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ladytelephagy
6 octobre 2008

En plein coeur

L'an dernier, il y avait le risible Cavemen. Cette année, je ne sais plus où donner de la tête !

Je ne sais pas, il y a un concours dont je ne suis pas informée, quelque chose ? Vous savez, c'est vraiment dommage que les Emmies ne récompensent pas les séries les plus méprisables et pitoyables de la saison aussi, parce que d'une part ça permettrait à plein de séries prématurément exterminées de quand même avoir une chance aux Emmies, et surtout ça servirait de leçon à tous ceux qui se pointent avec des concepts comme, mettons, je ne sais pas moi, au hasard : Valentine.

Parce qu'en dépit de tous les défauts de cette série (et, mon Dieu, par où commencer ?), il y a quand même une raison pour laquelle elle mérite que je lui tire mon chapeau : le pilote est exactement ce que le pitch laissait présager. Et c'est déjà une belle prouesse que de ne pas nous avoir déçus.

Nan mais, attendez, le concept c'est peut-être ça après tout : essayer d'attirer la pitié des spectateurs via une série kitschissime et ridicule. Bon, ça ne marcherait pas sur moi, mais quand on est spectateur de la CW et qu'on se fait laver le cerveau depuis quelques temps, je sais pas, ça peut peut-être prendre, hein...

Pour le reste, je n'ai qu'une chose à dire : Polaha est au générique. Cette série est donc condamnée de toutes façons. Dommage pour le retour de Christine Lakin qui avait mis des années à refaire surface, mais bon, si on n'achève plus les canassons qui boîtent, on ne va jamais s'en sortir sur la CW !
Déjà que...

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture (ça ne risque pas de s'arranger) : la fiche Valentine de SeriesLive.

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6 octobre 2008

[DL] Farscape

J'ai mis longtemps à décider qui était mon personnage préféré de Farscape. Au début j'aimais beaucoup Zhaan, c'était tout-à-fait, esthétiquement, mon genre de personnage, avec en prime quelque chose de puissamment ambivalent, à mi-chemin entre le bonze tibétain et le diable fait femme. Bref, le genre de personnage qui me fait triper, comme on dit. Hélas, je n'ai pas sous la main le générique de la première saison (je ripperais bien mon propre DVD pour vous l'offrir mais il y a ce problème de place qui en ce moment rend la chose impossible), où on pourrait encore la voir. Souffrez donc cette version en attendant, et qui est ma foi, fort honnête, même sans Zhaan.

Farscape
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

En-dehors de Zhaan, il faut bien le dire, entre D'Argo et Chiana, mon coeur balance. Et bien-sûr, il y a John Crichton, pour les yeux. Nan, franchement, je crois que je ne me déciderai jamais. Ces personnages sont si riches, si intenses, si humains (évidemment puisque c'est de la science-fiction ! dans quel autre genre trouve-t-on les êtres les plus humains de la galaxie ?) que c'est trop dur de choisir. Ah, si, une fois, j'ai dû choisir, parce qu'on m'a offert une figurine D'Argo pour Noël et que j'ai dû décider entre lui et Zhaan, et que je trouvais Zhaan trop peu réaliste. D'un autre côté, une fois je me suis achetée une lithographie de Zhaan, et ça ne m'a posé aucune sorte de cas de conscience. Où elle est passée, d'ailleurs, cette litho ? Hm...
Mais en-dehors de ça non, je ne saurai jamais choisir.

Vous savez, des fois je me dis que si je n'avais pas acheté la litho, le CD, les cartes et le guide officiel, j'aurais au moins un autre DVD de la série à la maison à l'heure qu'il est. C'est fou l'effet qu'ont les produits dérivés sur nous des fois... ça mériterait tout un post.

Et pour ceux qui manquent frellement de culture : la fiche Farscape de SeriesLive.

6 octobre 2008

Money changes everything

J'ai une drôle de relation avec Farscape ; c'est l'une de ces séries que j'ai découvertes grâce à mon enregistreuse de l'époque où j'étais une téléphage acharnée (voir post précédent) ; l'enregistreuse en question avait Série Club, et un sens aiguisé de la générosité téléphagique : elle enregistrait régulièrement des épisodes de séries que je ne connaissais pas pour que je puisse m'instruire. C'est aussi grâce à elle que j'ai découvert Rude Awakening ou encore Oz, je lui dois donc beaucoup. Et donc, je lui dois aussi la découverte de Farscape.

Seulement, quelques temps après ça, nous avons perdu le contact. Et à l'époque, je n'avais même pas de chez moi informatique, et ne songeais donc même pas au cagoulage. Farscape et moi avons donc, par voie de conséquence, perdu le contact également, et forcément, je suis passée à autre chose.

Environ deux ans plus tard, rassemblant mes faibles économies, je me suis offert le DVD de la première partie de la première saison pour Noël. Sauf que je n'avais pas de lecteur DVD et que je comptais sur le matériel d'autres personnes pour suivre le début de ladite saison, dont je n'avais vu que quelques épisodes jusqu'alors. Voilà qui compliquait largement les choses. Ajoutons aussi que 40 euros pour un cinquième de saison, c'est du foutage de gueule même pour une téléphage acharnée. Je ne sais pas si ces éditeurs DVD se rendent compte que pour leur acheter leurs rondelles, il faut aussi qu'on mange ; un bon client est un client vivant, pourtant, non ? Bref, après une très courte période de frénésie, j'ai dû laisser tomber. Et je suis donc passée à autre chose, à nouveau.

A quelques temps de là, environ deux autres années en fait, je me retrouve à déménager et, pour de sombres histoires que je vous épargne, je change de fournisseur d'accès à internet et me retrouve gratifiée chez mon nouveau FAI d'un accès gratuit à Série Club pendant plusieurs semaines. Et là, sur quoi je tombe, par le plus grand des hasards, comme un signe du Destin ? Sur une diffusion de la dernière saison de Farscape ! Et je me retrouve à me régaler de ces épisodes avec joie et empressement. C'est ainsi que j'ai pu voir une grande partie de la saison ultime, y compris le final, lors d'un bel été, alors que j'avais loupé une grande partie des deuxième et troisième saisons. C'était un vrai délice ! Je regardais les deux diffusions, celle en journée, et celle à une ou deux heures du matin, parce que les deux portaient sur la 4e saison mais pas au même point et que ça me laissait l'espoir d'en voir le maximum. Mais j'ai ensuite connu quelques déboires financiers qui m'ont forcée à abandonner ma connexion internet quelque temps. Et du coup, je suis encore passée à autre chose.

Quand les opportunités de cagoulage sont revenues, d'ailleurs, à l'image d'un certain nombre d'autres séries, je n'ai pas eu le courage de faire main basse sur les épisodes manquants. Farscape fait simplement partie des séries qui ne peuvent pas être cagoulées. Enfin, techniquement si, évidemment, mais non, c'est physique, vous savez ? On en a parlé déjà, il y a quelques temps, souvenez-vous : certaines séries sont simplement au-dessus de ça.

Aujourd'hui, et je n'ai de cesse de vous le répéter ces derniers temps je crois, je me retrouve avec un peu d'argent entre les mains... et ça brûle ! Alors j'essaye de réfléchir à tout ce que j'ai mis entre parenthèses ces dernières années pour des motifs financiers, et qui n'a plus lieu d'être en attente, que donc maintenant j'ai bien l'intention de m'offrir, et tout naturellement, Farscape est revenue sur le tapis. C'est bien simple, il suffit que je regarde le générique pour que les frissons reviennent : l'univers, l'esthétique, les personnages, y a-t-il quoi que ce soit qui ne soit pas excitant dans Farscape ?

Alors me voilà à mettre Farscape tout en haut de ma liste : cette fois je veux voir les épisodes, tous les épisodes, et dans l'ordre, du premier au dernier.
D'ailleurs, vous avez remarqué ? C'est bientôt Noël. La boucle sera bientôt bouclée.

Et pour ceux qui manquent cruellement de coups de pied au derrière : la fiche Farscape de SeriesLive.

3 octobre 2008

La rechute

Comme vous le savez, mercredi dernier, j'ai remis la main sur mes épisodes de Brothers & Sisters, et j'ai réalisé que je pouvais maintenant voir la fin de la saison que j'avais bêtement laissée en plan. J'ai donc repris le pilote, repris tous les épisodes que j'avais vus, cagoulé comme une sauvage les épisodes de la première saison que je n'avais pas pu encore voir...
Et j'ai tout englouti, tous les épisodes, quasiment sans mâcher : le matin avant d'aller au boulot, le soir en rentrant, le weekend entre deux préparations de podcast... TOUT. LE. TEMPS.

Mardi après-midi, je me suis trouvée bêtement à considérer mon chez moi informatique, assise devant l'ordinateur, les épaules basses et le visage circonspect, tiraillée entre l'épuisement et la faim.
J'ai alors été bien obligée de constater que :
- j'avais fini la 1e saison en moins d'une semaine
- j'avais entamé la seconde dans la foulée
- j'avais épuisé mes possibilités d'espace disponible
- j'en voulais encore
Rendons-nous à l'évidence : j'ai boulotté 25 épisodes de cette série en moins d'une semaine, je ne suis toujours pas rassasiée, et je suis de nouveau dans cette situation où je dois sacrifier mon appétit pour de bêtes raisons techniques. Plus rageant ? Il n'y a simplement pas. L'histoire se répète, dramatiquement.

Evidemment, le plus simple serait d'aller racheter des fournitures pour faire de la place, mais je commence à voir les choses sous un autre angle.
Non, là, il va falloir sévir, de toute évidence. Parce que, si je regarde au-delà de cette dernière semaine de frénésie, que vois-je ?

Je vois que j'ai cagoulé toute la première saison de The Big Bang Theory (je ris pourtant, en moyenne, un épisode sur deux), et que je continue même à regarder la saison suivante pour des raisons que je ne suis pas certaine de saisir.
Je vois que j'ai cagoulé 3 saisons de Reba en 2 mois environ ; alors d'accord, la 6e était plus courte, mais quand même.
Je vois que je donne sa chance à The Mentalist pour encore un épisode ou deux, et, misère, peut-être même plus selon la tournure que ça prendra.
Je vois que j'ai l'air bien partie pour suivre Privileged cette saison.
Je vois que la tournée des nouveautés n'est pas encore finie.
Je vois que Samantha Who? reprend la semaine prochaine.
Je vois qu'il y a aussi Pushing Daisies, Dirty Sexy Money...
Je vois que sur Brothers & Sisters, je suis loin d'être tirée d'affaire !
Je vois que je ne suis, surtout, pas à l'abri que ma fringale se porte ensuite sur une autre série dont je pourrais me piquer de voir des saisons antérieures. Pour être totalement honnête, j'ai déjà fait du répérage et j'ai deux-trois petites choses en ligne de mire, de toutes façons.

Bon, on va être clairs, ce ne sont pas quelques CD qui tiendront le choc, de toute évidence. On dirait bien qu'en cet automne, je suis plus gourmande que pour le précédent ; que ma téléphagie se redéclare de façon vivace.
Je vais donc devoir, bel et bien, m'acheter une nouvelle pelote de laine dure pour ma cagoule. Il faudra bien ça.

C'est que, voyez-vous, ce n'est pas pour rien que l'opération COLLECTION se nomme ainsi : je suis strictement incapable de laisser perdre quoi que ce soit. C'est une complication téléphagique qui arrive, parfois... je ne comprends pas ceux qui régurgitent ce qu'ils ont avalé avec tant d'enthousiasme.

Tout ça a commencé vers 2001, je pense, au plus fort de ma maladie. J'étais une jeune téléphage influençable, et je suis tombée sous le charme d'un certain nombre de séries. Je les aimais tellement que je voulais pouvoir regarder, encore et encore, les épisodes. Jusque là c'est cohérent.

Ce qui a commencé à l'être de moins en moins, c'est quand j'ai commencé à enregistrer le reste. Tooooout le reste. J'allumais la télé, et systématiquement, j'allumais le magnétoscope aussi (oui, c'était encore une ère où la VHS était fréquentable). J'enregistrais tout ce que je regardais (j'aimerais pouvoir prétendre que la réciproque était vraie). Je sortais de chez moi, je programmais 5 enregistrements. Je revenais, j'enregistrais encore.

Etonnez-vous après ça que je capitalise près de 800 VHS à la maison (et je ne m'aventure même pas à compter les DVD que j'ai achetés depuis que je suis passée dans le monde moderne).

Je suis extrêmement sentimentale avec mes enregistrements. Il m'est physiquement impossible d'effacer quoi que ce soit. Même, et c'est là qu'on touche à la psychiatrie, quand je n'ai pas aimé. Je n'ose même pas vous dire le nombre d'épisodes du JAG, ou des Ahem! du Bonheur, ou même... de 7 à la Maison, que j'ai. Et que je ne peux pas, non je ne peux pas, effacer.

De toutes façons, les enregistrements étant faits de façon quasi-industrielle (4 à 5h de programmes chaque jour), il peut très bien y avoir, sur une même cassette, un épisode de Charmed, puis un Buffy, puis deux A la Maison Blanche, puis un Ma Famille d'Abord, et ainsi de suite, ce qui rend l'effacement pour ainsi dire impossible, sous peine d'estropier l'épisode suivant.

Ah oui, il y a ça, aussi : quand il me manquait 5 ou 10 secondes d'un épisode (ne parlons même pas d'une minute), et qu'il repassait... je le réenregistrais. Idem quand la qualité de l'image ou du son ne me semblait pas optimales. Pareil lorsque la chaîne avait la bonne idée d'aposer un logo (genre Téléthon, Sidaction ou Dieu sait quoi d'autre). Donc il y a des épisodes que, oui-oui, j'ai en double. Et je n'efface pas celui de moins bonne qualité, pour les raisons énoncées plus haut. Je ne peux pas. Vraiment pas.

C'est comme ça qu'on en arrive à avoir certains épisodes d'Une Nounou d'Enfer en double, en triple exemplaire. De la folie douce. Et par là-dessus, j'ai acheté les DVD, jamais effacé une seule VHS.

Ah je l'ai faite tourner, l'industrie de la VHS, en mon temps, croyez-moi ! Pendant des années, j'ai acheté chacune de ces VHS (ouais, bon, d'accord, il m'est arrivé d'en récupérer chez des amis qui s'en débarrassaient, aussi), j'ai acheté en tout et pour tout cinq magnétoscopes différents (ça s'use vite ces machins-là, et le samedi, la Trilo était face à New York SVU, j'étais bien obligée d'en avoir au moins deux ; quelle tristesse, aujourd'hui ils sont tous tombés au combat). A la FNUC, c'est bien simple, j'achetais mes VHS vierges de 240mn par packs de 10 !

Je ne connaissais pas encore le cagoulage... Je passais beaucoup de temps, toujours à la FNUC, mais aussi dans d'autres grandes surfaces culturelles, chez les magasins de videos, à Gibert Jeune, à acheter des VHS, en neuf aussi bien qu'en occasion (comme ce coffret assez incroyable de T. and T. que j'avais dégoté, le pilote en plus !), ah je l'ai fait tourner le commerce !

Il m'arrivait qu'on m'appelle par mon prénom chez Gibert ; une fois à la FNUC, on m'a proposé un caddie pour faire mes courses... ah je les ai fait vivre, tous ces gredins !

Et je vous épargne aussi ma frénésie de DVD quand j'ai fait l'acquisition de la bête.

J'ai tout gardé, jamais rien revendu, ni effacé, ni jeté.

Alors c'est pas côté cagoulage que je vais changer ma démarche. Je les ai, je les garde, mes épisodes, et précieusement ! Et vu que mon pouvoir d'achat (a contrario de tout le monde) a augmenté depuis que je ne suis plus au chomdu, et que je vais jusqu'à acheter des DVD qui ne plaisent pas vraiment (comme récemment avec Damages) simplement parce que je suis passée dans une FNUC et que j'avais mon chéquier (avec le DVD de Roseanne, ça faisait un chiffre rond en plus !), j'aurais tendance à penser que je suis quitte avec l'industrie des anti-cagoulages.
Après tout, ma rechute leur profite autant qu'à moi.

Je me dis juste qu'à un moment, il faudra envisager d'acheter l'appartement de ma voisine, pour le stockage. 15m² de séries télé, c'est pas le rêve ?!

1 octobre 2008

[DL] General Hospital

Alors d'accord, d'hôpital, le générique de General Hospital n'a vraiment que le nom. Mais à part ça, j'ai envie de dire que ce générique, c'est du sexe condensé en 48 secondes (mais si on est mon ex, 48s c'est déjà pas si mal... nan, je déconne, évidemment, Seb, te fâche pas).
Musicalement, on reconnait bien le thème et c'est hyper surfait, mais c'est tout justement ça qui donne son côté sensuel à la chose. Visuellement, ya quelques bonnes idées, et à part quelques persos pas du tout sexys (je vous laisse deviner lesquels), ça reste quand même largement glamour. Donc je dis oui, cent fois oui, encore et encore.

GeneralHospital
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

J'adore le passage avec tous les mâles en tuxedo. Ca c'est du style. C'aurait été si facile de tous les habiller en blouses médicales, mais non, on fait dans le sensuel, on vous a dit !
Parce que, sérieusement, la plupart des génériques de soaps sont navrants. Les Feux de L'Amour par exemple... j'en cauchemarde encore. Il suffit même, tout simplement, de regarder ce qu'était ce générique il y a encore pas si longtemps ! Eh oui, j'ai une autre version, et vous allez tout de suite comprendre ce que General Hospital a maintenant de langoureux. Un vrai exercice de style !

GeneralHospital_AlliancesetTrahisons
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Notez bien, celui que j'aime, c'est le premier, hein, le premier ! Pas le deuxième, non, caca le deuxième. Vu ?
Allez, l'essentiel, c'est que je ne force personne à regarder la série. Si vous croyez que je me suis fait chier à regarder ne serait-ce que les deux épisodes dont ces génériques sont tirés... ça va, c'est un soap. La moitié du temps on ne les distingue même pas. Tiens, la blonde là, elle est pas dans Des Jours et des Vies ? Nan mais ça va, moi aussi j'ai fait la grasse matinée devant France 2, hein...

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche General Hospital de SeriesLive.
Songez qu'il y a des rédacteurs qui mettent en jeu leur santé mentale pour vous proposer des fiches de ces séries... et avec parfois, même, des listes de personnages ! Et on me dira que l'équipe de SL n'a pas du mérite, après ça...

Ceci cloture notre jeu des génériques. Vous avez été très bons, il vous aura fallu moins d'une semaine ! Et on a battu le records de commentaires pour un post, je pense...
On remettra ça, à l'occasion, tiens... autour d'un autre thème, ça va de soi.

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