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ladytelephagy
4 juillet 2010

C'est l'été, c'est donc plus le printemps, logique

Bon, je suis désolée. J'avais planifié autre chose pour le post de ce soir, mais je dois vous avouer que je me suis laissée dépasser par 1/ le weekend de folie que je viens de passer 2/ quelques tous petits soucis de boulot (trois fois rien, je vous rassure, je n'ai juste plus de boulot).

Donc du coup, ce soir je vous signale simplement l'article de bilan de la saison du printemps au Japon, le troisième de son espèce sur SeriesLive (désormais des raccourcis vers mes articles asiatiques sur SeriesLive sont disponibles dans la colonne de droite), et vous invite très humblement à vous y manifester si vous avez aimé.

2010_Printemps
Dorama panorama - Collection Printemps 2010

Ces derniers temps, les râleurs ont tendance à prendre un peu trop la parole sur SeriesLive, certains s'en sont même fait une spécialité, alors faites savoir qu'il y a aussi des gens curieux et ouverts dans le coin, ok ?

N'oubliez pas ce qu'on a dit : je vais avoir besoin de votre soutien pour faire bouger les choses. Et croyez-moi, si c'est effectivement le 2e article en une semaine (le précédant, datant de dimanche dernier, vous présentait la fiction coréenne), c'est loin d'être le dernier ce mois-ci ! Tant qu'il y a du monde derrière moi, je continue !
Et si malgré tout ça, vous manquez encore cruellement de culture, permettez que je rappelle à votre bon souvenir l'existence de la rubrique Dorama Chick. Des posts sur des séries asiatiques en veux-tu en voilà...

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3 juillet 2010

Tois-toi et mange

Être téléphage, c'est être consommateur. Consommer du programme télé (bien souvent importée), consommer de l'information (visiteurs réguliers de sites et blogs, abonnés aux magazines spécialisés, éplucheurs de programmes télé, fans de Morandini, vous m'avez comprise), consommer du DVD, etc... On est des consommateurs, dans notre genre, avec un certain pouvoir d'achat, et qui permettons de faire gonfler les revenus de ceux qui nous pourvoient. Mais alors, ce qu'on peut se foutre de notre gueule, c'est royal.

Si on traitait les consommateurs de, disons, au hasard, viande bovine, comme on nous traite, la vache folle serait aussi courante que la grippe. Ok je caricature. Mais à peine. Un téléphage français n'a aucune façon saine à sa disposition de consommer son produit. J'explique.

Aux États-Unis, à part dans des cas assez ponctuels de diffusion erratique (nombre insuffisant d'épisodes, audiences catastrophiques, et annulation, étant les plus gros problèmes), le téléphage local sait quand, et où, et comment, consommer sa série. Il sait qu'à partir du moment où une chaîne s'est engagée à diffuser une série, elle ira au bout dans la mesure du possible, à part bien-sûr en cas de problème évoqué plus haut. Que la série ne bougera pas de case horaire pour atterrir à une heure indue. Que cette même série ne se verra que rarement tronquée, tronçonnée, censurée au dernier moment.
Je ne dis pas que ces choses n'arrivent jamais, je dis simplement qu'elles restent dans la limite du raisonnable et sont des évènements qui ne tiennent pas de la pratique systématique. Le consommateur américain, je vous prie de le croire, lorsqu'il a un soucis, il râle auprès de la chaîne, et il arrive souvent que la chaîne s'adapte. Exemple : n'importe quelle série sauvée des eaux, à l'instar de Roswell. Et pourquoi la chaîne elle s'adapte ? Pourquoi elle essaye de satisfaire son consommateur ? Parce qu'elle est bien au courant qu'elle n'est pas seule au monde et qu'il ne tient qu'à un mouvement subreptice du pouce pour que le consommateur aille consommer ailleurs. La loi de la concurrence. Et comme la chaîne, elle a investi des sous et des moyens humains dans la production d'un show, elle est pas folle, elle surveille.

C'est pire encore en Asie où, grosso-modo, le spectateur est traité en prince. Au Japon, c'est bien simple, même si une série devait faire des audiences négatives, il est ultra-rare qu'elle soit annulée. En fait, une série connait toujours une fin au Japon. Voilà qui fait rêver ! Quant à la Corée du Sud, si elle a développé une plus grande tendance à raccourcir ou prolonger ses séries, c'est toujours en avertissant la production (qui bien souvent est une équipe de la chaîne) histoire d'adapter les épisodes en plus ou en moins. Le résultat de pareilles variations n'est pas idéal, mais en tous cas, il indique qu'il y a effort pour essayer de contenter le spectateur. Il faut dire que dans ces deux pays, quand une chaîne reçoit 200 réclamations, elle estime que toute la population est outrée au dernier degré, et la notion d'irréprochabilité est toute-puissante. Quand une chaîne fait le moindre petit faux-pas, elle se répand en excuses auprès de ses spectateurs. Avec auto-flagellation et toute la panoplie.

Prenons maintenant le cas qui nous préoccupe : le consommateur français. Au-delà de toute considération sur le respect de l'œuvre (les chaînes n'en ont cure de toutes façons), comment traite-t-on le téléspectateur français ? Comme un malpropre. C'est lui qui est à l'écoute de la chaîne et qui est sommé de s'adapter. Une chaîne achète des droits de diffusion pour une série ? Il faut parfois s'armer de plusieurs années de patience avant de la voir poindre son nez. Et quand elle arrive, c'est dans un créneau horaire incohérent, et c'est au téléspectateur de se rendre libre. Et lorsqu'une série a les honneurs du prime, elle est charcutée comme un jambon pour rester tous publics. Et même dans ce cas, il n'est pas dit que les épisodes passent dans l'ordre, pire, on assiste à des aberrations du genre "un inédit suivi d'une rediff" (spécialité made in TF1 que M6 s'est depuis approprié), dans des créneaux d'une durée double !

Certaines séries sont indifféremment diffusées de façon quotidienne, ou hebdomadaire, parfois une fois l'un une fois l'autre selon les trous qui sont à combler dans la grille. Lors des rediffusions, qui ne suivent aucun schéma prédéfini, on peut parfois ne jamais revoir certains épisodes (je pense à l'épisode de Noël animé d'Une Nounou d'Enfer, diffusé environ une fois sur dix), ou même certaines saisons ! Il n'est pas rare qu'une série soit purement et simplement déprogrammée, sans explication, parfois sans même prévenir à la fin du dernier épisode diffusé. C'est la surprise la semaine suivante. Ou le jour suivant. Parfois les deux (le final de la saison 3 de Grey's Anatomy ?). Les séries qui arrivent à maintenir une certaine régularité sont traites jusqu'à la dernière goutte, et le consommateur a alors droit à 3 épisodes en enfilade, dont il se goinfre goulûment parce qu'on ne sait jamais quand sera la prochaine fois. Les chaînes créent une confusion folle en mélangeant les inédits et les rediffs, en ne prévenant que rarement lorsqu'un épisode a déjà été diffusé tout en lui faisant occuper la case horaire d'un inédit... C'est n'importe quoi !

Mais ça, vous le savez déjà.

Alors quoi ? Alors, eh bien le consommateur français ne sait pas consommer sa série. C'est vrai, mettez-vous à la place du téléspectateur lambda, non-atteint de téléphagie j'entends, qui est confronté à cette situation. Comment peut-il décemment devenir un consommateur averti ? Il est complètement manipulé par la chaîne, subit complètement ses décisions et ses envies, en bref, il est infantilisé. Ça tiendrait presque du lavage de cerveau, pour un peu. Il regarde ce qu'on lui donne, bien content qu'on lui donne déjà quelque chose. Et tant pis si les rediffs de NCIS font plus d'audience que des inédits de Threshold (et je prends à dessein deux séries que je méprise pour qu'on ne puisse pas dire que c'est une revendication partisane, parce que je préfère l'une à l'autre !), on s'en fout ! Du moment qu'ils regardent ce qu'on leur donne !

Actuellement, chaque série se consomme différemment. Le téléspectateur français n'a pas d'habitude avec sa série, ce qui est le comble de la téléphagie. L'une sera diffusée chaque automne à raison de deux à trois épisodes (Urgences), l'autre sera diffusée chaque été à raison de deux épisodes (LOST) mais pas toujours à la même heure, certaines seront mitraillées à raison de deux saisons en quelques semaines voire même encore plus hâtées sur la fin (Grey's Anatomy), d'autres sont presque cachées à des heures ridicules alors que complètement tous publics (A la Maison Blanche) puis interrompues sans raison apparente (Six Feet Under), s'insèrent là-dedans des rediffusions qui, s'intercalant avec les inédits, créent des confusions dans la timeline (NCIS, Stargate...), certaines sont multi-rediffusées sans justification d'audience ni de popularité (Le Caméléon, The Sentinel), certaines ne le sont pour ainsi dire jamais (L'Enfer du Devoir, V...) ou alors uniquement sur une chaîne du câble ou de la TNT, certains sitcoms sont récitables par cœur comme du Prévert (Une Nounou d'Enfer), d'autres sont enterrés sans raison (Roseanne, Papa bricole), certaines séries très accessibles et bien écrites sont camouflées à des heures hallucinantes (Scrubs), certaines sont rediffusées inlassablement dans l'ignorance la plus totale (Le Justicier de l'ombre)... A chaque série sa façon d'être consommée. Et on ne sait jamais ce qui viendra après.
A chaque série ses façons d'être consommées, selon l'âge du vent et le sens du capitaine.

Mais vous le savez, ces programmes ne sont pas du tout conçus pour être diffusés de la sorte ! A la base, une série est hebdomadaire, tout frustrant que ça semble être ! Bombarder le télespectateur pendant quelques semaines, et ensuite le laisser en plan pendant les trois quarts de l'année, est une aberration ! C'est anti-commercial, mais comme en attendant, ledit téléspectateur n'a pas le recul qui lui permettrait de dire "bah je vais pas regarder autre chose juste parce qu'une autre série occupe le créneau habituel", alors c'est pas grave, ça continue. Aux States, la série est rediffusée en syndication si elle franchit la barre des 100 épisodes, en France, ça ne veut rien dire ! Young Americans s'est fait rediffuser plusieurs fois, et avec plusieurs années d'intervalle, mais pas Space 2063 qui n'a connu la rediffusion que dans les deux ans qui avaient suivi son statut d'inédit (une saison chacun pourtant). C'est aberrant ! On nous maintient éternellement en position d'attente, de soumission. Quoi que fasse la chaîne, on prend ce qui vient. Les séries se font et se défont, et les chaînes l'ont bien compris, qui désormais se contentent de faire de la pub et brandir le panneau de la réussite outre-Atlantique, pour nous faire regarder indifféremment tous les genres de programmes.

Nos cerveaux bouillonnent (le coca, peut-être ?) et reçoivent tout ce qu'on leur jette en pâture, sans avoir jamais le temps de l'analyser, de le remettre en question. La stratégie des chaînes consiste à créer le besoin, et nous sommes trop occupés à être submergés par ce besoin pour être des téléspectateurs avertis. C'est incroyable !

Que dirait-on de toute autre industrie se comportant de la sorte ? Que dirait-on d'une entreprise de yaourt qui déciderait de mettre des yaourts au citron sur le marché, puis de les retirer, mettre de la framboise dans certains magasins mais pas dans d'autres, puis remettre une palette de citron pour la retirer si ça ne se vend pas, faire subir plusieurs années de vanille pour finalement faire mettre dans le fond des rayons de la fraise ? Ne trouverait-on pas que le choix du consommateur serait bafoué ? Ne penserait-on pas que l'entreprise ne le respecte pas et le trait purement et simplement ? Mais qu'une chaîne fasse ça, et ça laisse tout le monde indifférent. Et voilà comment on fabrique des bœufs et non des téléspectateurs capables de faire monter les enchères, et inciter à se diversifier, et s'améliorer, et s'affiner. Quand une chaîne sans considération pour son consommateur fait presque la totalité des audiences record d'une année, comment faire fonctionner la loi du marché avec le rôle de la concurrence ? Que peut bien signifier la menace de ne pas regarder une chaine si elle ne se comporte pas correctement avec ses spectateurs ? Rien !

Taistoietmange

2 juillet 2010

Valait-il mieux seule que mal entourée ?

Bon eh bah, ça y est, dites donc. Après, quoi... six ans ? A force de voir passer les saisons, les news, les projets de film... Au bout de longues années pendant lesquelles d'autres blogueurs téléphagiques ont l'ont mentionnée encore et encore... Au terme d'une quête qui a nécessité le cagoulage et la gravure répétés du pilote...

J'ai enfin vu un épisode d'Entourage.

Entourage

Du coup, comme on peut l'imaginer après pareilles tribulations, j'ai un sentiment de beaucoup de bruit pour rien.

Ironiquement, pendant le pilote d'Entourage, j'ai fait régulièrement la comparaison avec How to Make it in America, preuve que l'analogie de Livia m'avait marquée. Et de ce point de vue là, Entourage n'est pas décevant. How to Make it in America apparait comme vain, et n'apporte rien de nouveau sur quoi que ce soit, ne porte de regard particulier sur aucun univers en particulier. C'est juste New York, des potes, point barre. Entourage tente tout de même de tirer partie de son hollywoodien contexte, avec les spécificités inhérentes à ce milieu.

L'idée est finalement plutôt bonne, d'ailleurs : le quotidien à Hollywood d'une étoile montante, mais aussi et surtout des anonymes qui gravitent autour de lui. Une opportunité de ne pas voir que le côté glamour de cet univers. Et je dis : pourquoi pas ?

Oui, tiens, d'ailleurs... pourquoi pas ? Pourquoi, au terme de ce pilote, ne suis-je pas plus férocement enthousiaste ?

Comme souvent lorsqu'il s'agit de Hollywood, je trouve d'abord que ça manque de vitriol. Mais ça, c'est mon côté "j'ai trop regardé Action! quand j'étais petite". Même si je n'en attends évidemment pas le même mordant, j'attends du mordant quand même. Sans un minimum de critique du système, une fiction sur Hollywood ne vaut pas la peine qu'on la regarde.
Et même. En l'absence de mordant, j'attendais d'apprendre quelque chose. Vous savez, ces détails inutiles qu'en bon téléphage on retient quand même sur le fonctionnement de la machine à fabriquer du rêve.
Bon mais alors, admettons qu'il n'y ait rien à apprendre du monde merveilleux du show business et de ses complexes rouages, j'espérais au moins pouvoir être émue ; mettre un orteil dans un tel rouage doit forcément avoir un certain impact sur la psychologie des gens qui se frottent à ce milieu. Il y a des sacrifices, des périodes de vache enragée, des efforts qui ne semblent jamais aboutir, qui sont autant d'occasions d'explorer le potentiel dramatique d'un tel milieu.

Rien de tout ça ou si peu.

Globalement, Entourage, avec ce pilote, semble plutôt choisir le divertissement pépère. Un divertissement pas trop mal gaulé, mais un divertissement quand même, sans la moindre ambition d'offrir plus que quelques rires faciles entre potes. Surtout, surtout n'essayons pas de dire quelque chose ni de notre sujet, ni de nos personnages ! Contentons-nous d'une chronique sur un univers dont on peut tirer tout un tas d'opportunités rarement exploitées dans les séries plus classiques.
C'est un peu comme quand Memphis Beat fait couleur locale, finalement.

Peut-être que je n'aurais pas cette impression si, et c'est le plus gros problème, la moitié de ces personnages ne renvoyaient pas une grosse impression d'inutilité. L'acteur était, naturellement, incontournable, d'autant que j'aime bien ce personnages qui semble saturer dés le pilote, et veut juste se la couler douce dans un monde où on comprend bien que le répit n'existe jamais vraiment tant qu'on veut continuer à briller. Son agent, le type propre sur lui aux dents qui rayent le parquet, était également nécessaire, bien qu'à ma grande surprise (surtout après tout ce que j'en avais entendu), il est cantonné dans le pilote à une apparition finalement mineure. Et puis, le copain qui vit aux crochets de la célébrité mais essaye de se trouver une place, et n'y parvient qu'en s'imposant comme un manager autoritaire mais paumé, j'aimais bien aussi. Ce personnage est même mon préféré à ce stade, parce qu'on sent la blessure d'amour propre du type qui voudrait bien exister par lui-même, mais n'a pour l'instant rien trouver de mieux que de régenter (ou donner l'impression de) la vie de son champion.

Mais les autres ? Les autres on s'en fout complètement. Je n'ai aucune idée de ce qu'ils font là. Quelque part, l'amitié entre ces deux copains-là aurait suffit pour moi.

Je serais peut-être moins cruelle avec eux si Entourage avait commencé plus tôt dans la vie de ses protagonistes. Tandis que l'acteur commence à vraiment décoller, le plus intéressant me semble déjà derrière. J'aurais voulu en savoir beaucoup plus sur la façon dont ils ont vécu la transition de l'anonymat à la célébrité. Dans ce milieu, il est bien connu qu'on rame toujours un peu, qu'on enchaîne les castings miteux et les publicités vaguement rémunératrices mais peu intéressantes, avant d'arriver, et c'est un angle qui m'intéresse bien plus.
Où était tout ce bel entourage quand le petit gars, qui n'était qu'une belle gueule anonyme, vivait de maigres cachetons ? Quand personne ou presque ne pensait qu'il pouvait arriver tout en haut de la chaîne alimentaire ? Comment s'est déroulée la délocalisation à LA ?
Le pilote d'Entourage arrive trop tard à mon goût, et même si je me doute (en tous cas ce serait heureux !) que la série évoquera ensuite ces points, j'aurais préféré toute une saison consacrée à cette période avant d'en arriver à la gloire, la fortune, et la location d'une maison hors de prix où chacun a déjà pris des habitudes de pacha surréalistes.

Du coup, je me suis remise en quête du pilote d'Unscripted, mais rien à faire, impossible de mettre la main dessus. La galère recommence, après des années de chassé-croisé avec Entourage !!! Au nom du ciel, cette série n'a que 5 ans, comment est-il possible qu'on ne puisse pas la cagouler ?!

Bon, toujours est-il que je suis un peu déçue par Entourage, mais pas non plus totalement refroidie. J'ai pas encore décidé de la suite des évènements. Est-ce que je regarde la suite ?
Oh, bof. J'ai le temps de me faire un avis. Après ce jeu de cache-cache interminable avec le pilote (cf. tags), je n'en suis plus à quelques semaines près pour me décider.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Entourage de SeriesLive.

1 juillet 2010

[DL] Entourage

Si vous avez suivi un peu ce qui s'est dit sur ce blog, ou, tout simplement, si avez cliqué sur le tag au bas de ce post, vous savez déjà que j'ai une histoire compliquée avec Entourage, dont je n'ai toujours pas vu le pilote ; la faute à pas de chance disent les uns, un signe divin répondent narquoisement les autres.

Entourage
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Le générique, en tous cas, je le connais depuis longtemps, et je l'ai toujours apprécié en dépit, finalement, de sa simplicité. Mais la musique joue pour beaucoup, et on a cette ambiance d'amitié masculine décontractée qui me plaît tellement, pour des raisons que je ne m'explique pas vu que, vérification faite, je suis une gonzesse. Allez comprendre.
Bref, retenez votre souffle, attention : l'épique quête pour voir le pilote d'Entourage connait un nouveau rebondissement... dans le post du vendredi.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Entourage de SeriesLive.

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