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ladytelephagy
20 janvier 2007

Ya pas de justice

Je m'aperçois que la série Coeurs Rebelles est toujours diffusée tous les week ends sur la chaîne canadienne Series+. Et ça me rend malade.

C'est vrai ça, vous pensez que TF1 se saignerait d'une petite rediff de temps à autres ? Mais pourquoi l'a-t-elle donc achetée, si c'était pour la diffuser une fois, en plein aprem, et l'oublier ensuite ?

Je pensais qu'avec l'avènement médiatique de Hayden Christensen, il n'y a pas si longtemps, en pleine vague de Star Wars, la première chaîne hertzienne française allait faire un petit effort, et capitaliser sur ce visage connu. Une série d'ado, en plus, ça n'a jamais été le genre de trucs qu'elle rechigne à diffuser. Et pourtant, je n'ai rien vu passer.

Coeurs Rebelles est pourtant une brillante série d'une saison (Michael Braverman, même dans un mauvais jour, ne saurait écrire une bouse), où les teenageries sont suffisamment bien dosées pour n'avoir pas l'air trop nunuches, et céder aussi la place à de réelles préoccupations d'adolescents vraiment perturbés. D'accord, quand on voit le fin sourire de AJ Cook ou le visage poupin de Kandyse McClure, on prend bien conscience qu'il s'agit avant tout d'une série ABC Family, mais sans que les thèmes abordés n'aient été édulcorés à l'excès.

C'est quand même rageant qu'une si bonne série n'arrive pas à être rediffusée au moins une fois de temps en temps chez nous !

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Coeurs Rebelles de SeriesLive.

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20 janvier 2007

[DL] Kitchen Confidential

Voilà un générique bien simplet, malheureusement. La chanson est bateau, le cast est présenté sans être mis en valeur, c'est un peu trop rapide et brouillon... et avec le recul, l'image finale me fait vraiment penser à Grey's Anatomy (avec le même problème : la série n'est pas du tout reflétée par cette pirouette).

M'enfin bon, d'ici à ce qu'on voie ce générique, il peut se passer longtemps, alors tentez quand même le coup, au moins par curiosité !

KitchenConfidential_generique_580
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture (vous vous forcez, ou bien ?) : la fiche Kitchen Confidential de SeriesLive.

20 janvier 2007

Et une série toute chaude pour la table 3 !

Ca fait toujours du bien de se remettre quelques épisodes d'une série qu'on a appréciée... même si parfois on a bien l'impression d'avoir été la seule. Pourtant Kitchen Confidential semblait être un pari gagné d'avance : un thème peu convenu, un cast aux petits oignons (Bradley Cooper s'étant illustré dans un nombre important de séries avant d'y obtenir le rôle principal, mais aussi Bonnie Somerville, Nicholas Brendon... et des guests au moins aussi connus des téléphages), une production assurée par Darren Star...

Et pourtant, allez comprendre !

Certes, Kitchen Confidential ne misait pas sur des dialogues de haut vol, mais la série s'essayait dans cette nouvelle forme de séries comiques qui plaît de plus en plus aux chaînes, c'est-à-dire en single camera, pas de public, pas de rires enregistrés. Bref, une forme d'humour un peu moins rentre-dedans, et beaucoup plus agréable à suivre, qui peut se passer de dialogues au mot près, et se permettre des gags visuels, des ellipses temporelles, et des flashbacks/inserts de tous poils (figure de style dont je raffole, pour ceux à qui ça avait échappé).

Apparemment, il n'y avait pas grand'monde pour regarder, puisque la série a été sucrée avant même la fin de la première saison, menant même à une diffusion erratique qui à l'époque m'avait rendue folle, qui nous a privés d'un certain nombre d'épisodes en plein milieu de la série, histoire de quand même diffuser, avant l'extinction, celui avec le guest le plus important : Michael Vartan (à l'époque, ALIAS n'était pas encore devenue "l'autre série du créateur de Lost").

Pourtant les deux premiers épisodes de Kitchen Confidential sont vraiment épatants ! Et je ne dis pas ça parce que le monde de la grande cuisine me fascine. Pas seulement, disons. Bien que ne possédant pas le grain de folie de certaines autres séries jouant dans la même catégorie, elle aurait dû trouver son public ! Le rythme est soutenu, les situations toujours drôles et inattendues, les personnages ont chacun leur petit plus qui les rend drôles... et bien-sûr au milieu de tout cela, Bradley Cooper se donne vraiment à 100%, s'attachant à donner à son personnage à la fois un côté drôle et volage, mais aussi une facette plus profonde et sérieuse.
C'est vraiment du gaspillage que d'avoir laissé cette série sur le côté de l'assiette télévisuelle pendant le début de la saison 2005-2006. Moi, pourtant, j'en reprendrais bien un bout une fois de temps en temps.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Kitchen Confidential de SeriesLive.

20 janvier 2007

Ré-incarnation ?

C'est en regardant l'un de mes épisodes de Hollywood Off Ramp (une assez sympathique, quoique peu originale dans le traitement, anthologie qui en quelque sorte transpose Au-delà du réel dans l'univers de Hollywood) que j'ai repensé à ces acteurs télé qui tentent d'avoir une seconde vie.

Dans l'épisode en question (In her footsteps), la jeune assistante d'une actrice vétérante surprenait sa patronne, qui faisait appel au vaudou (ou assimilé) pour être investie de l'esprit d'une grande actrice ayant ses empreintes sur Hollywood Boulevard, et ainsi reproduire son jeu. Naturellement la jeune assistante, qui rêve d'être une vraie actrice, a tôt fait de reproduire l'incantation, elle décroche effectivement un rôle mais son jeu étant trop copié sur celui de l'actrice qu'elle a invoquée, son réalisateur lui demande de nuancer son jeu. Elle tente donc d'invoquer plusieurs autres actrices... mais la tentative échoue car les âmes des actrices sont offusquées d'être invoquées en même temps (quel ego !!!).

D'une certaine façon, cette façon pour l'actrice vétérante de toujours avoir le même jeu (logique, puisque contrairement à la jeune assistante, elle n'a en a pas appelé à plusieurs actrices mais toujours à la même) m'a fiat me questionner sur ces acteurs de série télé qui, ayant un rôle marquant derrière eux, s'essayent à la reconversion.

Prenez David Boreanaz. Dans Bones (ne regardez pas pour autant ou je vous désavoue !), il joue... eh bien, soit il joue toujours Angel, soit il n'a jamais joué que David Boreanaz ! Voilà quelqu'un pour qui j'ai beau froncer les sourcils, ouvrir grand les yeux ou tenter d'enlever mes lunettes, je vois toujours la même personne. Mon homme prétend qu'il aurait dû se couper les cheveux différemment ou les teindre. Je prétends qu'il aurait dû prendre des cours de comédie.

A contrario, des acteurs comme Michael C. Hall (qui dans Dexter nous fait tout oublier de sa personnalité de Six Feet Under) ou Courtney Cox (avec Dirt, plus de 10 ans la séparent des débuts de Friends, mais son jeu a aussi beaucoup plus de finesse qu'alors, même pendant les dernières saisons), ou encore l'hallucinant caméléon Adrian Pasdar... il faut au contraire une certaine dose de concentration pour reconnaître l'acteur, et se rappeler de la personnalité de son incarnation précédente ! Pour autant que Greg Grunberg me soit sympathique, ce bonhomme ne parvient jamais à se transfigurer, tandis que j'ai parfois du mal à me souvenir qu'il y a quelques années à peine, la formidable Lauren Velèz officiait régulièrement dans Oz !!! Des exemples parmi tant d'autres.

Est-ce simplement une question de talent ? Un problème de casting ? Le reproche doit-il être fait aux scenaristes, aux producteurs...?

Le fait est qu'étrangement, on s'attache plus à ces acteurs transformistes, qu'à ceux qui ne font que s'interpréter ou s'autoparodier tout au long de leur carrière. Cet attachement va pourtant à rebours de la particularité du travail d'un acteur dans une série, qui nous fait associer un visage à un rôle pendant plusieurs années...
D'un autre côté, que peuvent faire tous ces acteurs sinon vivre de leur métier ? On ne peut pas non plus les forcer à stoper leur carrière alors même qu'un rôle leur a permis de se faire connaître...

Dans tous les cas, cette saison m'a semblé marquer le come back de pas mal de monde... mais si Richard Dean Anderson parvient à sembler toujours avoir été O'Neill, pourquoi pas eux ?

20 janvier 2007

Petite liste

Ca ne coûte rien de rêver. Et puis on sait jamais...
Mon anniversaire tombe dans maintenant 5 jours, je serai vieille, je mérite une compensation. Ayez pitié, c'est l'année des Catherinettes.

Donc, j'ai décidé de me faire une petite liste des DVD que je rêve d'avoir... Je sais qu'ils existent ! Mais ptet pas tous dans notre pays. Peu m'importe. De toutes façons pingres comme vous êtes, vous allez sans doute ne rien m'offrir. Je tente quand même :
- A la Maison Blanche : je n'ai toujours pas trouvé le temps ni les moyens de faire main basse sur la saison 6. C'est emmerdant. J'ai aussi la 1e saison en vieilles VHS et elles gagneraient à trouver du repos en étant remplacées par des DVD.
- Action! : cette épatante série d'humour trash, vitriolant Hollywood et nous permettant de mater Jay Mohr (maintenant qu'il est marié à Nikki Cox de Las Vegas, vaut mieux faire une croix dessus et se rabattre sur les DVD) n'a pas son égale... et hélas peu de chances d'atteindre un jour un quelconque créneau d'une chaîne hertzienne. Une seule saison, c'est quand même pas la mort.
- Farscape : j'ai bien la première partie de la première saison (soit un centième de huitième de la série... non attendez, un dixième de la moitié... non c'est pas ça...) mais franchement, je suis bien plus tentée par l'acquisition rapide et la moins coûteuse possible de la série dans sa totalité. Si vous arrivez à faire ça, je vous offre la première partie de la première saison pour votre peine.
- NY Unité Spéciale : de vous à moi, même si la série devient lisse avec l'âge (comme la peau de Mariska Hargitay : hasard ou coincidence ?), ça reste une formidable série ! Ca me fera gagner une place folle sur mes diverses VHS de mauvaise qualité, où en plus je suis loin d'avoir réussi à avoir tous les épisodes. Il me manque même celui où Sherilyn Fenn est une belle-mère incestueuse, imaginez mon désarroi.

Liste non exhaustive.
Bon, si vous n'avez vraiment pas les moyens, vous n'avez qu'à prétendre que je n'ai pas communiqué mon adresse postale sur ce blog, et que tout ce que vous pouvez faire, c'est me montrer une photo de la cover de l'un ou l'autre des coffrets sus-cités. Je vous en voudrais pas. Pas trop...

Sinon en Belgique, la première saison de Oz est sortie cette semaine, aussi. Pour pas cher... J'dis ça... j'dis rien.

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20 janvier 2007

[DL] Inconceivable

Je n'ai hélas pas pu voir la série Inconceivable, et vu qu'elle retirée de l'antenne rapidement aux States et que personne ne semble envisager une diffusion en France, mes chances sont réduites environ à zéro, mais portons au moins à son crédit son excellentissime générique, tout en finesse. La musique est d'une grande douceur, et accompagne une mise en images qui parvient à donner une assez bonne idée du thème de la série sans nous spoiler, ni mettre trop en avant son cast.

Inconceivable_generique
Note : lien valable 30 jours minimum. Je reuploaderai si le lien est mort, mais seulement si vous postez un commentaire pour me prévenir !

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture (dont moi, hélas) : la fiche Inconceivable de SeriesLive.

20 janvier 2007

Os, misère...

Bones (ne l'appelez pas Bones !!!) est la série que M6 a décidé de nous infliger maintenant que NCIS est voué aux rediffusions pour quelques temps. Ce qui signifie en un mot comme en cent que la chaîne espère récupérer les audiences tout en bradant sur la qualité et l'originalité de son programme. Mais on commence à savoir que dans les grilles de M6, ce genre d'alternance mauvaise série/épouvantable série sur certaines cases maudites est devenu un leitmotiv.

Dans Bones (ne l'appelez pas Bones !!!), nous suivons une équipe tournant autour d'un beau gosse un peu sur le retour et d'une experte en quelque chose, cette fois ce sont les os (c'est gai).
A distinguer de l'occupant précédent de la case, où on avait droit à un vieux beau sur le retour, d'un trublion au Q.I. négatif, d'une éternelle bleusaille, du quota de nana dont une experte en tout, sauf en médecine légale où là on avait un autre expert bien moche. Vous comprenez donc combien nous avons perdu au change.
Mais il s'agit aussi de dissocier Bones (ne l'appelez pas Bones !!!) de l'autre série tournant autour d'un gars qui n'a jamais été beau gosse et de son frère, expert en chiffres et calculs abracadabrants.
Ne pas confondre, je vous prie, avec cette autre série avec un vieux beau sur le retour, entouré d'experts en un peu tout.
Et ne pas mélanger avec cette série avec ce vieux roux sur le retour, entouré d'experts en un peu tout aussi.
Et pour faire bonne mesure, faites bien la différence avec cette encore autre série, avec un encore autre vieux, entouré d'encore autres experts.
Et ceci sans faire d'amalgame avec cette série avec un vieux vraiment pas gâté par la nature, entouré de légistes et notamment d'une qui fait jamais que le contraire de ce qu'on lui dit de faire.
Ceci sans même mentionner cette toujours autre série, avec un vrai beau gosse sur ses dernières années, entouré d'experts en un peu tout mais surtout en trucs bien flippants comme les épidémies ou la Star Ac.

Si vous voyez une constante, vous me prévenez.

Laissez-moi deviner l'autre constante : les audiences. Malgré le fait que ces dernières années (et tout ça c'est la faute de Grissom, c'est lui qu'a commencé !) on nous gave comme des oies du Périgord de séries avec des gens super intelligents qui prouvent des tas de trucs en un temps record avec des techniques scientifiques de pointe et des tas de mots compliqués, les gens continuent de regarder. C'est épatant quand même. A croire que si sur les chaînes hertiziennes, on décidait subitement de varier le menu et diffuser d'autres types de séries en prime, le monde s'écroulerait. Ou les audiences.

Parce qu'aussi difficile que ce soit à croire pour nous français, il n'y a pas que les séries policières/d'enquêtes dans la vie. Et tragiquement nous semblons être entrés dans une phase où ce n'est pas tant l'humain qui prime, mais une façon froide et cérébrale d'envisager les crimes. Les dénaturant totalement, car ce que ces séries oublient toutes, c'est que le meurtre est le propre de l'humain, et que sans comprendre la psychologie, les preuves, elles n'avancent personne à comprendre ces crimes.

Ironiquement, pour nous rappeler à cette réalité, il nous faudrait regarder Battlestar Galactica (oui, une série de SF !), mais... bien que nous ayions un vieux (deux, même), des petits jeunes, des quotas éthniques et des quotas féminins, et ce que le monde peut espérer de mieux de technologie de la part des Cylons... ces imbéciles n'ont pas l'idée d'utiliser leur technologie pour prouver que la tache de sang, là, elle vient bien d'une lime à ongles achetée en 1993 et qui a servi à poignarder sauvagement la victime. Désespérant, quand même, comme une série peut passer à côté de l'essentiel, finalement.

Bones (ne l'appelez pas Bones !!!) est une série navrante qui enfonce une porte grande ouverte, et que j'ai hâte de voir être claquée par la prochaine vague. Dans l'attente, jouons à un petit jeu : de quel genre d'expert n'avons-nous pas encore hérité dans ce type de séries ? Creusez-vous un peu...
Et si on inventait une série sur un nécrophage qui saurait dater la mort des gens rien qu'en mangeant leur foie, et qu'on libèrerait de prison pour travailler aux côtés du FBI ?! Oh ouais, super, j'écris une lettre de suite aux networks !

Ne l'appelez pas Bones. Ne l'appelez pas du tout.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Bones de SeriesLive.

20 janvier 2007

A coeur ouvert

De vous à moi, je vous dois bien un petit aveu : hier, j'étais shootée au second épisode de Heroes, et pas tout-à-fait moi-même, lorsque je suis venue faire brièvement part de mon enthousiasme pour cette série sur les coups de 3h du mat. J'étais sans nul doute sous l'emprise des endorphines, ou un truc de ce genre, bref pas du tout dans mon état normal.
Maintenant je vais être tout-à-fait franche avec vous : je suis loin d'avoir dégrisé, et je n'en ai aucune envie.

Je ne vous raconte pas la galère que ça peut être d'avoir une téléphage en pleine crise, dans son lit, au moment d'aller se coucher ou au moins d'essayer. Pour moi, rien de nouveau, mais pour mon homme c'était une première. Et laissez-moi vous dire que rien, dans la vie, ne vous prépare jamais vraiment à ça.
Rien.

Prostrée dans le lit, la tête bloquée entre les genoux en position foetale, me balançant légèrement d'avant en arrière avec un petit gémissement de douleur, parfois entrecoupé de bribes de phrases incompréhensibles de tout être humain normalement constitué. Telles que "la suite... épisode... voiture rouge... Sylar... cheerleader... yatta !" Ca foutrait les chocottes à n'importe qui, mais mon homme est un brave, il m'a même aidée à tenir le coup, m'a encouragée, et finalement m'a aidée à m'endormir vers 6h du matin, aidé de trois comprimés de Stilnox et d'une massue.

Nous autres, téléphages, avons pourtant nos bons moments, lorsque notre vice est alimenté d'un flot régulier de séries, respectant le parfait équilibre entre médiocrité la plus abyssale, et qualité la plus intellectuellement stimulante. Seulement personne n'a repéré que les symptômes se représentaient déjà, après le pilote de Dexter deux jours plus tôt. Si ç'avait été le cas, peut-être quelqu'un aurait-il été en mesure de m'épargner de voir la suite de Heroes, et ainsi attendre que j'aie regardé... je ne sais pas, moi, une rediff de NCIS ou même, au point où on en était, Plus belle la vie, enfin quelque chose de suffisamment atteint de crétinisme navrant pour me permettre de me maintenir à flot.

Mais voilà : devançant tous les spécialistes qui surveillent mon cas avec attention, j'ai regardé ce fichu second épisode de Heroes. Et il ne restait plus, pour calmer ma fièvre et apaiser mes tremblements, qu'à me laisser, le lendemain au réveil, regarder le troisième épisode dans la foulée, pour ensuite m'asséner un puissant comprimé de 2g de Prozac suivi du pilote de Bones dans la soirée, pour piqûre de rappel.

Merci, ça va beaucoup mieux maintenant. Les infirmières disent que, dans quelques jours, je pourrai rentrer chez moi.
Et ça tombe bien parce que j'ai encore jusqu'à l'épisode 11 à voir, et un autre sera diffusé dans l'intervalle...
Gna ha ha.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Heroes de SeriesLive.

19 janvier 2007

Super Hiro !

Là, remontant dans mon dos, glissant sur mon cou... c'est bel et bien un frisson !
Je ne sais pas où j'avais la tête ces derniers mois. Après avoir vu l'excellent pilote de Heroes, je n'ai même pas pensé à regarder les suivants. Pourtant me voilà cette fois curieuse d'y jeter un oeil, comme prise d'une lubie... Que je sois damnée si je m'arrête là !!!

En plus d'excellentes scènes portées par un excellent cast (Hayden Panettiere, qui est vraiment à son avantage, est devenue une actrice moins linéaire que lors de son époque Ally McBeal/Malcolm) et d'une histoire qui parvient à faire semblant d'avancer même si ce n'est pas le cas (on n'en est jamais qu'au second épisode, en même temps !), les personnages sont vraiment explorés avec brio, et leurs dons ont chacun un rendu à la fois réaliste et merveilleux.

Le policier Matt Parkman, par exemple (même si à son âge c'est étonnant qu'il n'ait pas eu de manifestations antérieure de son don... sans doute quelque chose qui nous sera expliqué ensuite, du moins faut-il l'espérer), est un personnage auquel on s'attache immédiatement. Comme d'habitude, on a tendance à attacher à Adrian Pasdar des sentiments ambigus, alors que son personnage du frère Petrelli est pour le moment plutôt franc, même si un peu sombre (on est loin de Mysterious Ways, mais dans le voisinage de Feds et Profit !). Et que dire de l'excellent Hiro Nakamura/Masi Oka qui porte le show sur ses épaules (je comprends mieux pourquoi on le voit tant dans les promos de la série) ?

Voilà bien une série qu'il faut impérativement avoir vue cette année ! Si pour le moment elle offre principalement du divertissement de haut niveau, on lui sent le potentiel d'offrir de très bonnes histoires, solides et intéressantes.
Ca fait bien chier de devoir aller se coucher, mais parfois, on n'y peut simplement rien, il faut s'armer de patience pour voir ce que les choses vont donner.

Et pour ceux qui manquent cruellement de culture : la fiche Heroes de SeriesLive.

18 janvier 2007

Sans kryptonite, le ridicule ne tue pas Superman

Dés que mon urticaire se sera calmé, je vous raconterai pourquoi cette news de SeriesLive me rend hilare.

...

Désolée, ça ne passe pas. Bon, voilà ce qu'on va faire... Je vais prendre un anti-histaminique, et pendant ce temps je vous laisse simplement imaginer des toons de Claque Kent et consorts torse nu, d'accord ? Sexy, hein ? Nul doute que les ados vont en être folles !

...

Ah merde, on dirait bien que c'est contagieux. Désolée pour ça. Un anti-histaminique ?

Et pour ceux qui ont de la culture : la fiche Smallville de SeriesLive.

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