Sick Sad World
Quand quelqu'un est malade à en crever, en général, il se bourre de médicaments et de bouillon, puis il attend que ça passe. Quand un téléphage est malade à en crever, il se bourre de médicaments et de séries, puis il attend que ça passe. C'est physiologique, on fonctionne différemment.
Ma condition physique m'y contraignant, j'ai donc passé les derniers jours à comater méchamment devant la télé... Je ne comprenais pas tout, mais qui s'en soucie ?
Après avoir étudié le cas 30 Rock pendant une poignée d'épisodes (j'ai commencé à rire franchement à partir du 5e épisode ; allez, à la fin de la saison je pourrai peut-être sincèrement en penser du bien), et même à la suite d'un instant d'égarement devant une rediff de 7 à la Maison un peu avant le déjeuner, mon pharmacien m'a ravitaillée et, là, on a pu aborder les choses sérieuses.
Les choses sérieuses, c'étaient :
- le pilote de Friday Night Lights
- le pilote de Trust Me
- le pilote de Life
- deux épisodes de United States of Tara
- un revisionnage de Doctor Horrible’s Sing-Along Blog
- et plus d'épisodes du Coeur a ses Raisons que la dignité ne me laisse l'avouer
Ok, je commence par vous parler de quoi ?
Qu'est-ce que c'est cool d'être malade, quand même...! Mais comment font les gens qui ont la grippe et qui ne sont pas téléphages ? Ca reste un mystère pour moi...