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ladytelephagy

18 novembre 2008

Réapprendre à finir

Vous le savez, je ne suis pas très "cinéma". J'ai un mal fou à tenir devant une même histoire pendant une heure trente (ou pire, pendant deux ou trois heures). J'ai besoin de changement, de diversité, de versatilité même.
On arguera que je peux faire des orgies avec une seule série et m'envoyer plus de deux saisons de Brothers & Sisters en moins d'un mois, et c'est vrai ; mais c'est pas pareil. La structure d'une série fait qu'on a une impression de rupture entre deux épisodes, qu'on peut souffler, et ça, ça n'existe pas dans un film. J'ai même souvent l'impression qu'on essaye de nous emprisonner dans l'histoire pour être bien certains qu'on ne va pas penser à autre chose pendant le temps que dure le film.
Or c'est précisément la raison pour laquelle 45mn, c'est bien, et 45mn avec une pause pub ou deux, c'est encore mieux.

Du coup, je regarde en moyenne deux à trois films par an (parfois quatre, si on compte les téléfilms !). Je le confesse sans grande honte, il y a beaucoup de films que je n'ai pas vus, et que beaucoup considèrent comme des classiques. Je connais les pitches de la plupart des films dont on me parle, et souvent le casting, aussi. Je peux tenir une conversation sur le cinéma et faire illusion... mais j'en ai vu très peu, au final. De temps à autres j'en vois un dont tout le monde m'a parlé pendant des mois voire des années, et je me dis "tiens bon, ma grande, ce sont deux heures un peu usantes à passer, en échange de quoi tu mourras moins bête". Exemple : l'hiver dernier, j'ai découvert The Eternal Sunshine of the Spotless Mind. Jusqu'à ce que je m'endorme, disons.

Il y a aussi quelques films que j'aime bien, je ne dis pas que ce sont les meilleurs au monde, je ne me permettrais pas, mais en tous cas je les regarde (et parfois les re-regarde) avec plaisir. Je n'ose même pas vous dire les titres, tellement la plupart des cinéphiles se moqueraient de moi... En général, les films que j'apprécie n'ont d'ailleurs rien, mais alors rien à voir avec les séries que j'aime. Comme quoi ce sont vraiment deux mondes à part...
Bon, ce n'est pas de mon adoration pour Sh... euh, les films de merde, dont je voulais parler aujourd'hui.

Il y a quelques temps, je vous faisais un post sur la personne de Lee Pace, parce que, chose miraculeuse, j'avais regardé plusieurs films/téléfilms avec lui, et j'étais encore en vie cérébralement pour en parler. L'occasion était trop belle et comme en plus l'acteur avait su m'impressionner...
C'est en voulant préparer un nouvel article de cette même rubrique que je me suis retrouvée à regarder d'autres films. Je ne sais pas si vous vous rendez compte, quand même... trois nouveaux films ! Vous saurez autour de qui ça tournait en temps utile, ne vous inquiétez pas.

Et je crois qu'en tant que téléphage, regarder des films me sert, en quelque sorte, de rééducation.
Parce qu'à force de regarder des séries, on perd de vue quelque chose... LA FIN. Toutes les bonnes choses ont une fin et, quand on suit des séries sur plusieurs années, on en vient à l'oublier, on a l'impression que les choses seront, en quelque sorte, éternelles. Ou alors, quand une série se termine, c'est souvent dans des conditions tragiques qui font qu'il n'y a pas vraiment de fin, juste une interruption définitive de programme.
Mais un film est construit pour avoir un début et une fin (duh ?!), dés le début, et ça a quelque chose de fascinant, quelque part, de savoir que le scénario sait vraiment où il va ; du moins faut-il le souhaiter parce que là, on travaille sans filet, on ne peut pas se rattraper à l'épisode suivant...
Enfin, sauf s'il y a une suite, comme c'est la mode depuis quelques temps.

D'ailleurs c'est tellement plus facile pour moi de suivre un film avec une suite ! J'aime retrouver les personnages un peu plus tard, voir comment les acteurs ont su se glisser à nouveau dans le rôle, comment la continuité a été gérée par le scénario. Je crois aussi, tout simplement, que j'ai du mal à laisser partir les personnages.
Quand on est téléphage, on ne sait pas forcément comment dire "adieu".

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17 novembre 2008

Opération INDEXATION

Bon, j'en ai marre. J'arrête. C'est devenu insupportable. J'ai vraiment fait des efforts pour m'accrocher mais là c'est plus possible.
Mon classeur noir vient de prouver ses limites. Vous pensiez que je parlais de quoi ?

Ah, je ne vous en avais pas encore parlé de mon classeur noir. Pourtant ça fait des années que je me le trimbale de déménagement en déménagement, et que courageusement, de temps à autres, je l'ouvre pour en extirper une information capitale sur la prochaine VHS que je vais regarder.
Sauf que là, ce n'est plus possible. Déjà, je ne peux plus y rajouter la moindre feuille, sinon je pense que la plaque tectonique sur laquelle je vis va basculer tragiquement dans les entrailles de la Terre. Et en plus, ce n'est plus gérable au niveau des mises à jour.

Mon classeur noir, c'est un gros classeur de compta que j'ai récupéré, je ne sais plus trop où ni comment, sans doute une fois où je faisais une razzia au rayon papeterie, vu que je suis capable de claquer plus de pognon en une journée dans une papeterie que toute une année dans une parfumerie. Bref. Il était très épais, le dos solide, d'amples anneaux de métal, je pensais qu'il tiendrait le coup.

A chaque série que j'ai enregistrée sur une de mes précieuses VHS, j'ai ajouté une feuille. Une nouvelle série, une feuille. Un nouvel épisode, une nouvelle ligne sur la feuille.
Du coup après quelques semaines je me suis acheté des intercalaires alphabétiques.
Et ça a continué. Une série, une feuille. Un épisode, une ligne sur la feuille.

Bon, en théorie, ç'aurait dû fonctionner. Sauf que c'est précisément à ce moment que ma téléphagie s'est déclarée. Enfin, où est l'œuf, où est la poule, je ne saurais dire, mais en tous cas, ça tombait mal. Il faut dire que dés qu'on donne à un téléphage les moyens techniques (multiples magnétoscopes, classeur noir, etc...) d'organiser sa téléphagie, bizarrement, c'est là qu'elle devient hors de contrôle.
Et comme en plus je suis pilotovore, forcément...

La première mesure a été de décider que le cagoulage n'entrerait pas dans le spectre des compétences du classeur. Ce que je cagoule, je le répertorie ailleurs.
La seconde mesure a été de mettre en pause l'indexation des VHS, en espérant la mener à bien plus tard, différemment. Mais bon, ça voulait aussi dire que près de la moitié d'entre elles devenaient difficilement accessibles, puisque j'étais incapable de trouver un épisode donné facilement. Du coup, quand je cherchais un épisode, et qu'il n'était pas répertorié, je passais des heures, au milieu de mes cassettes, à les regarder une par une... ah je voyais plein de trucs, c'est sûr, mais jamais ce que je cherchais. Frustration.

Et puis là, il y a quelques temps, j'ai voulu m'y remettre. Mais force est de constater qu'on ne peut pas, techniquement c'est pas possible je vous assure, répertorier toutes les séries que j'ai en VHS dans ce classeur, à raison d'une série par page. Trop de séries.

Je me retrouve donc avec, sur les bras, un épaississime classeur noir, plein à craquer d'informations parcellaires sur mon opération COLLECTION. Je ne peux pas poursuivre l'indexation. Je ne peux pas exploiter la moitié de mes données.

Logiquement, on se dit "bah oui mais pourquoi insister avec le format papier ?".
Pourquoi ? Pourquoi, vous dites ? Mais parce qu'à ce jour je n'ai pas réussi à trouver un seul logiciel capable de prendre en charge l'indexation de mes VHS ! Les logiciels de ce type sont en général étudiés pour le cinéma ! Et c'est totalement différent !

Vous allez tout de suite comprendre à quoi ça ressemble.
Chaque VHS porte deux étiquettes : une sur la tranche, petite, avec son numéro d'identification, et une autre plus grande, c'est la plus importante, avec le numéro, et la liste de ce qu'on y trouve.
Si je prends la cassette 273, par exemple, on peut donc voir ça (bon j'ai pas de scanner, donc j'ai fait un schéma... mais il faut savoir que c'est du fait main pour toutes les cassettes, puisque c'est antérieur à l'époque où j'avais un chez moi informatique) :

273

Donc oui, j'ai fait ça pour toutes les VHS, une par une, je mentionne tout ce qui a un rapport avec les séries à chaque fois (d'où la mention des pubs Stargate SG-1 alors qu'évidemment, il y a plus de pubs que ça, mais je les mentionne comme repère), je vous laisse imaginer l'ampleur du truc rien que pour le fichage...
Donc l'indexation doit me permettre de retrouver à la fois tout ce qu'il y a sur la VHS n°273, histoire de ne pas vider la telephage-o-theque chaque fois que je me demande ce qu'il y a sur la 273, mais aussi me permettre de retrouver tous les épisodes de SPACE 2063, sur plusieurs cassettes, évidemment. Et ça, une base de données prévue pour les films, elle ne peut pas gérer. Et croyez-moi j'en ai testé...

Et encore, tout ça, c'est en mettant de côté ce qui est sur support non-préhistorique, je ne parle que des VHS ! Il faudrait aussi pouvoir mentionner les DVD et les pelotes de laine pour atteindre la perfection !
C'est infaisable, il faut bien le dire. Si, ce serait faisable, l'équivalent d'un Teruki Paradise ça serait même impeccable. Mais bon, j'ai pas la technicité qu'il faut pour ça. Ah, si, si j'avais un geek sous la main, ça pourrait, mais j'en ai pas. Plus. Bref.

Donc voilà, depuis quelques jours, je pète un câble, parce que chaque fois que j'ai envie de regarder quelque chose, impossible de trouver sur quelle VHS ça se trouve, comme l'autre jour avec la cérémonie des Emmy Awards de 2002. J'enrage.

Je ne sais pas encore comment, mais il va falloir sévir.
Comment vous faites, vous ?

16 novembre 2008

ladytelephagy On Air

Pour être tout-à-fait honnête, ça fait depuis le lancement de ce blog que j'y pensais. Mais voilà : je ne savais pas trop comment faire. Je ne savais pas par où commencer, techniquement, non plus.
Petit-à-petit, l'idée a fait son chemin. Plusieurs fois, j'ai écrit des posts en me disant : "ah, celui-là, il ne faudrait pas juste l'écrire, il faudrait le dire !".

Le temps et l'expérience aidant, j'ai fini par m'y mettre. Je me suis bloquée un weekend, et voilà ! Deux des posts de ladytelephagy sont maintenant disponibles en version audio.
Pour y accéder, vous allez dans la rubrique "Cagoulage", là, à droite, dans la colonne... Au-dessus du flacon rempli de Médicaments génériques, où vous n'allez jamais, là... voilà.
La rubrique s'appelle ladytelephagy On Air (comme c'est original), vous y choisissez le post que vous avez envie d'écouter, et normalement, ça devrait bien se passer. Chez moi, en tous cas, ça marche. Si ce n'est pas le cas chez vous, faites-moi signe ci-dessous... Après tout, c'est encore expérimental !

Avec cette nouvelle fonctionnalité, mon engagement, c'est de laisser la version écrite et vous laisser le choix entre les deux versions d'un même post. Je ne changerai pas un mot, promis ! Ce sera peut-être plus digeste pour les tartines parfois longues que j'ai écrit par le passé, et que j'écrirai encore à l'avenir. Et ça vous donnera peut-être aussi l'occasion de redécouvrir des posts que vous n'avez pas vus, et sur lesquels, moi, j'ai envie d'insister parce qu'ils me tiennent à coeur.

Il y aura d'autres posts à écouter très prochainement, ne vous inquiétez pas.
Et vous pouvez même m'en suggérer si le coeur vous en dit ! Je suis toute ouïe... et, je l'espère, vous aussi ?

16 novembre 2008

Emmy-racle

Je ne connais rien de comparable à une cérémonie des Emmy Awards. Je pourrais regarder ça pendant des heures, et d'ailleurs au moins une fois par an, je le fais. Mais s'il y avait plusieurs cérémonies des Emmys chaque année, vous pouvez être sûrs que je les regarderais toutes. En général, il est vrai que j'aime bien regarder des cérémonies de récompenses ; j'en regarde d'ailleurs avec plaisir pour mon autre passion, la Jmusic, vu que chaque année, quand arrivent les frimas, on en a plusieurs qui se présentent, c'est presque comme si chaque chaîne avait la sienne.
Mais les Emmys ont résolument quelque chose que les autres cérémonies n'ont pas. C'est vrai que, par exemple, les Golden Globes me donnent moins d'émotion.

Parce que c'est ça, c'est tout justement ça : l'émotion. Je suis au spectacle, et je suis à 200% dedans. J'adore voir les animations prévues pour les présentateurs, j'adore surveiller le public et y reconnaître des visages connus, j'adore voir des petits extraits de séries que je ne regarde pas quand sont listées les nominations, j'adore les petits discours de remerciements, j'adore les séquences dédiées aux professionnels décédés l'année passée, j'adore tout. Je ris, je pleure, je bats des mains, je pousse des "oh" et des "ah", je suis très, très bon public, il faut le dire.

Emyy_racle_1

 

C'est vrai aussi que peu de choses m'émeuvent autant, dans ce genre de contexte, que les applaudissements. Je trouve que la reconnaissance qu'ils expriment est extrêmement touchante. Une assemblée de professionnels se réunit, et dit : "Ceci est du talent, ceci est du travail, nous l'avons vu, nous l'avons apprécié et nous allons vous offrir une soirée incroyable pour vous en récompenser. Et une statuette en or avec une nana ailée, aussi". Et ça me fait juste fondre.

Si l'on juge sur un premier coup d'oeil, c'est juste Hollywood qui s'autocongratule, évidemment. Il y a des robes plus ou moins extraordinaires, des mecs en tuxedo un peu partout, de grands écrans et ce qu'il faut de speeches larmoyants. Ca a quelque chose de facile, d'une certaine façon. De conventionnel et de téléphoné.
On se dit parfois qu'untel aurait plus mérité de gagner le trophée que tel autre, ou qu'il y a du favoritisme, ou au contraire que certaines séries méritantes n'ont même pas été remarquées pendant leur long parcours, pour des raisons sur lesquelles on se permet de fantasmer un peu. C'est difficile de regarder une cérémonie des Emmy Awards en mettant de côté ses préférences. On voudrait toujours que les séries qu'on aime repartent avec un petit quelque chose. Que les acteurs qu'on apprécie aient le droit de monter sur scène et remercier tous un tas de gens que, nous, on ne connaît même pas. Difficile de rester objectif !

Emyy_racle_2

 

Mais, moi, ce qui me frappe quand je vois ces cérémonies, c'est avant tout que des professionnels du milieu ont reconnu que cinq ou six personnes, dans chaque catégorie, sont bons dans ce qu'ils font. Et finalement, qu'on soit d'accord avec leur choix ou pas, ça reste merveilleux.

Imaginez, je ne sais pas, moi. Vous êtes America Ferrara. Vous venez de décrocher votre premier rôle principal dans une série. Vous n'avez même pas 25 ans. Et là, toute une profession vous attribue un Emmy pour votre performance ? Des gens dont vous regardez le travail à la télé depuis 10, ou 15, ou même 20 ans ? Des gens qui parfois ont votre âge en expérience de la télé ! Imaginez le truc, quoi !
Voilà, eh bien moi je me dis ça tout le long de la soirée. Je me dis que Bryan Cranston ou Zeljko Ivanek sont des mecs qui bossent depuis des années et des années dans le milieu, et qu'enfin, ça y est, on les a vus. Je me dis qu'il y a des gens qui ont su capter le regard de leurs pairs et ça me touche énormément.

Vous savez bien que j'aime chialer devant la télé...
Alors cet aprem, je me suis enfilé les trois dernières cérémonies. Pour tout vous dire, en fait, je voulais retrouver celle de 2002 qui est sur l'une de mes VHS, mais sur laquelle j'ai été incapable de mettre la main (faut vraiment que je vous parle de mon rangement, d'ailleurs, ça devient épique), et ça m'a énervée. C'est comme ça que je me suis dit "bon, au pire, j'en ai une autre avec Conan O'Brien comme présentateur", parce qu'il est vrai que j'adore Conan O'Brien, que voulez-vous, c'est un roux, et en plus il est drôle. Bref je me suis rancardée sur celles que j'avais vues plus récemment (j'ai regardé la cérémonie de cette année deux fois déjà, avant aujourd'hui... ça y est, vous prenez la mesure de mon adoration pour ces cérémonies ?), et on pourrait penser que c'était par dépit et que le coeur n'y était pas, mais non, c'était formidable, j'ai ri, pleuré, battu des mains, poussé des "oh" et des "ah", tout comme si c'était la première fois. Je vais vous dire, j'en mangerais encore s'il m'en restait.

Emyy_racle_3

Mais voilà, impossible d'en dénicher d'autres... dites, vous auriez pas une idée sur la façon dont je pourrais m'approvisionner en vieilles émissions ? Genre, de plus de 3 ou 4 ans, voire même bien bien plus ?
Parce que, vraiment, je ne m'en lasse pas.

15 novembre 2008

[DL] Honey West

Je suis tombée sur le générique de Honey West par hasard. Enfin, un hasard téléphagique, quoi. Et je dois dire qu'il m'a vraiment tapé dans l'oeil.
Ironiquement, il n'est pas tellement différent, dans l'intention, de celui de Police Woman dont on a déjà parlé, mais il est cent fois plus réussi parce que, eh bien, la classe, on l'a ou pas. Honey West l'a.

HoneyWest
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Du coup, après avoir vu ce générique, vous vous doutez de ce que j'ai fait...

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Honey West de SeriesLive.

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15 novembre 2008

[DL] Crime Story

Autant je suis capable d'écouter de la pop, du rock, et même à l'occasion du R'n'B, autant il y a des fois, des génériques comme celui de Crime Story sont un plaisir inépuisable pour les oreilles. Ça doit être pour ça que mes chansons préférées de la B.O. de Grease sont celles qu'on entend pendant le bal de promo.
Enfin bref, toujours est-il que Crime Story a un générique que je suis capable d'écouter en boucle, encore et encore, et je trouve qu'il fonctionne toujours aussi bien.

CrimeStory
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Bon alors il paraît que cette série a été diffusée en France sous le titre Les Incorruptibles de Chicago, mais je ne suis absolument pas au courant de ça, je m'en réfère juste à Wikipedia... Pour être sûre que ce titre a été choisi par les adaptateurs à bon escient, évidemment, il faudrait avoir la série sous les yeux...

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture... quoi, non plus ? Ah bah c'est la journée.

15 novembre 2008

[DL] Espion Modèle

J'étais encore une toute jeune fille lorsque j'ai découvert Espion Modèle, et en-dehors de la musique du générique (Bonnie Tyler forever), il ne m'en est pas resté grand'chose.
Si, il m'en est resté Antony Hamilton. J'étais folle amoureuse de lui quand j'étais petite ! Je me souviens surtout de lui dans Mission Impossible, en fait, mais à l'époque c'était THE MAN !
Alors vous imaginez la claque que j'ai prise quand, quelques années plus tard, devenue une téléphage dans la fleur de l'âge, j'ai découvert qu'il était mort. Et qu'il était gay. Et qu'il avait le SIDA. Et qu'il avait loupé le rôle de James bond au cinéma à cause d'un peu tout ça. Mais pour moi, il aura toujours ces incroyables yeux d'un bleu pénétrant, alors, je fais semblant de ne pas savoir.

EspionModele
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Causons générique à présent, car c'est là aussi du très bon. Au lieu de nous présenter les personnages en action comme on va les voir dans l'épisode, c'est-à-dire, pour autant que je me souvienne, avec des interactions, eh bien on nous présente leur parcours, ce qui les a conduits à devenir des espions modèles, séparément. Et là le parallèle tient du génie, il faut bien le dire. Personnellement je ne m'en lasse pas. Et pas juste pour la mâchoire carrée d'Antony Hamilton.
Sinon j'ai aussi la version du générique avec, euh... l'autre gars. Mais qui ça intéresse !

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Espion Modèle de SeriesLive.

15 novembre 2008

[DL] Equalizer

Savez-vous que TF1 ambitionnait d'utiliser le générique d'Equalizer pour son 20h avant que la chaîne ne recule devant l'idée de montrer tout les soirs le visage fermé d'Edward Woodward à ses spectateurs ?
Bon peut-être pas, mais avouez, ça aurait pu.

Equalizer
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J'ai aussi un vrai secret à propos d'Equalizer, mais je ne le dirai même pas sur mon lit de mort ; sachez simplement que c'est en rapport avec la superbement nerveuse chanson de ce générique, que j'adore. Voilà, je n'en dirai pas plus. C'est tout. Vous pouvez passer à un autre post, vous n'aurez rien de plus.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Equalizer de SeriesLive.

15 novembre 2008

[DL] Logan's Run

Bieeeeeeeen avant le Logan de Veronica Mars, il y avait le Logan de L'Age de Cristal, soit Logan's Run, voui je suis joueuse.
Métaphore de la société moderne, la série nous présentait un monde où les gens devaient mourir à 30 ans (au cours d'une très jolie cérémonie, certes, m'enfin quand même), alors que c'est justement l'âge où on commence à découvrir ce à quoi ressemble le monde. Enfin, moi je l'interprète comme ça, hein. D'un autre côté ça va faire 10 ans que je rêve d'en avoir 30, alors je sais pas, j'ai peut-être une vue biaisée de la chose.

Logan_sRun
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Le générique est vieux, certes, et il marque bien les années, mais j'adore le sentiment d'urgence provoqué tout de suite par l'alarme qui revient cycliquement pendant le thème.
Comme vous le savez (je vous en ai parlé par exemple pour The Brady Bunch), j'aime bien quand un générique essaye non seulement de nous présenter les acteurs, bon ça c'est classique, mais aussi l'histoire de la série. Résumer un pitch dans un générique, n'est-ce pas merveilleux ? Et si pratique ! Par exemple on sent sur la fin du générique de Logan's Run que le dehors, ça peut être sympa, et que peut-être le personnage de Francis va lui aussi remettre quelques petites choses en question. Mais pour s'en assurer, il faudra voir au moins le pilote...

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Logan's Run de SeriesLive.

15 novembre 2008

[DL] In the heat of the night

Dans la chaleur de la nuit, le mal est toujours puni... Heu, attendez, c'est pas le bon générique, ça.
En ce qui me concerne, je n'ai pas vu cette série lors de son (unique ?) passage en France (ce qui explique qu'instinctivement, j'ai tendance à employer son titre original ; en même temps c'est l'un de ces rares cas où le titre français est une traduction parfaite, alors...) mais j'ai l'impression d'être passée à côté de quelque chose quand je vois ce générique.

Intheheatofthenight
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Avec en plus Alan Autry, ce qui ne gâche rien. Faut vraiment que je m'envoie le pilote, cette ignorance ne peut pas durer.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture... eh bah, SeriesLive aussi, tiens. Bon, ça va, j'ai compris...

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