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ladytelephagy
14 novembre 2008

[DL] Clair de Lune

Ce n'est pas bien difficile de deviner que Clair de Lune va faire partie des vieux génériques que j'affectionne encore, puisque tous ceux qui consultent le diaporama du flacon savent que je propose déjà la chanson à l'écoute depuis plusieurs mois. Et comme si la voix d'Al Jarreau n'était pas suffisamment délicieuse, il faut que visuellement, ce soit un cadeau. Que du bonheur.

ClairdeLune
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Plus qu'une merveille : un classique. Ne pas connaître le générique de Clair de Lune, c'est comme ne pas connaître celui de Twin Peaks : rien d'autre qu'usurper le titre de téléphage amateur de génériques.
Bon, bah maintenant, vous n'avez plus d'excuse.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Clair de Lune de SeriesLive.

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14 novembre 2008

[GAME] Voilà qui ne nous rajeunit pas...

Françaises, Français,
Suissesses, Suisses,
Belges, Belges,
Mon président,
Mesdames et Messieurs les jurés,
Public chéri, mon amour.

Aujourd'hui, parce que je trouvais que je n'avais rien à faire d'aussi intéressant ce weekend que de vous fournir 20 posts à la minute, je me suis dit que j'allais lancer un autre jeu des commentaires. Depuis que j'ai commencé, plein d'idées de thèmes me viennent, et comme plein de génériques me viennent aussi (en plus de réserves déjà abondantes), je trouve que ça fait admirablement la paire.
Ainsi donc, le thème du jour sera : les vieux génériques qui sont toujours géniaux aujourd'hui.

Par vieux, j'entends : ayant fait ses débuts avant 1990. Inutile de dire que, cette fois, il va falloir être vraiment très bons !
Pour le reste, les règles du jeu ne changent pas : aucun de ces génériques n'est déjà présent dans le flacon, et, oui, je vous donnerai des indices. Ce n'est déjà pas donné à tout le monde d'avoir une culture téléphagique d'il y a près de 20 ans, je ne vais pas en rajouter ; rappelez-vous simplement que parfois je vous décris la série, parfois je vous donne une piste plutôt pour le titre, mais gardez aussi à l'esprit combien je peux être tordue parfois, et essayez de repenser aux séries que j'ai pu citer aussi, on sait pas ça peut aider une fois ou deux. Ne cherchez pas toujours trop loin, songez bien qu'aucune de ces séries n'a commencé après 1990, et tout devrait bien aller...

Par cooooontre, le pilote d'une de ces séries sera posté la semaine prochaine dans la rubrique La preuve par trois si vous trouvez les 10 titres avant dimanche soir ! Ça peut valoir le coup, non ?

Bon, vous vous sentez prêts ? On est partis !
1 - Une série avec un aigle sans plume > Tonnerre Mécanique
2 - Une série où il fait chaud la nuit > In the heat of the night
3 - Une série qui ne se déroule pas à l'époque où elle est filmée > Crime Story
4 - Une série avec an Englishman in New York > Equalizer
5 - Une série avec du miel mais pas d'abeille > Honey West
6 - Une série avec un espion, qui a été espion après, d'ailleurs > Espion Modèle
7 - Une série avec un acteur de ciné qui n'était pas encore au ciné > Clair de Lune
8 - Une série avec une voiture construite par Dacia > Logan's Run
9 - Une série avec un arc en ciel sur le mur > Punky Brewster
10 - Une série au papier peint marronnasse > Three's company

En toute sincérité, n'en choisir que 10 n'a pas été facile. Mais bon, c'est le jeu, ma pauv'Lucette !

Allez, montrez-moi ce que vous avez dans la télécommande ! Je sais que certains parmi vous connaissent leurs classiques, mais j'attends un effort de groupe !

14 novembre 2008

Une semaine de boulot

Dans ce que nous dit SeriesLive sur Pushing Daisies, hélas, pas grand'chose de nouveau. Hélas...
...si ce n'est qu'on y apprend que le tournage s'est achevé jeudi !

Et je ne sais pas pour vous, mais je trouve cette idée simplement magique. De savoir quand les séries se tournent.
Quand je lis "le tournage du treizième épisode de Pushing Daisies s'est terminé ce jeudi", tout de suite me vient à l'esprit l'image du plateau du Piehole, avec les techniciens qui rangent leurs câbles, Lee Pace qui effondre son mètre quatre-vingt douze sur une chaise et Kristin Chenoweth qui se masse les pieds douloureusement torturés par des chaussures à talons gisant à ses côtés. Tout de suite. C'est clair dans mon esprit. Comme si j'y étais.

La simple idée de savoir quand se déroulent les tournages, quand ils se finissent, je trouve ça juste magique. Imaginer (sans grand effort en ce qui me concerne) les acteurs au travail, ou en train de prendre une pause, ou se dire au revoir le temps d'un hiatus pour s'aérer la tête avec de nouveaux projets, c'est juste merveilleux à imaginer.

Quand on regarde des séries, on ne sait au juste pas trop quand l'épisode qu'on regarde, ou le dernier en date qu'on a vu, a été tourné. On en a une vague idée, au mieux. On devine bien que, vu ce qu'on sait, la saison a commencé à être tournée à tel moment, ou tel autre, et puis quand la saison est interrompue comme l'an dernier, évidemment on le sait aussi. Mais globalement, on reste dans une certaine distance vis-à-vis de ça. Comme si ça tuait la magie. Moi je trouve que ça en ajoute, que l'idée que le casting de telle ou telle de mes séries favorites bosse en même temps que moi, ça a quelque chose de motivant.

Ça ajoute une forme de proximité de se dire qu'on sait qui fait quoi. Ca ajoute une forme d'intimité. Se dire que pendant que je me tapais le dossier de lundi matin (et je me le suis tapé jusqu'à 20h30, ce soir), eh bien, il se tournait une scène, ça a quelque chose de terriblement proche. Une sorte de domestication.

Bonnes vacances Lee, bonnes vacances Anna, bonnes vacances Kristin, bonnes vacances Chi, et bien-sûr, bonnes vacances Bryan.
Car oui, ce ne peuvent être que des vacances.

Zavez signé ? Un petit autographe, s'il-vous-plait.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Pushing Daisies de SeriesLive.

13 novembre 2008

C'est encore Halloween ?!

J'étais innocemment en train de me demander si je me regardais une petite cassette sur mon dernier magnétoscope survivant (celui qui ne fait plus que la lecture ; il faut vraiment que je m'achète le bidule qui permet de tout passer sur PC, avant qu'il ne me lâche, d'ailleurs) ou si j'allais regarder la télé. Des fois il s'y passe des trucs, après tout. A la télé, on est surpris.

C'est vrai qu'en fait, quand on regarde un DVD, ou qu'on cagoule, le résultat est entièrement maîtrisé. Vous regardez l'épisode que vous attendez, ou l'épisode que vous avez déjà vu, et quelque part vous savez à quoi vous attendre (à la notable exception d'un accès pilotovore, où là, c'est la roulette russe).
Mais quand vous allumez la télé, c'est la surprise. Inédit ou rediff ? Et si inédit, peut-être celui d'une série que de toutes façons je n'aurais pas pris la peine d'acheter en DVD ou de cagouler...

Combien de fois m'est-il arrivé d'allumer la télé et de me dire "tiens, c'est vendredi, c'est Sex & the City", et de tomber par hasard sur l'un de mes épisodes préférés et me laisser surprendre, une fois de plus, par son effet. Combien de fois me suis-je dit que j'allais zapper jusqu'à tomber sur une série, et prendre en cours de route l'épisode jusqu'à la fin, pour voir. Combien de fois, pendant des insomnies, suis-je tombée sur Dallas par exemple, et me suis-je dit que j'allais tenter l'expérience puisque j'étais là, sachant que je n'aurais sans doute pas l'idée de regarder la série en d'autres circonstances...

Et puis, au fil de l'eau, se prendre au jeu, se laisser émouvoir, se laisser surprendre, découvrir un bon épisode, rédécouvrir les détails imperceptibles d'un épisode qu'on pensait déjà connaître... se laisser surprendre, oui, c'est certainement ce que je fais devant ma télé. Le cagoulage et le DVD n'apportent pas ça, du moins pas autant.

Typiquement, des séries comme Les Experts Oulan Bator ou Cold Case se prêtent totalement à ça. C'est la série que jamais de la vie je ne regarderais pour le frisson téléphagique, mais que, comme ça, par hasard, pourquoi pas.

Bref je me demandais s'il y avait quelque chose par quoi me laisser surprendre.

Et dans mon programme télé, je suis tombée sur ça.
Jaipeur
Rassurez-moi, c'est la version Sims de Kathryn Morris, hein ? Ah ya pas à dire, les Sims 3, ils ont poussé le réalisme très loin. C'est pas encore parfait niveau proportions mais ça a quand même de la gueule...

13 novembre 2008

Mort Comme Moi

J'en parlais il y a pas longtemps, voilà du nouveau, apparemment ça se concrétise du côté du film (même si à sortir directement en DVD) de Dead Like Me. En effet, l'incontournable TVShowsOnDVD a dégoté des covers !

DeadLikeMe_LifeAfterDeath

Eh ouais, c'est la journée du post de feignasse, aujourd'hui... Bah oui mais je suis toujours malade comme un chien, alors zut.

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13 novembre 2008

Socialiste

Mes petits camarades de SeriesLive On Air le savent bien pour en faire souvent les frais en cours d'enregistrement (et vous aussi si vous me lisez attentivement), je vis aux abords d'une gare.
Où ça ? Eh bah... vous voyez Paris ? Bon, bah plus bas. Plus bas ? Voilà, là. C'est ma gare.

Eh bien figurez-vous qu'à côté de ma gare, j'ai trouvé ceci sur un mur...

Socialiste

Vous le reconnaissez ? C'est Hyde ! Bon c'est un peu un crime de mettre des paroles de Bénêtbar avec une trogne pareille, mais reconnaissez que ça a son charme...

Mais au fait, Hyde, il est pas plutôt anarchiste que socialiste ?

12 novembre 2008

J'ai un mot du médecin

Il fait noir. Oh mon Dieu, tout est noir ! J'ai ouvert les yeux et il fait toujours noir ! A l'aide ! Je suis aveugle !!!
En tant que téléphage (et de surcroît avec des oreilles aussi paresseuses que les ovaires de Miranda Hobbes... j'aurais pas dû faire ce test de BuddyTV), c'est mon pire cauchemar, évidemment.

Alors, lorsque mon amie l'ophtalmo m'a gentillement cloué les yeux avec de l'acide (elle dit que c'est pour faire un fond de l'oeil, mais je ne suis pas dupe !), me rendant aveugle pour quelques temps, la panique s'est forcément emparée de moi. "C'est temporaire", qu'elle disait ; et moi, inquiète, je répétais : "Temporaire comment ? Ok nan mais ça fait combien, en épisodes ? Bon, disons qu'on compte en comédies, combien ? Dites, combien ? Un épisode, deux ? Plus ? Combien ?" Elle m'a renvoyée chez moi avec une tape sur l'épaule (mais je suis aveugle, au nom du ciel, ne me relâchez pas dans la rue comme ça, j'ai tout un pâté de maison à contourner !) et un petit sourire... oh je ne l'ai pas vu, le sourire, mais il s'entendait et il était narquois. "Tout va bien aller...". Merci mais ça ne répond pas à ma question.
Ma vue a baissé. Je me rapproche du jour où je devrai me contenter de la radio, comme les vieux. Ah nan, pas ça, ils ne font plus de série à la radio... Si ? Non, je pense que ça n'existe plus. Faudra que je me renseigne, quand même. Pour plus tard. Ou moins tard que je ne le pense. Oh mon Dieu je deviens aveugle !

Je suis rentrée tant bien que mal chez moi, ait laissé mes chaussures dans l'entrée en trébuchant dessus, ait piétiné un chat ou deux (quelle est votre excuse à vous les matous, vous qui pouvez même voir la nuit ?!), me suis allongée toute habillée sur mon lit trouvé en tâtonnant, et les mains jointes sur le ventre, et j'ai attendu que le plafond retrouve sa couleur initiale, passant du noir au blanc. Ou disons qu'il devait l'être il y a 10 ans.
Et j'ai réfléchi.

Ce qui fait l'intérêt d'une série télé par rapport à un feuilleton radio, ce n'est pas simplement de voir, oh les jolis filtres des Experts du Siqueur, oh les décors qui arrachent la cornée de Hidden Palms, oh les formes affriolantes de Shemar Moore (bah, quoi ?). Non, ça va bien plus loin, évidemment.
C'est même au-delà du ravissement sans nom qu'est Pushing Daisies à chaque instant.
C'est bien plus que tout cela. Qui est pourtant déjà pas mal, je vous l'accorde.

C'est voir tout le langage non-verbal, ce qui à mon sens distingue l'acteur-fonctionnaire de l'acteur-artiste.
C'est voir les personnages grandir, vieillir, évoluer.
C'est voir un interprète apprivoiser son personnage. Un styliste en affiner l'apparence, la faire évoluer.

C'est voir la différence d'un demi-millimètre à peine qui réside dans l'oeil d'un acteur qui nuance sa peur en terreur, ou sa colère en rage, ou son amour en passion.

Perdre mes yeux, c'est perdre les yeux de ces centaines de gens qui ont affiné, peaufiné, chaque personnage, pour lui donner sa substance actuelle !

Passant progressivement du noir au gris, puis du gris au presque blanc, les doigts enlacés sur le ventre, je songeais à tout ce que je perdrais si j'étais aveugle. Quand la lumière est réapparue, j'ai foncé chez l'opticien avec ma belle ordonnance, et j'ai supplié pour qu'on me donne le nec plus ultra des lunettes ! Peu importe le prix, j'ai un rein dont je n'ai pas usage de toutes façons...
Je suis allée chercher ma nouvelle paire d'yeux quelques jours plus tard. Je suis rentrée chez moi, éblouie. J'ai allumé l'écran. J'ai retrouvé mes séries.

Ou bien ?
Subitement, j'ai remarqué une ride au coin du regard de Fran Drescher. Une dent légèrement sortie de l'axe, cachée derrière la lèvre inférieure taquine de Lee Pace. Un grain de beauté insoupçonné sur le visage de Christina Applegate. Vous voyez ? Mon regard a déjà changé.

Orgie d'images ! J'ai de nouveaux yeux et je compte bien m'en servir pour tout regarder à nouveau ! Vérifier ce que j'ai raté ! Les détails à côté desquels je suis passée ! Les nuances que je n'ai pas saisies au premier regard !
Et puis, mon ophtalmo me l'a bien dit : "Vous ne pouvez rien faire pour empêcher votre vue de baisser, c'est normal (ç'aurait même dû se produire au moment de l'adolescence). Alors profitez de vos yeux tant que vous les avez".

Eh, si ce sont les ordres du médecin...

11 novembre 2008

Four's company

Je dis souvent (ou je laisse entendre) que les séries françaises, c'est de la merde. Je suis un peu l'anti-Coffe de la série française, et j'assume pleinement. D'ailleurs je le pense encore dans 99% des cas, qu'on soit bien clairs. Eh bien il y a aussi des exceptions et je suis toujours contente de le souligner.

Par exemple demain, avant d'aller au boulot (puisque je commence à 13h), je vais prendre mes petites jambes, mon petit chéquier, et aller acheter le DVD de la 1e saison de Flander's Company, et là aussi j'assume complètement.
Il est rare que je rie autant devant une série française, alors vous pensez si je ne vais pas me priver.

J'aime bien NERDZ (pas forcément pour toutes les bonnes raisons d'ailleurs), mais j'adore Flander's Company pour son habilité à me fait rire. Et pour Frédéric Hogstein, dont je vous ai déjà parlé d'ailleurs, et dont le charisme et le talent n'égalent que son sens du détail, sensible à chacune de ses apparitions.

C'est pas pour rien que ceci est planqué dans ma signature sur plusieurs forums !NecassezpasKurtzman

On a des mecs comme ça, en France ! Des mecs qui se sont trouvé leur petit coin de lucarne où faire profiter quelques spectateurs de leur talent, et la plupart d'entre nous ne le savent pas. C'est dommage, non ?

On a aussi des mecs comme Ruddy Pomarede, en France, qui s'impliquent depuis 10 ans dans la fiction, et, bien que n'ayant qu'une audience relativement confidentielle, ont su affiner leur art. On sent la progression, on sent le travail, on sent l'aboutissement d'années de peaufinage, et on sent aussi le plaisir. Et ça c'est bon.

Alors quand quatre mecs qui bossent sur la Flander's Company me disent qu'ils seront ravis de participer à SeriesLive On Air, je me fiche comme d'une première chemise qu'ils ne soient pas aussi célèbres qu'un Carrazé, je leur ouvre grands les bras, et je profite de leur bonne humeur, de leur envie de bien faire ce qu'ils font avec les moyens qu'ils ont, et de leur bonne volonté.
Et ce même si je suis malade à en crever ce jour-là (et les suivants...).

Pour savoir ce que cet enregistrement (et encore, il y a du contenu pour des bonus), ça se passe sur le post de l'émission du jour !

Et pour ceux qui manquent cruellement de son : SeriesLiveOnAir_Purple_mini

11 novembre 2008

Ils sont pas débrouillards, ces inspecteurs, aussi !

lady devant Esprits Criminels, à l'instant, ça donnait ça...

La blondasse qui était dans Cœurs Rebelles, consultant le dossier d'un criminel : "Hé, ça pourrait être ce gars !"
lady : "Bah montre sa photo, je vais te le dire, est-ce que c'est Jason Wiles ?"

Message personnel : c'est possible d'arrêter de donner la liste des guest stars au début des épisodes ? D'avance merci.

10 novembre 2008

Yatt... uh ?

Pourquoi, mais pourquoi j'ai acheté la 1e saison de Heroes, alors que j'ai interrompu mon visionnage au cours de la 1e saison, et que je ne l'ai jamais repris depuis ? Et qu'en plus c'est pas vraiment la série du siècle. Et qu'en plus, de notoriété publique, la saison 2 est lamentable. Et la 3e pas vraiment mieux. Et que Kring n'en finit plus de s'excuser.
Bon alors, pourquoi ?

Eh bien exactement pour toutes ces raisons, en fait.

- Heroes était très marrant au début. Cette série est super bien gaulée, c'est du popcorn pur beurre ! C'était une série parfaite pour suivre avec mon homme de l'époque mais justement, quand l'homme est sorti de ma vie, Heroes aussi.
- Heroes est une série popcorn, je l'ai dit. Et je n'ai qu'une affection modérée pour le popcorn. Alors très vite, j'ai trouvé des choses bien plus passionnantes à cagouler, du moins quand j'avais la place technique de le faire. Et puis les diffusions à la télé ne tombaient jamais au bon moment. Et puis je suis amoureuse de la voix de Pasdar. Tout ça tout ça. Nan, le DVD, c'était la seule solution.
- Heroes s'est embourbé jusqu'au cou avec sa saison 2, il parait. Bah je veux vérifier par moi-même. Mais pour ça j'ai besoin, déjà, de me rappeler à quoi ressemblait la première saison, et puis quand même d'avoir des réméniscences à peu près claires de l'histoire. Donc bon, la saison 1, c'est déjà un début.
- Heroes a été très pénible pendant la saison 2, qu'il se dit. Sauf que je lis des magazines, moi (oui j'ai du fric à claquer, je vous l'avais déjà dit peut-être ?). Et que dans Générique(s), eh bien le propos était plus nuancé. Apparemment, le rythme se ralentit mais peut-être finalement à bon escient, gagnant un peu de substance. Bon bah moi, je veux voir un Heroes qui gagnerait en profondeur. Ca doit faire bizarre.
- Heroes pédale dans la semoule avec sa 3e saison, à ce qu'on dit. Bah oui mais ça aussi je veux le voir de mes propres yeux. Quand on part d'une première saison d'une efficacité désarmante, un pur produit tiré au cordeau et tout, je me demande comment on peut se planter autant ensuite. A des fins documentaires, à des fins pédagogiques, même, il faut vraiment que je voie ça.
- Heroes est un produit devenu tellement honteux que son créateur Tim Kring s'est excusé plusieurs fois à son sujet. Outre le fait qu'il faudrait commencer par s'excuser pour Preuve à l'appui, et qu'après on pourrait éventuellement discuter, je trouve ça tellement fort de café que j'ai bien envie de charger la mule moi aussi, et pour ça il faut que je voie de quoi il s'agit. Surtout qu'on en parle dans le podcast de SeriesLive On Air demain, quand même... merde, c'est pas sérieux.

Voilà, maintenant vous savez pourquoi.
J'ai pas dit que c'étaient de bonnes raisons, juste que ce sont mes raisons...

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