreintante, et c'est en 2e partie de soirée
- nous sommes vendredi, je pioncerai tôt ou tard (et plutôt tôt que tard), et je sens que je vais faire des cauchemars tout le weekend vu la gueule de Jekyll dans la bande annonce (pourquoi, Saigneur, pourquoi ?!)
- c'est britannique et j'ai toujours mon patch anti séries européennes, si je regarde encore en plus une série britannique je risque de faire une surdose
- j'ai mon gentil DVD de Dexter, complètement inoffensif, qui en a marre d'attendre depuis hier soir que je le finisse

Vu la dualité de mon état d'esprit, on se doute un peu de ce que je vais finir par faire. Mais qu'il soit dit que j'ai hésité.

Ah voui ! Parce que je vous avais pas dit ! J'ai acheté le DVD édition belge de Dexter (par dépit, en fait : yavait pas d'édition belge de Pushing Daisies en rayon lors de ma visite de contrôle à la FNUC), et je me suis empiffrée de la première saison toute la semaine. Il m'a fallu une énergie folle pour m'en détacher une demi-heure pour sous-titrer l'extrait de Soldier's Girl pour le dernier post Comme au cinéma en date.
Je me suis promis de vous en reparler une fois le DVD fini... vous faudra-t-il, attente insupportable, voir ce post mirifique être retardé d'un soir ? J'ai du mal à m'y résoudre et je suis certaine que vous aussi. J'ai plein de choses à en dire, en plus. Pas forcément intelligentes mais ça m'a jamais arrêtée.

Bref, vais-je ou vais-je ne pas, c'est toute la question. Et la réponse, comme chacun sait, est 42. Comprenne qui pourra.
Je crois que la raison dicterait plutôt d'aller pioncer mais quand on est téléphage, c'est évidemment hors de question.

9 janvier 2009

C'est une idée que vous vous faites

Hein ? Quoi ?

Non... non je n'ai pas ri. Pourquoi vous demandez ça, non, vraiment, je n'ai pas ri. C'est une idée que vous vous faites. Ou alors vous avez entendu un petit bruit, et vous pensez que c'est moi qui ris. Mais mon rire ne ressemble pas à ça, pour tout vous dire. Le mien est un peu plus grave et guttural.

Donc, non, je n'ai pas ri. D'ailleurs pourquoi j'aurais ri ? Je ne vais pas me moquer, quand même ! Dieu sait que ce n'est pas mon genre. Non, vous vous trompez, je n'ai pas ri.

...

Bon, peut-être un peu...

8 janvier 2009

Je vais vous raconter une histoire...

Depuis que je tourne autour du pot, ce n'était qu'une question de temps avant que je ne vous inflige un post sur Soldier's Girl, ce téléfilm de Showtime que, je vous le dis tout net, j'ai absolument adoré, voilà, comme ça, c'est dit.

Si vous avez un peu peur que je ne me laisse aller à mes penchants habituels qui consistent à tartiner ce post de milliers de mots, disons pour résumer que la version courte est : REGARDEZ.
Bon, voilà la version longue.

C'est quoi le nom du film ? Soldier's Girl
C'est plutôt quel genre ? Roméo et Roméette
Qui on connaît là-dedans ? Lee Pace, vu dans Pushing Daisies, eh oui encore lui, mais, hm, miam, rien que lui ! (d'ailleurs dans quelques années, je fais un raid chez ce mec, je pense.. mais pas à cause de ce rôle, je vous rassure.)
Ça date de quand ? Le premier rôle principal dans un long métrage de Lee Pace date de 2003. Oui, on a déjà établi qu'il avait bien su mener sa barque...
En résumé, de quoi ça parle ? D'un homme qui rencontre une femme qui n'est pas une femme.

SoldiersGirl___1 SoldiersGirl___2 SoldiersGirl___3 SoldiersGirl___4 SoldiersGirl___5

En moins résumé, de quoi ça parle ? Le soldat Barry Winchell rencontre dans un club une belle créature répondant au nom de Calpernia Adams... il tombe sous son charme, et souhaite la revoir. Celle-ci a par contre peine à croire qu'il ne se soit pas aperçu qu'elle est/était un homme, mais ils finissent par tomber amoureux, et tout cela, comme c'est beau, n'a pas d'importance. Pas trop. Cela va cependant en prendre beaucoup plus par la suite, étant donné que Barry évolue dans le milieu militaire...
Et ça finit comment ? Si vous vous documentez au préalable, vous saurez comment, puisque c'est adapté d'une histoire vraie. Mais gardez-vous de lire quoi que ce soit sur le sujet, le spoiler vous gâcherait une bonne partie de l'effet.

Pourquoi c'est bien ? A l'époque, je m'occupais du premier post A vendre, joli, pas cher, et je me concentrais plus sur la filmographie de Lee Pace que sur le pitch du film dont j'ignorais pour ainsi dire tout lorsque les premières images sont apparues sur mon écran. J'ai donc pris l'impact en plein coeur à de multiples égards : d'abord parce que le jeu de Lee Pace dans le rôle de Calpernia Adams vaut tous les awards qu'il a reçus, et mêmes ceux qu'il a failli recevoir, que l'investissement physique et mental placé dans ce rôle (pourtant, c'était juste un téléfilm, il aurait pu ne pas) a largement porté ses fruits et a de quoi impressionner, et surtout, l'histoire vraie de Barry Winchell est absolument... ignoble de banalité, en fait. Ajoutez à cela quelques numéros vaguement musicaux dans le club (en playback mais on s'en fiche), une grande sensibilité dans l'abord du sujet, et en même temps une certaine honnêteté de la part tant de la réalisation que des acteurs, et vous aurez tout compris des qualités de ce film.
Pourquoi c'est pas bien ? Evidemment, par moment, certaines scènes donnent une impression idyllique et sirupeuse de la relation entre Barry et Calpernia, mais après tout qui sommes-nous pour présumer qu'il n'y a pas, réellement, eu un amour sincère entre ces deux-là, après tout la relation n'avait que quelques mois, c'est l'époque où les papillons dans le ventre n'ont pas tous disparu (moi, blasée ? ptet un peu). Ajoutons aussi que (de son propre aveu) Lee Pace n'a aucunement l'oreille musicale ni d'habileté particulière en danse, et vous comprendrez que les scènes musicales, qui certes aèrent un peu le film, ne sont pas non plus là pour tourner le film en comédie musicale non plus, et ne laisseront pas un souvenir indélébile pour ces raisons (et puis, c'est un club, le playback est assumé). Un peu de déception sur ce point même si, quand on connaît la voix chantée de Lee Pace, on se dit que ce n'est pas plus mal...

Ah, les joies du cinéma ! Vues dans le making of : les heures de maquillage, d'épilation et de tortures diverses de Lee Pace pour en arriver à ce résultat. C'est bon de savoir qu'un homme a enduré ça pendant plusieurs mois. *insérez un sourire sadique ici* Mais aussi, appris dans une interview : Lee Pace a fait cadeau de ses prothèses de hanches et de poitrine à son petit frère, qui les garde à présent... près de son lit. Ils ont de sacrées moeurs chez les Pace !!!
La réplique qui tue : Hm... une seule réplique. Dur. D'autant plus dur que ce film est en fait particulièrement efficace, je m'en rends compte maintenant que je me trouve à faire ce post, dans ses silences, ses échanges de regards (comme celui qu'échangent Barry et Calpernia lorsque notre soldat revient voir la belle rousse au club). Il y a cependant une scène qui met en avant le personnage de Barry et son incroyable ouverture d'esprit, c'est quand Calpernia lui raconte l'opération finale pour laquelle elle économise (photos à l'appui...), et que... c'est le prix de ladite opération qui fait flancher Barry, pas les photos ni ce qu'elles symbolisent (d'autant que jusque là, sexuellement, il ne s'est pas trop aventuré à vérifier si Calpernia avait encore ses bijoux de famille). Et puis elle lui montre une photo d'elle quand elle était encore Scotty, et on sent combien elle se déteste en homme, mais à quel point en l'état actuel, elle se sent encore imparfaite, limite bête de foire : un "freak". Et Barry a cette phrase : "Does that make me a freak if I'm in love with a freak ?". Ce type a le coeur pur comme le cristal...
Sinon, j'ai bien aimé aussi quand Calpernia rencontre Barry et que celui-ci lui dit "You're not very shy, are you ?"."Oh yes I am", répond-elle avec un sourire indéchiffrable, "but I'm an actress. So I can pretend I'm anything. Confident, sexy... it's all a matter of projecting these qualities". Très jolie mise en abîme.
La scène qui tue : Avant de vous présenter la scène qui va suivre, je tiens à dire que je l'ai traduite, et sous-titrée. Oui m'sieurs-dames, pour vos beaux yeux. Et si vraiment vous me le demandez, je tenterai éventuellement de m'atteler à tout le film. Je dis pas quand j'aurai fini, je dis que je m'y attèlerai. C'est dire si j'ai envie de vous inciter à regarder, quand même. Mais comme c'est une grande première pour moi, que j'ai fait ça vite fait hier soir, c'est pas forcément très esthétique, ces sous-titres, pour le moment. Vous voilà prévenus.
Cette scène est donc l'ouverture du film. J'ai hésité longtemps entre deux ou trois scènes (dont une, juste parce que c'était du matage pur et simple), et je me suis dit que personne ne pouvait mieux vous présenter Soldier's Girl que Calpernia elle-même. D'ailleurs cette introduction brille à la fois par son côté un peu romanesque, et par son honnêteté (Calpernia n'hésite pas, par exemple, à sous-entendre que cette histoire l'a mise sur le devant de la scène médiatique et que c'est ce qu'elle avait toujours voulu). Et puis, il est amusant de constater que Lee Pace a enduré plusieurs looks pour incarner le personnage de Calpernia, et je pense qu'il n'a pas l'air très à l'aise avec celui-ci, mais qu'il a le mérite d'essayer très fort d'être à la fois décontracté, sensuel... et en rythme. Je pense qu'il lui était plus facile d'assumer le côté féminin de Calpernia quand elle avait moins d'artifices. Reste qu'il est très belle quand même comme ça, avouons-le. L'idée n'était pas de le transformer entièrement en femme, mais de montrer le côté chrysalide de la chose, et Lee Pace donne une beauté terriblement féminine à cette chrysalide, il faut bien le dire, mais aussi un peu maladroite et optimiste, bref, la substance de ce qu'est Calpernia...

SoldiersGirl___Extrait

Une note ? CagoulesCagoulesCagoulesCagoules
J'ai eu envie de mettre cinq cagoules, et je me suis ravisée. Comment ? Toujours en utilisant mon barème The Fall. Le film est attachant, Lee Pace y est mais alors, incroyable de justesse et de grâce, mais ça s'arrête là... Mais je vais ptet quand même investir dans un graphisme de demi-cagoule, un jour, parce que le besoin s'en fait sentir !
Bilan : J'ai plusieurs extraits de ce film sous la main, que je me repasse cycliquement (dont un que je ne risque pas de vous proposer, de peur de vous spoiler, mais qui m'a fait à la fois hurler et pleurer d'horreur, et pourtant il m'en faut, mais l'effet de surprise a pleinement fonctionné et je ne veux pas vous l'enlever). C'est quelque chose que je ne fais pas pour beaucoup de films, et c'est un indice, c'est presqu'aussi bon signe que quand je vous dis que j'ai déjà vu The Fall neuf fois (oui, ça a augmenté depuis la dernière fois qu'on en a parlé), moi, absolument, moi qui ai du mal à rester assise devant un film.

Ici ce n'est pas tant l'histoire, qui comme je l'ai dit, est malheureusement assez banale, un homme qui aime une femme qui ne veut plus être un homme, le regard de la société étant ce qu'il est... bref ce n'est pas tant l'histoire que la façon de la servir, avec justesse, tendresse même, mais aussi une bonne dose de démonstration glaciale que ces idylles sont vouées à l'échec en grande majorité, simplement parce que le reste du monde n'est pas prêt. L'exercice était périlleux : comment ne pas tomber dans la sensiblerie ? Comment ne pas faire du militantisme exagéré ? Comment dire ce qui est arrivé à Barry Winchell une fois qu'on a fait le choix d'expliciter tout ce qui était magique entre lui et Calpernia ? Il y a une audace véritable, et Lee Pace n'est que le dernier maillon de cette chaîne vertueuse, mais quel maillon.
En effet, là aussi il faut bien le dire, il y a des tas d'acteurs qui auraient fait de Calpernia un personnage soit caricatural, soit sans substance. Ce n'est pas tant le personnage que la façon de l'interpréter qui m'a éblouie. Car sans Soldier's Girl, il faut bien le reconnaître, je serais probablement encore très méprisante vis-à-vis du métier d'acteur qui me donne rarement l'occasion de m'extasier sur le travail effectué. Sans Soldier's Girl et, de facto, sans Lee Pace, je n'aurais sans doute pas fait évolué ma mentalité et mon approche sur ce point...

Avouons-le, ce qui fait aussi l'intérêt de ce téléfilm, c'est son sujet, tout simplement. Même si on ne ne sent pas personnellement concerné par la "cause" (et c'est mon cas, moi qui suis hétéro quasiment à 100%), on ne peut que s'indigner de l'état d'esprit qui règne dans l'entourage militaire de Barry Winchell, et qui est la cause de ce final dont, non, n'insistez pas, je ne vous dirai rien, sinon que vraiment on vit dans un monde pourri. Mais dans ces circonstances si particulières, le personnage de Barry apparait, comme Calpernia le prédit d'ailleurs dans la scène d'ouverture (voir plus haut), comme infiniment touchant, et profondément humain. On sait, en fait, relativement peu de choses de lui (et notamment de son histoire amoureuse), mais en dépit du fait qu'il ne soit de toute évidence pas une flèche, il a ce qu'on appelle une grande intelligence émotionnelle, et surtout il est d'une pureté incroyable. Il ne juge personne et surtout pas Calpernia, ni pour ce qu'elle a été, ni pour ce qu'elle est, ni pour ce qu'elle veut devenir, ni pour ce qu'elle fait, il la respecte et la soutient... c'est juste qu'à certains moments les choses sont trop compliquées pour lui. Un personnage incroyable... pas parfait, pas idéalisé, très humain au contraire, avec des failles et des défauts, mais avec un coeur en or, ça c'est sûr.

Il y a donc de multiples raisons de voir Soldier's Girl, et je suis sûre que vous saurez en choisir une pour le regarder à votre tour car, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais j'ai un peu eu le coup de coeur, quand même...

6 janvier 2009

Que sont-ils devenus ?

Le net fourmille de cadavres presque exquis. C'est ce qui en fait un endroit si merveilleux. Presque, aussi.
Avouons-le, le temps de présence sur internet est proportionnel au nombre de choses qu'on y laisse. Je suis prête à parier que vous tous, comme moi, vous avez laissé trainer dans un coin un premier site, un premier blog, des conneries... mais qui disent quelques petites choses sur vous. Et en particulier, sur le téléphage que vous avez pu être à l'époque.
En général, c'est là qu'on rigole.
Mais, bon, pas de ça ici, hein, on ne juge pas, ici. La preuve : vous m'avez tous accueillie avec beaucoup de compréhension lorsque je vous ai avoué certains de mes horribles penchants hier, pendant ce qui restera gravé dans les mémoires comme la Journée de la Honte Téléphagique.

On tombe parfois, au fil de nos errances, de lien en lien, sur de vieux sites, de vieux blogs, des conneries... mais ceux des autres.
Ils ne sont pas morts, tous ces gens-là ! Mais dans ce cas, que sont-ils donc devenus ?

Alors laissez-moi vous présenter Laure.
Qu'est par exemple devenue Laure, qui, il y a environ 4 ans encore, était fan de Dawson ?

Laure avait commencé son blog sous divers mauvais auspices : déjà, elle l'avait lancé sur Skyblog, ce qui semble condamnable en soi mais passons. Mais surtout, elle l'avait démarré ledit blog alors que la série était déjà finie aux USA... et en France ! Et on notera qu'avec tout ça, elle n'avait rien à dire dés le second post... Je ne me moque pas, je constate que le blog est parti de loin : certes, en mettant une image par post, c'est pas bien compliqué (vous voyez : , je médis), mais le blog a quand même tenu sur un an et demi (soit plus de 600 posts si mes calculs sont exacts), autant dire qu'il s'agit ici d'une durée record que sans doute la plupart des blogs conçus par un dimanche après-midi pluvieux ne peuvent qu'envier. A plus forte raison sur cette plateforme.

Laure nous donne cependant un bon indice sur ce qu'elle est téléphagiquement devenue : on peut voir s'opérer une transition vers... une nouvelle teenagerie. C'est là qu'on voit qu'internet est quand même un pays merveilleux... Laure a donc ouvert un nouveau blog (c'est la tradition ; plus encore sur cette plateforme) sur son couple favori dans One Tree Hill et, osons le dire, c'est au moins aussi intéressant que le premier, mais on sent que l'auteur expérimente, on sent qu'il y a des efforts pour créer plus de contenu, avec des extraits de dialogues, des posts qui ne se résument plus à des photos, bref, internet a éduqué la téléphage, ou la téléphage a éduqué son coin d'internet, on ne sait pas trop mais c'est juste beau. Et en fait, ça aussi, c'est un indice sur qui est notre téléphage cobaye.

L'histoire ne finit pas là puisque quelques mois plus tard, Laure laisse tomber ses chouchous de One Tree Hill pour ouvrir un autre blog (encore la tradition) qui a dû servir très brièvement, ou qui a subi un sacré nettoyage de printemps, au choix, à titre non-téléphagique cette fois, et qui renvoie vers un autre blog, perso lui aussi, mais où on distingue nettement un avatar animé de Skins. Retenez votre souffle, ce n'est pas fini, on va essayer de la suivre encore un peu... parce qu'il y en a encore un autre (saloperie de tradition), perso aussi mais cette fois c'est Misha Barton de The OC qui se présente sous nos yeux, dans un layout qu'on sent comme étant plus abouti (surtout vu la plateforme). Et ça a l'air de s'arrêter là... pour le moment ?

Récapitulons ce que nous savons téléphagiquement de Laure (car il n'y a que ça qui nous importe dans ces colonnes) : nous savons qu'elle a aujourd'hui 17 ans, ce qui veut dire qu'elle a commencé sa carrière de bloggueuse téléphage autour de l'âge de 14 ans, par là. Qu'elle était une teenager alors et qu'hélas pour elle, et je compatis, c'est pas encore tout-à-fait fini. Qu'elle regardait des teenageries alors, et qu'elle en regarde encore aujourd'hui.

Et pourtant, quelque chose a changé, vous serez tous d'accord avec moi pour le reconnaître ?

Vous savez comment je connais Laure ?
Je crois bien que je ne la connais pas.
On s'est ptet croisées sur un forum ou un autre ça se trouve, en fait on ne peut pas le savoir, mais dans ce cas précis, j'ai atterri sur son blog sur Dawson simplement parce que j'avais ce concept de post en tête, que j'ai fait une recherche au pif dans Google (skyblog Dawson) simplement parce que je cherchais à trouver un blog d'apprentie-téléphage amourrachée d'une série jugée bien souvent comme peu crédible par les téléphages aguerris que nous sommes, et que j'ai voulu voir. Il m'a suffit de suivre les liens pour la suite. C'est tombé sur elle. Ca aurait pu tomber sur une autre.

Laure et moi n'avons pas le même parcours téléphagique, loin de là. Mais j'ai reconnu quelque chose en elle tout de même, et c'est exactement ce que je suis partie chercher quand j'ai commencé ce post : l'idée d'une évolution de nos goûts, et surtout de la façon de les appréhender.
On commence par se prendre la révélation de plein fouet et on gesticule dans tous les sens pour dire notre admiration, notre enthousiasme, notre envie de partager même si on n'a rien de plus à ajotuer que ce qui a été si parfaitement dit dans la série qui nous a percuté. Et puis on tempère. On intègre un certain nombre de concepts. On a du mal à laisser partir la première série... quelques années plus tard on a parfaitement compris que c'était le cycle de la vie, et on passe à autre chose. Parfois dans le même style, parfois pas vraiment... On a envie de dire plus, et puis au bout d'un moment, cela fait simplement partie du quotidien. On veut dire tout et rien, on apprend à dire un peu moins de rien... On modifie ses exigences. Pas du tout au tout, mais...
Il faut bien reconnaître que de Dawson à Skins, il y a quand même plus qu'un pas : une démarche.

Merci à Laure pour cette grande leçon de téléphagie appliquée, donc.
Laissez-moi vous présenter Virginie...

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5 janvier 2009

Nomi Malone est... Déesse !

J'y vais ou j'y vais pas ?
Proclamant solennellement que le 5 janvier restera dans les annales comme le jour où j'ai abandonné toute estime de moi-même, je vous livre exceptionnellement un post Comme au cinéma précipité, parce que je viens de m'apercevoir que vous pouvez voir le film dés ce soir sur M6 (c'est normal, ils le diffusent environ tous les ans, parfois même plus souvent).
Et que c'est un de mes préférés.

C'est quoi le nom du film ? Showgirls
C'est plutôt quel genre ? Prétexte
Qui on connaît là-dedans ? Kyle MacLachlan (Twin Peaks, Sex & the City, Desperate Housewives...), et Elizabeth Berkley (Sauvé par le gong), mais aussi Gina Gershon (Snoops et plus récemment un peu de  UglyBetty), Robert Davi (Profiler), Alan Rachins (L.A. Law, Dharma & Greg), ouh tant de monde, j'ai la tête qui tourne.
Ça date de quand ? 1995, à l'époque j'avais 13 ans, je me suis rattrapée depuis...
En résumé, de quoi ça parle ? D'une nana qui débarque à Las Vegas et qui se dit que c'est plus marrant de danser topless là plutôt que, mettons, en Alaska. Allez comprendre.

Showgirls___1 Showgirls___2 Showgirls___3 Showgirls___4 Showgirls___5

En moins résumé, de quoi ça parle ? Nomi Malone débarque à Las Vegas sans un radis et y entreprend une carrière de danseuse dans un nightclub sordide (où d'ailleurs elle entreprend les clients). Mais comme Nomi est avant tout danseuse et pas tapineuse (si elle le dit, pourquoi ne pas la croire ?), elle tente sa chance pour faire partie de la revue topless du fabuleux Stardust, chez qui son amie Molly travaille comme couturière. Comble de chance, elle est embauchée. Comble de chance, elle devient la doublure de la star du show. Comble de malchance pour celle-ci, Nomi est ambitieuse...
Et ça finit comment ? Avec du rouge à lèvres partout sur le menton.

Pourquoi c'est bien ? Vous m'avez lue ? J'ai dit Kyle MacLachlan, putain ! Merde, quoi ! Je vous le dis en quelle langue ? Bon, sinon il y a du téton frétillant, beaucoup de maquillage, de fringues et de musique cheap (l'adjectif s'accordant à tous les noms l'ayant précédé), et puis, voilà. Franchement, ça se raconte pas un film pareil. Je veux dire : on part d'un scénario qui, on le pense disons, ya des théories sur ce point en tous cas, voulait parler d'une histoire d'amour entre deux femmes, mais aussi une histoire d'ambition et d'arrivisme, sorte de métaphore sur le monde du showbusiness, bref qui voulait emprunter des thèmes intéressants et qui en a fait... bah, un porno soft, quoi.
Pourquoi c'est pas bien ? Profondeur des dialogues ? Bof. Complexité de l'intrigue ? Rebof. Développement des personnages ? Je vais me répéter, mais bof. On l'aura compris, c'est pas pour ses qualités cinématographiques qu'on regarde Showgirls. Et alors ?

Ah, les joies du cinéma ! Quand le film est sorti, Kyle MacLachlan assumait tellement qu'il a prétendu tout un tas de choses (c'était pas le même script que celui qu'on lui avait envoyé, le montage avait dénaturé ses scènes, etc...) et s'est désolidarisé du film, qu'il a soudainement jugé trop vulgaire. On parle d'un mec dont la principale scène est de fucker Elizabeth Berkley dans une piscine (en-dehors de celle où elle lui fait un strip-tease intégral, évidemment). Que dire d'autre des joies du cinéma...?
La réplique qui tue : Une réplique, vous entendez ça ? Ils veulent des répliques ! Comme si les dialogues valaient quoi que ce soit non, soyons sérieux un instant.
La scène qui tue : Mais elles tuent toutes, les scènes ! Yen a pas une pour relever les autres et c'est en ça que c'est divin ! Allez, je vous mets une numéro du Stardust, même les non-anglophones comprendront tout ce qu'il y a à comprendre !

Showgirls___Extrait

Une note ? CagoulesCagoulesCagoulesCagoulesCagoules
S'il ne devait y avoir qu'un seul guilty pleasure au monde, ce serait celui-là. Tout est naze, mais c'est ça qui en fait un des meilleurs films au monde.
Bilan : On le regarde pour de mauvaises raisons (le générique), on reste devant pour des raisons bien plus inavouables encore (les nichons), on le reregarde sous des prétextes fallacieux (c'est des billes en verre ou des perles de culture qu'on jette sur la scène, je me souviens plus ? je ferais mieux de vérifier...), mais inutile de dire que, de toutes façons, on regarde Showgirls, et en ce qui me concerne, quand je perds un disque dur qui le contient, c'est le premier truc que je récupère. Ouais, bas les masques, et vive feu le Stardust (j'étais en deuil quand ils l'ont démoli, ce casino, le rêve de toute ma vie était d'y aller !), les ongles ultra-peints et les piscines. Loana et Jean-Edouard ont tout appris de Showgirls, on ne me l'ôtera pas de l'idée. Et pis franchement tout est grand dans ce film, les décors, les costumes, le jeu des acteurs, les péripéties, le faux couple censé représenter l'image parentale dans le show business, on ne nous épargne rien, même pas une scène de viol en réunion où c'est réaliste jusque dans les bruitages... non, ce film est une jouissance de tous les instants, vraiment. Foncez.
Ah, et rappelons aussi le plus grand mystère de ce film : Pamela Anderson est crédité au générique et de toutes les fois où j'ai regardé ce film, pas une fois je ne l'y ai vue. Je vous laisse la chercher ce soir.

Allez, vite, ça va commencer !
Quand je pense que j'ai failli planifier de regarder Esprits Criminels ce soir, nan mais le délire quoi... hiiii, je l'ai pas encore vu ce film en 2009, chouette chouette chouette !!!

5 janvier 2009

Maudite !

bucher
Bûcher prévu pour ladyteruki - 2009 ap. JC

Vous pouvez me jeter des cailloux, si vous le voulez. J'en ai vu des bien, par là... ou des plus gros, au fond à gauche, aussi.
Je ne me débattrai pas. Je n'implorerai pas votre pardon. Je sais que je n'ai que ce que je mérite.

Il s'est passé un truc affreux.

Mais revenons plutôt sur les circonstances dans lequelles ce drame, cette horreur, cette abomination, se sont produits, bien que je sache pertinemment que, sitôt que j'aurai commencé mon histoire, je serai coupable à vos yeux, à jamais.

Cher lecteur, vous n'êtes pas sans savoir que j'exècre les teenageries. (ça commence mal) Je les méprise toutes, et chacune en particulier. (c'est ça, creuse ta tombe) Elles n'ont à mes yeux aucun intérêt, exception faite, ça va de soi, d'Angela 15 ans. (c'est comme ça que ça commence) Je n'ai d'ailleurs jamais manqué d'en souligner ici même la vacuité et le dénuement total de profondeur. (accouche, fillette) En particulier, je n'ai jamais aimé Dawson, alors que toutes les jeunes filles de ma génération, et quelques jeunes hommes, dont un de mes ex car nul n'est à l'abri, ont adoré et encensé chacun des personnages. (elle a changé d'avis sur Dawson, la belle affaire...) Du coup, maintenant que je n'ai plus l'âge-cible, on se doute que je reste particulièrement hermétique aux teenageries d'aujourd'hui. (mais...?) Que je les exècre. (hin hin) Que je les méprise (c'est celaaaa, oui) Que leur étalage de chair fraîche et inconséquente me débecte. (viens-en au fait !) Et que la seule autre alternative, ce sont les personnages gnan-gnan, sauf qu'eux aussi me donnent la nausée. (on y vient)
Mais, samedi, il s'est passé un truc. (fatalitas !)

Ou plutôt, non ! Ne lancez pas tout de suite vos pierres, je crois que ça date d'avant samedi.

En fait ça a commencé il y a des mois et des mois, lorsqu'un épisode de la saison 3 de... je peux pas, je peux pas le dire, vous comprenez ?! Bref, lorsque j'ai vu un épisode d'une troisième saison d'une teenagerie. Qu'on ne citera pas. Oui, voilà, on va faire ça : pas de nom. Et dans cet épisode assez incroyable pour une teenagerie... ah merde, si je vous dis de quoi ça parlait, vous allez comprendre. Certes j'y ai déjà fait référence dans un post antérieur, mais c'est pas une raison. Disons simplement que le thème n'était pas banal et que même si c'était traité de façon plutôt habituelle pour une teenagerie (dégoûlinante de bons sentiments et de facilités), c'était quand même couillu. Pour une teenagerie.
Mais je vous jure, ça fait des mois, je n'y pensais plus ! J'en ai parlé une fois, une seule, dans ces colonnes, parce que le sujet s'est présenté pendant un... non, je ne vous dirai pas pendant quel jeu, vous allez trouver de quelle série il s'agit. Mais ça s'arrêtait là ! J'y repensais même plus, rien du tout ! Et puis...
Et puis en décembre, avec les jours de congés, les jours fériés et tout le bazar, eh bien il m'est arrivé de voir la fin de la fin de la dite 3e saison. Et ptet même un bout de la 4e (mais c'était nul) (si, vraiment, sans intérêt) (typiquement ce qu'on peut attendre de nullard de la part d'une teenagerie) (pour ce que j'en ai vu).

Et puis samedi...
Damned, vous allez tout de suite deviner quelle teenagerie est passée samedi ! Je suis découverte !

Eh bien oui, voilà, j'ai regardé le season premiere, voilà, vous êtes contents ? J'ai pas fait exprès, je pensais voir ce qu'on allait nous servir après le ô combien merveilleux départ de Sous le soleil, et puis je suis tombée dessus, voilà, c'est tout, on va pas en faire tout un plat ! D'accord, j'avoue, j'ai aimé ce que j'ai vu parce que...
Parce que...
Parce que ce n'étaient plus des adolescents, justement.

Mais... l'espace d'un instant... ça a duré une demi-seconde... j'ai pensé...
"Ptet que je devrais acheter les DVD de One Tree Hill, pour voir".

C'est bon, balancez la caillasse.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Infâmie de SeriesLive.

4 janvier 2009

lady, fille de pub

"L'ADN de-" *-ding ding ding, jingle !*

Vous savez, je ne suis pas du genre à me réjouir de la disparition de la publicité à compter de demain sur la télévision publique. Je trouve que la publicité fait partie de l'industrie de la télé et que l'en évincer c'est s'exposer à rouler sur trois roues au lieux de quatre : sans compter le bruit d'essieu désagréable, la machine est forcément déséquilibrée.

Mais quand je vois comment les chaînes privées sont toujours incapables, après des années, de faire une coupure pub sans charcuter un épisode (comme, ce soir encore, avec New York Unité Spéciale), j'ai quand même un peu envie de sauter de joie sur place à l'idée qu'au moins, ça n'aura plus aucune chance de se produire dans le public. D'un autre côté, ça faisait déjà plusieurs années qu'on n'y découpait plus les fictions pour y intercaler de la pub, alors...

Nan, sans rire, si moi je peux enregistrer mes épisodes parfaitement, en coupant le magnéto pile avant le jingle de début de pub, et pile après celui de fin, pourquoi les mecs de TF1 et M6 n'y arrivent pas à intervalles réguliers ?

2 janvier 2009

[GAME] Noël, c'est fini

Pendant un moment, j'ai bien cru que freescully allait gagner par défaut. C'est pas des frayeurs à me faire, ça, j'ai le cœur fragile ! Non pas que j'aie quoi que ce soit contre le fait que freescully remporte la Pitchenette ~Christmas Edition~ m'enfin, bon, par défaut, ça n'apporte de gloire à personne, on est bien d'accord.

On se rappellera, au besoin, des ingrédients de ladite Pitchenette, des ingrédients qui sentaient un peu le pain d'épices vu la saison, mais un peu seulement puisque l'idée, c'était de justement sortir des poncifs du genre et d'essayer de ne pas utiliser les rennes qui volent, les lutins joyeux et le traineau volant, tous déjà usés jusqu'à la corde par des dizaines de films et téléfilms (dont la moitié avec Tim Allen).

Sans plus attendre, le cookie à la myrtille du gagnant est décerné à...

cookie_freescully

freescully a donc bien remporté la partie, mais pas par défaut... Cela dit, ni Naka ni Jérôme ne sont passés loin, puisque Naka nous prépare un Harper's Island avant l'heure, et Jérôme nous la jouait famille dysfonctionnelle (on ne peut pas rêver plus Noël).

Voici les quelques Pitchenettes auxquelles j'avais pensé :
- La mini-série en douze épisodes suit les aventures de Conrad Niklaus Kringle, Père Noël de son état, pendant l'année qui le sépare de la tournée suivante. Les préparatifs de Noël durent en effet douze mois au Pôle Nord, et pire encore, en dépit de la crise financière, il faut maintenir l'illusion que la magie existe. Il est donc entouré de scientifiques au physique particulièrement ingrat qui tentent par exemple d'incorporer des moteurs à réaction sous le traditionnel traineau en bois, ou qui calculent la tournée à la seconde près de façon à ce que tout le monde soit livré le 25... En plus de gérer le petit personnel, Conrad doit également supporter les humeurs de sa femme qui n'en peut plus du climat polaire, et souhaite déménager à Miami.
- Hilde est une vieille fille un peu acariâtre et qui, depuis 12 ans maintenant (date du décès de sa soeur avec laquelle elle vivait), reste recluse dans sa petite maison. Son seul plaisir (et qui lui permet aussi d'apaiser son aigreur) est de cuisiner. Lorsque ses neveux et nièces lui annoncent qu'ils sont finalement partis passer les fêtes de fin d'année dans le Vermont, elle se retrouve avec des dizaines de plats sur les bras. Elle entreprend donc de les amener dans le foyer pour SDF le plus proche, et se lie d'amitié avec un clochard sur place. Petit à petit, c'est lui qui va lui faire reprendre goût à la vie.

Les bons sentiments, ya que ça de vrai ! Ou bien ?

Bon, la Pitchenette repart en vacances, nous, on se retrouve bientôt pour un jeu d'illustres inconnus... ya des gens qui ont gagné un cookie aussi, je crois, non ?

2 janvier 2009

Service après-vente

On ne le dira jamais assez mais les soldes commencent dés janvier. Pour vous qui n'avez pas forcément eu la possibilité de tester nos premiers produits de la rubrique A vendre, joli, pas cher, une seconde chance s'offre à vous. Je vous promets en effet un échantillon, gratuit et sans obligation d'achat.

Je le prouve aujourd'hui avec cette offre de la nouvelle année : l'un de nos fournisseurs diffusera sur son antenne The Good Shepherd, film avec Matt Damon et Robert De Niro, bon, limite, on s'en fout, film permettant d'entr'apercevoir Lee Pace à plusieurs reprises. Certes, il s'agit d'un rôle plutôt secondaire, mais il est tout de même récurrent en plusieurs points du film, et surtout il y a un moment où il pisse sur Matt Damon, ce qui fait toujours plaisir. Ah, là, les comparaisons avec Pushing Daisies vont être difficiles, quand même.

IAmGonnaPeeOnYa

Si vous pouvez voir Canal+ demain soir, faites-vous une nouvelle idée de notre produit-phare de l'automne !

Toujours pas de réaction sur les épisodes SPACE 2063 que je vous avais gentillement offerts ? Bien bien bien, bah écoutez, je ne sais même pas si je vais vous donner les résultats de la Pitchenette si c'est comme ça. Je suis une Artiste, moi, je ne peux pas travailler dans ces conditions !

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